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1984/G.Orwell

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Totalitarisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le totalitarisme est l'un des trois grands types de systèmes politiques avec la démocratie et l'autoritarisme. C'est un régime à parti unique, n'admettant aucune opposition organisée et dans lequel l'État tend à confisquer la totalité des activités de la société. C'est un concept forgé au XXe siècle, durant l'entre-deux-guerres, avec une apparition concomitante en Allemagne et en URSS. Le totalitarisme signifie étymologiquement « système tendant à la totalité[1]. » L'expression vient du fait qu'il ne s'agit pas seulement de contrôler l'activité des personnes, comme le ferait une dictature classique.

Le régime totalitaire va au-delà en tentant de s'immiscer jusque dans la sphère intime de la pensée, en imposant à tous les citoyens l'adhésion à une idéologie obligatoire, hors de laquelle ils sont considérés comme ennemis de la communauté. Les origines du concept[modifier | modifier le code] Des définitions diverses[modifier | modifier le code] Propagande. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La propagande est un ensemble d'actions psychologiques exercées sur les pensées et les actes d'une population, afin de l'influencer, l'endoctriner ou l'embrigader[1],[2]. Elle se distingue de la publicité par son objet, car elle n'est pas censée faire la promotion de produits de type commercial.

La propagande n'est étudiée de façon scientifique qu'à partir du XXe siècle[3] avec la recherche en psychologie associée aux moyens de communication modernes, les médias de masse. La description et l'étude des différents types de propagande se sont largement développés à la même époque. Ainsi, en temps de guerre ou de période insurrectionnelle, peut être mis en place un système d'embrigadement sous forme de « propagande d'agitation », ayant pour but de déclencher l'action[4]. Histoire du terme propagande[modifier | modifier le code] Typologie des propagandes[modifier | modifier le code] Propagandes politique, économique, religieuse, militaire... Orwell à la rencontre du totalitarisme.

La conscience politique de George ORWELL naît avant la Deuxième Guerre Mondiale : c’est la confrontation de l’auteur avec l’extrême pauvreté qui en est la source. Sergent dans la police coloniale britannique en Birmanie pendant cinq ans, le jeune Eric BLAIR, qui n’avait que 20 ans, a été dégoûté par les méthodes des colonisateurs. Démissionnaire, il est rentrée au Royaume-Uni avec un sentiment de culpabilité pour avoir été « l’exécutant d’un système d’exploitation et d’oppression ». C’est peut-être pour cela qu’il décide à partir de l’automne 1927 d’explorer les quartiers les plus démunis de Londres, avec l’objectif d’en tirer des articles de presse pour faire connaître la terrible misère qui y règne. Pendant de longs mois il partage la vie des ouvriers et des clochards... « Dans la dèche à Paris et à Londres », qui est son premier livre [et le premier signé ORWELL], raconte ses pérégrinations parmi les déshérités.

Pourtant, en Espagne, le stalinisme n’a pas convaincu. George Orwell. Photographie d'Orwell sur sa carte de membre du Syndicat national des journalistes (National Union of Journalists) en 1943. Œuvres principales George Orwell [dʒɔː(ɹ)dʒ ˈɔːwel][a], nom de plume d’Eric Arthur Blair, né le 25 juin 1903 à Motihari (Inde) pendant la période du Raj britannique et mort le 21 janvier 1950 à Londres, est un écrivain, essayiste et journaliste britannique.

Son œuvre porte la marque de ses engagements, qui trouvent eux-mêmes pour une large part leur source dans l'expérience personnelle de l'auteur : contre l'impérialisme britannique, après son engagement de jeunesse comme représentant des forces de l'ordre colonial en Birmanie ; pour la justice sociale et le socialisme[1],[2], après avoir observé et partagé les conditions d'existence des classes laborieuses à Londres et à Paris ; contre les totalitarismes nazi et stalinien, après sa participation à la guerre d'Espagne.

Il est membre du Syndicat national des journalistes et du Parti travailliste indépendant. Ci-gît. 1984. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il décrit une Grande-Bretagne trente ans après une guerre nucléaire entre l'Est et l'Ouest censée avoir eu lieu dans les années 1950 et où s'est instauré un régime de type totalitaire fortement inspiré à la fois du stalinisme et de certains éléments du nazisme[réf. nécessaire]. La liberté d'expression n’existe plus. Toutes les pensées sont minutieusement surveillées, et d’immenses affiches sont placardées dans les rues, indiquant à tous que « Big Brother vous regarde » (Big Brother is watching you). Le monde en 1984 selon George Orwell[2]. Le territoire contrôlé par l'Océania est représenté en rose. Big Brother Winston Smith, 39 ans, habitant de Londres en Océania, est un employé du Parti Extérieur, c'est-à-dire un membre de la « caste » intermédiaire du régime océanien, l'Angsoc (mot novlangue pour « Socialisme Anglais »).

Ils s’aiment et font l’amour clandestinement dans une mansarde louée dans le quartier des prolétaires.