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Politique

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Moins de 4 Français sur 10 croient en Dieu, selon un sondage. Moins de quatre Français sur 10 croient en Dieu, selon un sondage publié dimanche par le Parisien/Aujourd'Hui en France et réalisé à l'occasion de la prochaine sortie du film "Qui a envie d'être aimé? ". Selon cette enquête de l'institut de sondage Harris Interactive, les croyants (36%) sont légèrement plus nombreux que les athées (34%) en France. Le dernier tiers de la population française (30%) se divise en 22% de personnes qui ne savent pas si elles croient en Dieu mais se posent la question, tandis que 8% ne savent pas mais ne se posent pas la question.

Les catégories professionnelles aisées (36%) ont davantage la foi que les moins favorisées (29%) et les femmes sont également plus croyantes que les hommes. Selon le quotidien, le sondage révèle aussi que "5% de ceux qui affirment ne pratiquer aucune religion croient tout de même en Dieu" et que "34% des sondés qui se disent catholiques avouent ne pas croire en Dieu". "Qui a envie d'être aimé? " De l'antiterrorisme à l'espionnage politique | Jean-François Larose. LCP sur Twitter : "#PolitiqueS - @jcmailly est l’invité de @SergeMoati. Tout de suite sur LCP #FO... PolitiqueS : Jean-Claude Mailly, secrétaire général de Force ouvrière. Qui décide? | Sylvie Goulard. LeHuffPost est partenaire de la Villa Gillet pour Mode d'emploi: un festival des idées Qui décide? Aussi étrange que cela puisse paraître, peut-être faudra-t-il bientôt répondre, comme Ulysse au cyclope Polyphème: personne.

À part quelques cas exceptionnels, comme quand, par exemple, le Président de la République lance une opération militaire au Mali, l'instant où une décision est prise, et la personne qui la prend, deviennent de moins en moins identifiables. Les constitutions nationales, les traités, décrivent toujours des procédures bien huilées. On prête encore au Prince le sceptre et l'hermine. Lire aussi:• Du pouvoir politique: entre puissance et inexistence• Celui qui détient l'énergie, détient le pouvoir politique • Femmes et Pouvoir: le grand tabou Prendre une décision: complexe et semé d'embûches Les occasions d'entraver les réformes abondent.

La démocratie est aussi modifiée par de profondes interactions internationales. Les décisions au niveau international. Élections Consulaires : c'est parti... sur fond de divisions et ... Contribution Aubry-Ayrault au congrès PS: premiers mouvements d'humeur chez les députés. Des députés PS ont mis en garde mercredi le gouvernement contre ses "oukazes", au lendemain de l'annonce d'une contribution Ayrault-Aubry préparatoire au congrès, tandis que les proches de l'exécutif ont salué un "choix de cohérence".

A peine installés, des élus de la majorité sont particulièrement remontés contre les conditions mises sur la table par le Premier ministre et la première secrétaire: ministres et dirigeants socialistes devront signer leur contribution, à l'exclusion de toutes les autres, lors du Conseil national du 18 juillet. L'initiative de M. Ayrault et Mme Aubry provoque "une révolte" dans le parti, a assuré le nouveau député des Bouches-du-Rhône Patrick Mennucci, le premier à dénoncer un "oukaze". "Je signerai ce que je veux", a prévenu l'élu de Marseille, qui a prévu de déposer sa propre contribution. Candidat déclaré au poste de premier secrétaire, en binôme avec une conseillère municipale de Paris, M. Gorce déposera en toute logique sa propre contribution. Michel Barnier réagit à la polémique France-Angleterre.

Pierre Le Menahes vs Sarkozy débat. Political Scrapbook. 1/Parlons Net reçoit J-L Mélenchon - les retraites, Proglio - un.

Régionales 2010

De la colline à la cuvette : MSA > Rouen. L'avion présidentiel pour vendre des pizzas. Cela se passait en 1788. LOPPSI: sommes-nous des pigeons? - Loi d'orientation et de progr. L'arrivée anticipée de la loi LOPPSI - véritable fourre-tout sécuritaire - en hémicycle mardi prochain devrait tous nous mobiliser, par les sujets qui y sont traités et par la méthode qui a été adoptée, celle de l’oxymore. La substitution, grâce un amendement orwellien déposé par le gouvernement et adopté en commission des lois, du mot de "vidéoprotection" à celui de "vidéosurveillance" dans tous les textes législatifs et réglementaires traduit cette nouvelle réalité. Il ne s’agit pas de surveiller mais de protéger, comme si l’un pouvait aller sans l’autre et comme si le dilemme contemporain n’était précisément pas celui de l’équilibre à trouver entre vraies et fausses menaces d’une part, étendue des atteintes portées aux libertés les plus élémentaires d’autre part.

À réalité et dangers équivalents, ce néologisme plus acceptable permettra de faire passer sans remous des dispositions qui viennent renforcer le plan ahurissant de triplement du nombre de caméras sur le territoire.