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Logiciel Libre

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Google présente sa nouvelle version de l'Art Project. Google a présenté aujourd'hui, la nouvelle version de son Art Project. Pour mémoire, via cette initiative, Google donne accès aux internautes aux collections de nombreux musées (peintures, objets, sculpture, graffiti…) Grâce à la technologie, Google photographie les œuvres dans le détail pour une restitution en HD et permet à chacun de zoomer. C’est en France et plus précisément au Musée d’Orsay que la firme a dévoilé cette nouvelle version. Le musée vient de rejoindre les partenaires de Google Art Project tout comme le musée de l’Orangerie, le musée du quai Branly, le domaine de Fontainebleau et le domaine de Chantilly.

Le projet rassemble à ce jour 151 partenaires issus de 40 pays. L’an dernier, l’initiative concernait 1 000 œuvres issus de 17 musées. Parmi les nouveautés et en plus des œuvres ajoutées, le site googleartproject.com intègre la technologie Street View, on peut donc se balader virtuellement dans les musées. 7 qualités de l'Open Source, entre mythes et réalités. Tutorial. Le matériel libre à l'aube d'une nouvelle ère de l'innovation. Le logiciel libre a été un moteur de l’innovation de ces dix dernières années, permettant à de petites structures, telle que Google à ses débuts, d’émerger en investissant à moindre coût.

Suivant son sillage, il en ira de même avec la matériel libre pour la prochaine décennie[1] Telle est l’hypothèse de Joi Ito, actuel directeur du MIT Media Lab et qui possède l’un des plus beaux CV d’Internet. Joi Ito : le matériel open source est une évidence Joi Ito: Open-source hardware is a no brainer Barb Darrow - 11 janvier 2012 - GigaOM(Traduction Framalang/Twitter : Goofy, FredB, Albahtaar, Luc, Ipos, Antistress) Le matériel libre est sur les rails, et il va nourrir une nouvelle ère d’innovation, si on en croit Joichi « Joi » Ito, directeur du MIT Media Lab. Selon Ito, l’émergence de plans de matériels disponibles librement et de composants quasi-libres va propulser l’innovation technologique, comme a pu le faire le logiciel libre il y a une dizaine d’années. Quel modèle économique pour le jeu vidéo libre? Ayant donné une conférence sur les modèles économiques appliqués aux jeux vidéos libres lors des JM2L 2011 en novembre, je vous propose ci-dessous une version texte des idées énoncées.

Sommaire Introduction J'ai choisi en introduction de faire allusion à la conférence d'Icculus Gaming on Linux. J'ai l'impression de constater, à l'écoute de cette conférence, le rapprochement progressif du jeu vidéo et du Libre, de la publication du code de rendu d'Unreal Tournament 99 à la libération du code complet de Quake III. Le récit se termine sur l’expérience Humble Indie Bundle, déjà maintes fois mentionnée ici, qui génère beaucoup d'emploi pour ledit Icculus (dont le métier est de faire les versions GNU/Linux et Mac OS X de jeux vidéos). L'exemple le plus intéressant de cette série d'Humble Indie Bundle est Revenge of the titans. Avant de commencer sur les modèles économiques en eux-mêmes, une autre parenthèse sur la pertinence du libre dans le cas du jeu vidéo. Ce qu'il ne faut pas perdre du libre. Opensource.com | Open Source Beyond Technology. Projet Open Compute : Facebook partage les secrets de son datacenter.

Facebook a publié les spécifications de son projet Open Compute, une sorte de livre de recettes dans lequel la firme dévoile ses méthodes pour rendre les serveurs en rack plus légers et les systèmes énergétiques plus efficaces. Elle livre aussi ses solutions pour refroidir des séries d'ordinateurs sans recourir à un système de climatisation. En fait, l'entreprise a décidé de partager certains secrets qui font que son centre de données de Prineville, Oregon, est l'un des plus efficaces du monde, offrant en quelque sorte un design Open Source pour centres de calcul. Illustration : Le datacenter de FaceBook à Prineville, Oregon« Les besoins de Facebook en terme de centres de calcul vont aller croissant, à mesure que nous ajoutons davantage d'applications en temps réel, » a encore déclaré le fondateur. « Il faut donc être capable de concevoir des serveurs plus efficaces, tant en améliorant le rapport puissance/efficacité que le coût.

Partenariat direct avec plusieurs fournisseurs.

Open Data

Richard Stallman - 2011-12-14 - Paris, France | Free Software Foundation. Thanks for your interest in this event featuring Free Software Foundation president Richard Stallman! Please fill out this short form so the FSF can contact you about future events in your area. Note that this is not the registration form for this event -- please see the official event web site for information about how to register. We'll keep you updated on future FSF events, especially those with Richard Stallman, happening in your area. To receive additional news from the FSF, please check all of the topics you are interested in hearing more about. You'll then receive an email asking you to confirm your subscription. The FSF very rarely sends paper mailings (only twice a year to our donors), but we can give you more relevant event updates if you provide a little information about where you're located. We will not publish or share your email address with any party outside the FSF.

Stallman avait malheureusement raison depuis le début. Le cauchemar paranoïaque et apocalyptique d’un geek psychorigide est en passe de devenir réalité. Trente ans, trente ans que Stallman et la Free Software Foundation répètent inlassablement qu’il est fondamental que ce soit l’homme qui contrôle le logiciel, et donc la machine, et non l’inverse. Le discours est peut-être radical sur le fond (car il ne souffre d’aucune compromission) et parfois excentrique dans la forme (le personnage Richard Stallman[1] ) mais, comme Thom Holwerda ci-dessous, nous sommes de plus en plus nombreux à réaliser sa justesse et sa pertinence au fur et à mesure que le temps passe et les libertés s’amenuisent. C’est d’ailleurs aussi voire surtout pour cela que nous avions traduit et enrichi avec lui sa biographie où figure en exergue cette citation de Lessig qui, cela dépend de nous, peut tout aussi bien être prémonitoire que tomber dans l’oubli : « Chaque génération a son philosophe, écrivain ou artiste qui saisit et incarne l’imaginaire du moment.

Or nous y voici. Richard Stallman Was Right All Along. Late last year, president Obama signed a law that makes it possible to indefinitely detain terrorist suspects without any form of trial or due process. Peaceful protesters in Occupy movements all over the world have been labelled as terrorists by the authorities. Initiatives like SOPA promote diligent monitoring of communication channels. Thirty years ago, when Richard Stallman launched the GNU project, and during the three decades that followed, his sometimes extreme views and peculiar antics were ridiculed and disregarded as paranoia - but here we are, 2012, and his once paranoid what-ifs have become reality.

Up until relatively recently, it's been easy to dismiss Richard Stallman as a paranoid fanatic, someone who lost touch with reality long ago. His views have always been extreme. As our society grows more dependent on computers, the software we run is of critical importance to securing the future of a free society. I, too, disregarded Stallman as way too extreme. Mozilla présente sa Public License 2.0, plus simple et modernisée.

Mozilla a présenté hier le résultat de 21 mois de consultation publique : la Mozilla Public License 2.0, plus simplement appelé MPL2. L’occasion pour l’éditeur de Firefox et Thunderbird de marquer la différence en créant une licence de type « voie du milieu ». Selon Mozilla même, la MPL est un « espace utilisé dans le spectre des licences des logiciels libres et open source, prenant place entre la licence Apache, qui ne requiert pas un partage des modifications, et la famille des licences GNU, qui requièrent un partage des modifications dans une gamme de circonstances plus larges que la MPL ». En clair, une licence moins permissive que celle d’Apache, mais davantage que la GPL. Les échanges de code avec ces deux licences s’en retrouvent facilité.

La MPL2 a été approuvée par la Free Software Foundation qui en a testé la compatibilité avec la GPL, ainsi que par l’Open Source Initiative qui veillait au respect des fondamentaux de l’open source. Vincent Hermann. Option Libre, nouveau framabook pour tout savoir sur les licences libres. En cette nouvelle année 2012, Framasoft est fier et heureux de vous annoncer la sortie d’un nouveau livre framabook que nous attendions depuis longtemps : Option Libre. du bon usage des licences libres, par notre ami et fidèle collaborateur Benjamin Jean.

Nous l’attendions depuis longtemps mais peut-être vous aussi. Ce livre que nous espérons précieux et utile vient en effet combler une lacune, celle de donner une information claire, riche et précise sur les différentes licences libres. Afin de faire son choix et/ou les utiliser en toute connaissance de cause. Nous aurons l’occasion d’en parler plus en détails dans de futurs billets, mais en attendant place à la préface de Michel Vivant, professeur à Sciences Po., que nous vous suggérons fortement de lire car, au delà de donner envie de parcourir l’ouvrage, elle est au demeurant fort bien écrite : « Le Libre n’est ni objet d’effarouchement ni objet de militantisme. Le Libre est tout simplement. ». Préface. New Zealand rejects software patents. Image credits: Image source: Public domain Recently the NZ govt announced that it was to remove software from the list of items that can be patented.

This decision came after hectic lobbying from the open source community on one side and the proprietary vendors on the other side. For the past few months, the debate revolved around the section titled “Patentable Inventions” in the Patents Bill. Right off the bat, this section says, “We recommend amending clause 15 to include computer programs among inventions that may not be patented.” This obviously did not go too well with the pro-software patents lobby and open source supporters feared that this recommendation may be overturned. However, on 15th July, 2010, a New Zealand Government web site reported that Commerce Minister, Simon Power instructed the Intellectual Property Office of New Zealand (IPONZ) to develop guidelines to allow inventions that contain embedded software to be patented.