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La polémique Facebook assombrit son éventuelle entrée en bourse - Web 1,2,3 - ElectronLibre. MediasSociaux.fr. Faut-il interdire l’usage des réseaux sociaux au bureau ? Une pause comme une autre Les Français passent en moyenne 1h34 minutes par jour sur internet, dont seulement 35min dans le cadre d’un usage professionnel. Près d’une heure de surf quotidien est donc consacrée aux loisirs : 5 minutes pour suivre l’actualité de ses contacts sur Facebook, 5 minutes pour choisir un programme TV ou un film au ciné pour le soir… Ces « petites pauses » sont considérées par beaucoup d’employés comme nécessaires pour décompresser, à l’égal de la pause cigarette ou café.

Elles ont généralement lieux en début de matinée, entre midi et 15h, et en toute fin de journée, avant de quitter le travail et paraissent relativement brèves sur le moment, mais une fois mises bout à bout, elles représentent un temps considérable. Parmi les sites les plus consultés, on retrouve en première position les réseaux sociaux (Facebook, Twitter…), qui représentent 20 % du surf à caractère personnel. Une perte de productivité importante Et vous, qu’en pensez-vous ? How PR People Are Destroying Social Media. This is by definition a controversial post and a bit of a rant. So I want to be clear what I’m saying, and who towards – and who I’m not talking about. I’m not saying all PR people are destroying Social Media. I consider a number of Social Media experts with PR backgrounds to be friends of mine, and I converse with them regularly.

But there is a type of PR person in Social Media that I’ll call the Ignorant Opportunist, and these are the people who are hurting Social Media. I’ll say more about how they’re hurting Social Media later, but in brief: They are blocking the growth and effectiveness of Social Media, and they’re confusing both the people who need to be using it and and the people who are paying for it. Who is the Ignorant Opportunist in Social Media PR? Here are their characteristics: Opportunism Due to Decline in Demand For PR It’s obvious how they are opportunists. How would they replace this revenue with their existing skill base?

Social Media was the obvious answer. Photo credits: - Groupe Quatre Vents. Conférence organisée par Quatre Vents le mercredi 30 mars 2011 à Paris 8ème Les phénomènes de prescription occupent une place déterminante dans le développement de votre image employeur : bouche à oreille, prescription directe et indirecte, réseaux sociaux... Alors que les entreprises et institutions sont aujourd'hui globalement dans la construction et le déploiement de leur communication RH, développer et maîtriser la prescription est plus que jamais un enjeu crucial pour attirer les meilleurs talents. Les différents aspects qui ont été abordés lors de la matinée : Quels sont les leviers de la prescription pour accélérer ma communication de recrutement ? Comment générer du bouche à oreille positif pour ma marque employeur ? Communautés internes et externes : comment les animer pour allier efficacité et résultats ?

Les réseaux sociaux : outils de recrutement ou vecteur pour mieux faire connaître mes métiers ? En partenariat avec : Pour Warren Buffet, la plupart des réseaux sociaux sont surévalués. Le milliardaire américain met en garde contre des investissements hasardeux dans des réseaux sociaux, dont plusieurs devraient entrer en Bourse cette année. En voyage en Inde, le milliardaire Warren Buffet a affirmé que "la plupart [des réseaux sociaux] sont surévalués", selon l'agence "Bloomberg". Pour lui, seuls quelques-uns seront de "grands gagnants", ce qui compensera les pertes des autres. Des propos qui font écho à ceux d'un autre milliardaire – très présent dans le Web – Barry Diller. Le patron de IAC, propriétaire notamment de Match.com et de Ask.com, a qualifié récemment les valorisation de certains sites "mathématiquement insensé". Warren Buffet est le troisième homme le plus riche du monde (Lire l'article : Warren Buffett, 50 milliards de dollars, du 09/03/11).

(Billet invité) Pierre Bellanger : L'avenir des réseaux sociaux. J'ai le plaisir de partager avec vous cette réflexion de Pierre Bellanger, fondateur et PDG de Skyrock, et donc de la plate-forme Skyblog, sur l'avenir des réseaux sociaux. Les premiers services de réseaux sociaux sur Internet ont eu pour promesse initiale d’aider à la mise en relation entre elles de personnes appartenant à des populations définies par un besoin ou une situation.

Sous la forme originelle de groupes de soutien, les malades souffrant d’une même pathologie se retrouvent sur des forums précurseurs de ces services. En Asie, le coréen « CyWorld » débute en 1999 et fédère la jeune génération qui s’y retrouve sous le couvert d’avatars. Au Japon, « Mixi », fondé en 2000, recrute sur invitation, favorisant la constitution d’un réseau homogène. Le chinois « Renren », créé en 2005, se focalise sur la communauté estudiantine ‐ avec quand même plus 160 millions de membres ‐ qui échangent sous pseudo. Tout d’abord, le premier usage de « Facebook » est incroyable. Twitter isn't very social: study. When discussing the internet's social media revolution, you can count on Twitter being mentioned. While Twitter may not be structured like, say, Facebook, Twitter is commonly thought of as an online social network. But what if it really isn't much like a social network at all, and what if the media sharing on Twitter isn't very "social"?

According to a study conducted by Yahoo Research, which looked at 260m tweets sent on Twitter between July 28, 2009 and March 8, 2010 containing bit.ly-shortened URLs, that seems to be the case. A whopping 50% of all content consumed on Twitter is generated by only 20,000 users. This is no 80/20 rule: even if we assume that a significant number of Twitter accounts are dormant (which appears to be a valid assumption), a very, very small group of "elite" users (0.05% of all users by Yahoo Research's calculation) is producing half of the content that gets consumed. What's more: Les médias sociaux, pépinières de fraudeurs - secteurs-d-activite. Cela fait une quinzaine d'années qu'on met en garde les employés contre les pourriels et l'hameçonnage, en les exhortant de ne jamais ouvrir un fichier annexé dont l'expéditeur est inconnu. Mais aujourd'hui, la menace de fraude informatique vient d'ailleurs : des médias sociaux.

" Souvent, au milieu des contenus mis en ligne sur ces plateformes, se glissent des applications ou des logiciels malveillants que les utilisateurs n'hésiteraient pas un instant à supprimer s'ils se présentaient sous forme de courriels ", explique Benoît Dupont, directeur du Centre international de criminologie comparée de l'Université de Montréal. Des applications non fournies par Facebook, LinkedIn ou Twitter se greffent à ces plateformes. Ainsi, les logiciels de jeu incitant à envoyer un cadeau à un ami, à énumérer ses loisirs ou ses mets préférés fournissent beaucoup d'information sur les utilisateurs. Les publicitaires s'en servent pour cibler des clients potentiels. La discrétion est de mise. Medias sociaux dans le management de projet : trop d’une bonne chose ? Les médias sociaux pour la gestion de projet : trop d’une bonne chose ?

Un billet de Neil Stolovitsky de GeniusInside Les professionnels en gestion de projet savent que l’objectif numéro 1 est de terminer le projet dans les temps et dans le budget. Le plus grand défi dans cette quête est de gérer l’inattendu qui arrive forcément au cours d’un cycle de projet. Organiser le chaos est une grande qualité pour un chef de projet. C’est pourquoi plusieurs grands chefs de projets ont une approche prudente de l’intégration des médias sociaux dans leurs choix d’outils pour gérer les projets. Alors que les meilleures pratiques de gestion de projets influencent le plus la réussite des projets, les outils choisis sont également importants. Plusieurs chefs de projets se demandent si l’introduction des médias sociaux dans les meilleures pratiques structurées ajouterait une couche de chaos dans le processus qui ne serait pas la bienvenue.

Mais trop de bonnes choses peut être dangereux. Conclusion. Facebook veut mettre fin à l'anonymat dans les commentaires sur le Web. Les grands flops du Web 2.0. Why should I care about digital privacy? - Technology & science. Gary LosHuertos parked himself in a New York City cafe last fall and fired up a new tool for snooping on people as they use free wireless. Within minutes, he had managed to spy on more than a dozen people as they used Facebook. It was just an experiment by the Web software expert, but he wanted to make a point — so he used the victims' own Facebook accounts to send them each an unnerving warning message.

He told them he'd hacked their accounts, and he knew where they were. He expected cursing, anger, perhaps some furious typing. "Really wasn't kidding about the insecurity thing," he wrote. Special report: Digital privacy Why should I care about digital privacy? Twenty minutes passed. Even his incredibly spooky message didn't change their behavior. "What's absolutely incomprehensible is that after someone has been alerted to the danger (from their own account!) Welcome to the world of privacy experts like Larry Ponemon and Alessandro Acquisti. . © 2013 msnbc.com Reprints. La Community Manager d’Air France décrypte le bad buzz du week-end dernier. Des milliers de tweets et de très nombreux posts sur des blogs se sont répandus dimanche, créant ce qu’il faut appeler par son nom: un bad buzz pour Air France. A l’origine de l’emballement, des français à Tokyo cherchent le week-end dernier un billet d’avion pour rentrer en urgence en France et tombent sur des tarifs exorbitants sur la ligne Air France.

Ils essaient alors de sensibiliser la compagnie ou de transmettre leur colère via Twitter. Sans réponse via le site de micro-blogging, la situation dégénère. La compagnie est accusée d’avoir augmenté ses tarifs pour profiter de la situation et le community management d’Air France d’être au tennis en pleine crise au lieu de répondre à ses clients.

Décryptage vu du côté d’Air France avec Marina Tymen. . « Le samedi, dimanche et le soir nous surveillons nos médias sociaux. J’ai certainement commis l’erreur de ne pas avoir tweeté pour dire que les messages avaient bien été lus ou pris en considération.