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La sur-information

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Information et surinformation - VR2 Formation. N°51 - La Newsletter VR2 - Dossier « La société se caractérisera par une surabondance d'informations.

Information et surinformation - VR2 Formation

Le défi sera de ne pas confondre l'accessoire et l'essentiel. » – Aurélie Royet-Gounin L'information est utile, voire nécessaire. Mais trop d'informations peuvent générer une surinformation. Il en résulte un stress nuisible. Des moyens d'information nombreux et puissants. Le contenu d'un seul journal réputé sérieux contient aujourd'hui peut-être plus d'informations qu'une personne du XVIIe siècle n'en aurait reçues en une vie. Pour ne parler encore que de la presse, il faut ajouter les autres quotidiens, hebdomadaires, revues et magazines divers. Bien entendu, viennent aussi les livres, innombrables, les médias modernes sur supports électroniques et, évidemment, le champion toutes catégories de l'information : internet. Il ne s'agit pas ici de conclure à l'infaillibilité de ces supports mais à l'incommensurable quantité d'informations qui y circulent avec une fluidité quasi magique.

F. Comprendre la désinformation. De l'importance de maîtriser l'information. De l’information à la surinformation. Nos attentes sont contradictoires.

De l’information à la surinformation

Dénoncer le fait que l’on reçoit trop de mails dans sa boite et pourtant ressentir une irrésistible envie de les lire au fur et à mesure qu’ils arrivent. Vouloir savoir tout sur tout mais regretter la surinformation dont on est victime. Pester contre son Intranet dans lequel on ne trouve pas ce que l’on cherche mais ne pas se demander à quoi cet intranet est destiné. Se plaindre que les autres n’alimentent pas le super système collaboratif que l’on a mis en place et se souvenir qu’on ne l’a pas soi-même alimenté. Instituer un agenda partagé et constater qu’il est inutilisable parce que rarement mis à jour. En 2007, je signalais qu’Intel proposait à 150 de ses ingénieurs de ne plus communiquer par mail le vendredi afin d’améliorer la productivité de l’entreprise.

La surinformation médicale avec Internet conduit-elle à une désinformation ? Info-boulimique ou Info-anorexique, l’infobèsité apprivoisée ! Que vous soyez gourmand, glouton ou frugal, la surcharge informationnelle nous touche tous mais nous fait tous réagir différemment.Certains l’évitent et se privent.

Info-boulimique ou Info-anorexique, l’infobèsité apprivoisée !

D’autres avalent tout et n’importe quoi. L’infobésité, un fléau dans le monde du travail - Carrière Informatique. L’arrivée de la surinformation Aujourd’hui, un cadre reçoit environ 10 fois plus d’informations qu’il y a 15 ans.

L’infobésité, un fléau dans le monde du travail - Carrière Informatique

Cette tendance a des impacts négatifs non négligeables et nous sommes et restons toutefois très attachés à l’information. La mondialisation et les nouvelles technologies de l’information et de la communication sont à la base de ce phénomène et ont engendré des échanges de plus en plus intenses dans le monde entier. De plus, les moyens et supports de communication se sont multipliés. C’est pourquoi, aujourd’hui, nous pouvons avoir accès à l’information partout et sous plusieurs formes : smartphone, tablette, ordinateur.

Quels en sont les impacts ? Le courrier électronique est devenu un outil indispensable au sein des sociétés. Comment lutter contre ce phénomène ? Les entreprises sont les premières à pouvoir lutter contre la surcharge de mail. Ces offres d'emploi devraient vous intéresser. Surcharge informationnelle. Quantité d’informations supérieure à la capacité de traitement et/ou d’analyse d’un système ou d’un individu.

Surcharge informationnelle

Pour faire face à l’infobésité, il faut utiliser la veille et la cura… La surcharge informationnelle dans l’organisation : les cadres au bord de la « crise de nerf » La surcharge informationnelle dans l’organisation : les cadres au bord de la « crise de nerf » Caroline Sauvajol-Rialland, auteure de « Mieux s'informer pour mieux communiquer », Dunod Télécharger le Magazine pour plus de confort de lecture de cet article.

La surcharge informationnelle dans l’organisation : les cadres au bord de la « crise de nerf »

L’infobésité (surinformation) coûterait aux entreprises 900 milliards $ Entre les popups de Outlook qui s’affichent à chaque réception de mail, la messagerie instantanée, Twitter, Facebook, Google…il y a forcément une perte de temps pendant les heures de travail.

L’infobésité (surinformation) coûterait aux entreprises 900 milliards $

Et elle est estimée selon le cabinet Basex, à près de 900 milliards de dollars américains. Ce coût lié principalement aux interruptions est équivalent à 28% du temps passé au travail. (voir aussi le calculateur d’infobésite « Information Overload Calculator » de Basex) Pourquoi un coût élevé lié à l’interruption ? Parce que le temps nécessaire à atteindre son niveau de concentration est estimé entre 10 et 20 fois le temps de la distraction elle même. La sur-information ou l’infobésité (information overload en anglais) est désormais l’un des plus grands problèmes à résoudre pendant les 10 proochaines années : contenus de plus en plus volumineux, déstructurés, diffusés par le multi-canal (sms, mail, mobile, papier…)

Surcharge informationnelle. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Surcharge informationnelle

La surcharge informationnelle (en anglais information overload), ou surinformation[1] ou encore infobésité (néologisme québécois[2]), est un concept désignant l'excès d'informations qu'une personne ne peut traiter ou supporter sans nuire à elle-même ou à son activité. Cette notion, également évoquée par le sociologue Edgar Morin sous l'appellation de « nuage informationnel », est quelque peu différente du brouillard informationnel en temps de guerre[3]. Histoire[modifier | modifier le code] Bien que ce concept soit au début du XXIe siècle étroitement lié au développement des chaînes de télévision d'information en continu, à l'utilisation des technologies de l'information et de la communication et, en particulier, les nouvelles technologies de l'information représentées par Internet, il a fait son apparition dès le début des années 1960 comme l'une des sources de dysfonctionnement des organisations[4].

Citations[modifier | modifier le code]