Soissons-Auschwitz : un aller sans retour par Lycée Saint-Rémy - Soissons: History. Soissons: un livre sur la déportation écrit par des collégiens. Histoire Jeudi, c'était l'aboutissement d'une belle aventure pour 36 lycéens de Soissons. Après plusieurs mois d'enquêtes et de recherches historiques sur les traces des déportés juifs du Soissonnais durant la 2nde Guerre Mondiale, ils présentaient leur livre "Soissons-Auschwitz un aller sans retour". Par Jennifer Alberts Publié le 28/06/2013 | 10:23 © France 3 Picardie/Rémi Vivenot Ce travail a été mené avec le concours des descendants de ces déportés. Voir la vidéo Le livre sur la déportation de collégiens axonais Avec Richard Samier, elève en 1ère ES au lycée Saint-Rémy; Mathilde Poncelet, elève en Terminale STSSA; Stéphane Amélineau, enseignant et documentaliste et Viviane Harif-Bich, fille de déportés soissonnais/Reportage de Rémi Vivenot et Eric Henry.
La Shoah, un travail de mémoire pour les lycéens. Par la rédaction pour L'union-L'Ardennais, Publié le 23/03/2013 - Mis à jour le 23/03/2013 à 11:48 36 élèves du lycée Saint-Rémy ont fait un itinéraire de mémoire de 15 familles soissonnaises, déportées vers les camps de la mort. Micheline Lewkowicz s'est trouvée sur leur chemin. ITINÉRAIRE de Mémoire Soissons-Auschwitz, un aller sans-retour. C'est à partir de cette thématique que 36 lycéens volontaires du lycée Saint-Rémy ont construit un véritable travail d'orfèvre.
Apprentis historiens Aidés de Stéphane Amélineau, professeur-documentaliste, les élèves sont devenus « des apprentis historiens ». « Ce qui n'est pas facile car les documents parfois se contredisent », témoigne leur professeur. C'est le troisième projet sur la Shoah avec ses élèves mais celui-ci a été particulièrement emprunt d'émotions. Les recherches ont même abouti à l'acquisition d'un document « rare ». Louise MOUTON. Bientôt un livre. Deux filles de déportés et la mémoire d'un beau-frère. Publié le lundi 23 juillet 2012 à 10H53 - Vu 165 fois SOISSONS (Aisne) Les filles d'un couple de déportés participaient hier à la cérémonie soissonnaise. Elles souhaitent rendre hommage à leur beau-frère qui leur a sauvé la vie. «MAMAN pleurait, elle ne pouvait pas parler. Papa m'a dit : Jacques est fort, il va te porter. » Clairette Huet avait 5 ans, en 1942, lorsque ses parents ont été emmenés par la police française, une nuit de juillet, « vers 3 ou 4 heures du matin ».
Elle n'allait jamais les revoir. Eux ne pensaient pas partir longtemps, apparemment : « Ils ont crié dans la rue : au revoir les voisins ! » ajoute la sœur aînée, Micheline Lewkowicz, qui porte toujours le nom de son papa. Si Micheline avait déjà joué ce rôle, pour Clairette Huet, c'était la première fois. Les mêmes images Après la guerre, le logement du jeune couple étant trop petit, les enfants ont été accueillis dans un établissement de santé avant de revenir à Soissons, à l'orphelinat Saint-Vincent-de-Paul. Voyage au pays de l'horreur. Mis à l'honneur pour son travail sur la Déportation L'Étoile civique à Saint-Rémy. Lycée Saint-Rémy Shoah : les mots pour le dire. De Drancy à Auschwitz, sur les pas d'ados déportés. Des lycéens de Saint-Rémy face à la Déportation.