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Développement personel

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J'ai peur de m'endormir. <span class=aff_author>ethernel</span> Je comprend ton problème. Ça s'appelle de l'hypnophobie, j'en souffre depuis qqs mois déja et c'est franchement insuportable. C'est ridicule j,ai bien conscience que je ne vais pas mourrir, mais la perte de conscience qui survient lorsque l'on s'endort... je trouve ca horrible, c'est pratiquement la même sensation que l'évanouissement.

Le pire c'est que j'arrive facilement a cet état tellement je suis fatigué et même que parfois environs 5 seconde après m'être finalement endormis je me réveille completement paniqué avec des palpitations, douleur de poitrine etc bref en crise de panique... je rationalise et 20 seconde plus tard j'arrive a me "rendormir" puis nouvelle crise et ainsi de suite pendant 3-4 heures jusqu'a ce que je tombe. Bref... j'ai peu de conseils a te donner puisque je suis pris avec le meme probleme que toi. Seulement que la consultation d'un psy, préférablement cognitivo-comportementaliste, peut t'aider. Déréalisation (aidez-moi !) Par : libertiscarlett voila je vous envoi ce message car j'ai besoin d'aide si vous avez des solutions, des information, tous ce qui concerne ce trouble, cette maladie, je ne sais pas comment définir ceci, faite en moi part s'il vous plait, besoin d'aide... voici mon article: bonjour. j'ai décider de témoigner sur ce sujet. jai mis du temps a pouvoir mettre des mots sur ce sentiment si particulier et même d'en parler.jusqu'a il ya quelque temps je n'avais jamais entendus parlé de ce symptome c'est ma soeur qui m'en a parler aprés qu'enfin j'ai osé me confier.

J'ai continué ma vie mais maintenant,j'aimerai redevenir la personne que j'était avant pouvoir revivre et me débarassé de cette sensation d'iréalité. aidez moi dite moi si vous ressentez cela aussi car jusqu'a maintenan les rares personnes auquelles je me suis confié non jamais resentis ça, je me suis dis que sa devais etre une sensation lié au passage de la vie d'enfant vers la vie d'adulte et bein apparament ce n'est pas le cas... Conseil et formation en management de projet - CaptainProjet.

Un psy comportemental

Je pense trop : comment canaliser ce mental envahissant (1/2) Après le livre sur la scannitude de Jean-Philippe Touzeau, nous voilà repartis pour une exploration des personnalités créatives. Vous savez : ceux qui débordent d’idées et se posent sans cesse des myriades de questions. Dans leur tête, ça va trop vite. Ils en ont marre des doutes, de cette conscience suraigüe des choses. Ils voudraient pouvoir enfin débrancher leur esprit. Si vous vous reconnaissez dans ce tableau, Christel Petitcollin est là pour vous aider, puisque dans son livre Je pense trop, elle décrypte avec beaucoup de finesse le fonctionnement et la personnalité de ces surchauffés du bulbe qu’elle nomme affectueusement les surefficients mentaux.

Et on y trouve aussi quelques solutions pour bien vivre cette spécificité psychologique. Je vous propose de voir ensemble dans la suite de cet article quelques-uns des concepts les plus marquant du livre… L’hypersensibilité et le foisonnement mental Hypersensibles, les surefficients mentaux sont avides de précisions.

Simulateur d'aube

Lindsay MacDougall | healing from the source & cultivating our artist's life. Luminothérapie. Changez vos pensées, changez votre vie : La sagesse du Tao: Amazon.fr: Wayne-W Dyer, Christian Hallé: Livres. Les excuses, ça suffit ! Comment transformer les modèles de pensée de toute une vie: Amazon.fr: Dr Wayne W. Dyer: Livres. Reconnaître les vrais besoins. B. Les dimensions du besoin Pour mieux cerner la nature exacte des besoins humains je vais en définir les principales caractéristiques. Nous verrons que chacune soulève des questions importantes rattachées à la fonction des besoins et aux façons dont nous les assumons. Cette partie de l’article permettra non seulement de mieux définir comment nous pouvons distinguer nos besoins mais aussi de mieux comprendre les pièges qu’ils recèlent. Vital ou optionnel ? Par définition, un besoin est impérieux. Si nous ignorons nos besoins, c’est toujours au détriment de notre vitalité.

Pour les deux personnes suivantes, la survie physique n’est pas un problème. Jean-Claude a toujours eu l’impression que sa mère ne l’aimait pas. Pour autant qu’elle s’en souvienne, Monique a toujours été plutôt effacée. La première caractéristique essentielle d’un besoin est son caractère vital. Permanent ou variable ? Je suis excitée comme une adolescente à l’idée de revoir cet homme qui me plaît tellement. En résumé.