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Von Mayenburg

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Idées graphiques

VIDEO. Martyr de Marius Von Mayenburg au Théâtre National de Strasbourg. Mis en scène par Matthieu Roy, Martyr de Marius Von Mayenburg poursuit une réflexion autour des figures de l’adolescence Matthieu Roy met en scène la pièce “Martyr” de Marius Von Mayenburg, présentée au Théâtre National de Strasbourg. Les vingt-sept scènes se succèdent rapidement et racontent l’histoire de Benjamin et de son basculement dans le fanatisme religieux. En janvier 2014, France 3 présentait “Martyr” mis en scène par Matthieu Roy lors de sa représentation au Théâtre Auditorium de Poitiers. Martyr et le triptyque “Visage(s) de notre jeunesse” “Martyr” poursuit cette réflexion autour des figures de l’adolescence, mais cette fois à travers le thème du fanatisme religieux.

Selon Matthieu Roy, il est « nécessaire de faire entendre cette pièce en France, car elle pose la question de la radicalisation d’un adolescent, de son parcours fanatique par le prisme de la bible ». Réflexion autour de l’adolescence, de l’éducation et de la transmission Le rôle de Benjamin Distribution Date : Durée : Martyr en bref et en coulisses | Hors Scène. Etrange mécanique : la répétition théâtrale Peu importe le travail, pourvu qu’on soit ému.

Au théâtre le spectateur veut du spectacle. Et ce qui se passe avant la représentation, derrière le rideau, a justement vocation à y rester pensais-je. La répétition générale de Martyr m’a donnée tort : la prestation est aussi là où ne l’attend pas, la création d’une mise en scène est un spectacle… chargée de rapport de forces et de compromis. Plongée dans l’envers du décor, où patience est mère de vertus. « Hier c’était une bonne générale, il y a beaucoup de bonnes choses qui sont apparues» attaque Matthieu Roy, metteur en scène et auteur de la pièce « Mais…. » reprend-il. «… Mais tout est affaire de justesse, d’équilibre » souffle-t-il à sa troupe. « On va trouver, c’est pas grand chose. » Faire fonctionner cette machine, dont les rouages sont es comédiens, il s’y acharne comme un contremaître. . « Un rythme plus sinusoïdal que linéaire » Mais qui cherche-t-il à corriger vraiment ?

VIDEO. Martyr de Marius Von Mayenburg au Théâtre National de Strasbourg. Avignon-2014_brochure couverture. Lephenix. Matthieu Roy met en scène le texte très récent de l’auteur allemand Marius Von Mayenburg. Intégrisme religieux, adolescence, milieu familial et scolaire… Des thèmes très actuels épluchés par Étienne Visinet, professeur missionné du phénix scène nationale. Sur Marius von Mayenburg et la pièce Martyr Lien vers une page consacrée à Marius von Mayenburg sur le site Théâtre contemporain.net Références du texte, publié chez l’Arche éditeur Une critique du texte de Marius Von Mayenburg Textes de Marius von Mayenburg disponibles à la médiathèque de Valenciennes Sur Matthieu Roy et sa mise en scène de Martyr Lien vers une page consacrée à Matthieu Roy sur le site Théâtre contemporain.net Pour en savoir plus sur les créations de Matthieu Roy, un lien vers le dossier artistique de la Compagnie du veilleur Lien vers un dossier artistique du spectacle(avec intentions de mise en scène, maquette de la scénographie et résumé de la pièce scène par scène) Les pistes pédagogiques.

Présentation de Marius Von Mayenburg, artiste de théâtre contemporain - tous ses textes, mises en scène, activités. Né à Munich en 1972. Il fait tout d'abord des études de langue, littérature et civilisation allemandes anciennes, déménage en 1992 à Berlin, où, de 1994 à 1998, il suit au Conservatoire les cours " d'écriture scénique" avec Yaak Karsunke et Tankred Dorst, notamment. En 1995, il fait un stage aux Münchner Kammerspiele. En 1996, il écrit les pièces Haarmann et Fräulein Danzer, puis en 1997, Monsterdämmerung et Feuergesicht (Visage de feu), pour laquelle il obtient le Prix Kleist et le prix de la Fondation des auteurs de Francfort. La pièce, créée à Munich en 1998, puis à Hambourg, par Thomas Ostermeier en 1999, a également été mise en scène en Grèce, en Pologne et en Hongrie. Collaborateur de l'équipe artistique de Thomas Ostermeier à la Baracke à Berlin (1998-1999), il rejoint en 1999 la Schaubühne comme auteur, dramaturge et traducteur (Gier / Crave de Sarah Kane, Kane, The City de Martin Crimp).

Ses oeuvres sont jouées dans toute l'Europe et au-delà. Feral_tous_th_est_po.pdf. En scènes : le spectacle vivant en vidéo. Parcours thématique Marion Chénetier-Alev Introduction Lorsqu'en 1954 la troupe du Berliner Ensemble présente pour la première fois à Paris les spectacles de Bertolt Brecht, il n'y a qu'une semaine de représentations et le public est assez peu nombreux. Mais le choc que ces spectacles produisent sur des critiques comme Bernard Dort ou Roland Barthes suscite du jour au lendemain un formidable engouement pour l'œuvre et la théorie du dramaturge allemand qui va influencer de façon décisive le théâtre français jusqu'à nos jours.

Au tournant des XIXe et XXe siècles, de grandes figures telles qu'Artaud, Craig, Appia, Copeau ont déjà contribué à réformer le théâtre en profondeur. La révélation brechtienne est triple : fait rare dans l'histoire du théâtre, Brecht est à la fois un grand metteur en scène, un très grand auteur, et il vient au théâtre avec une philosophie issue de sa lecture attentive de Marx et de Hegel. L'élaboration du théâtre brechtien Les influences décisives Les années d'exil. Présentation - Visage de Feu - Marius Von Mayenburg - mise en scène Sofia Betz,

« Tout va bien à la table familiale. Un père ingénieur, une mère qui fait régner l’harmonie, et des enfants, tout ce qu’il y a de plus normaux. Juste en pleine puberté. » OLGA – Tu peux pisser n’importe où, sur une de ces machines à coudre, dit-il, dans deux heures, ici, il ne restera plus rien de toute façon. Ca me fait pouffer de rire, une fois de plus, mais je m’accroupis, là où je suis, sur le tapis. « Ce n’est pas parce que tout est visible qu’on doit tout regarder.

La violence se constate, aujourd’hui : on en témoigne, on l’analyse, on la relate ; on essaye d’y mettre le plus de réalisme possible. Sofia Betz La première lecture de Visage de feu était perturbante : il s’agissait globalement d’une histoire tragique finissant en double meurtre, suicide et fuite. Se posaient les questions de la subjectivité et des faits ; de la responsabilité, de la culpabilité ; de l’incapacité à communiquer. Avant tout, de la légèreté !