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Dépendance

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Êtes-vous « addict  au sport ? C’est avec un très grand plaisirs que nous accueillons une nouvelle plume sur ce blog.

Êtes-vous « addict  au sport ?

Il s’agit de Nathalie, Psychologue spécialisé dans le stress en entreprise. Elle vient nous apporter son éclairage scientifique sur ce qui est pour nous plus qu’un « passe temps » ! Une récente étude montre que 36% des Européens (de 15 à 65 ans) courent ; chiffre en forte augmentation. La bigorexie, ou la dépendance au sport. Les bases en neuropédagogie et neuroéducation. Le cerveau est un lieu où se produisent de nombreuses réactions chimiques. Celles-ci sont influencées par nos actes comme notre environnement (nourriture, activités physiques, etc.), qui modifient à leur tour nos émotions, comportements, capacités cognitives et même ce que nous pensons ! Neurotransmetteurs, neuromodulateurs et hormones influencent donc considérablement notre vie. Les neurotransmetteurs, appelés également neuromédiateurs, sont des produits chimiques synthétisés (créés) par le cerveau. Blog expert : L'addiction au sport !

On connaît bien l'addiction aux drogues (tabac, alcool et autres illicites), l'addiction aux jeux, et l'addiction au sexe.

Blog expert : L'addiction au sport !

L'addiction au sport est plus récente. Cette dépendance à l'exercice physique a été décrite en 1970 par Baekeland, qui a montré pour la première fois les effets psychologiques de la cessation d'activité sportive, notamment sur le sommeil. L'arrêt forcé du sport entraîne un syndrome de sevrage typique des autres addictions : irritabilité, troubles du sommeil, états dépressifs, troubles alimentaires associés à un niveau élevé de culpabilité et à des signes somatiques divers. À partir de quand peut-on parler d'addiction au sport ? Par La rédaction d'Allodocteurs.fr Rédigé le , mis à jour le Les réponses avec le Dr Laurent Karila, psychiatre et spécialiste des addictions et le Dr Stéphane Cascua, médecin du sport :

À partir de quand peut-on parler d'addiction au sport ?

Psychologue du Sport et de la santé – Bordeaux. Du plaisir à la dépendance Décrite pour la première fois par Baeckeland en 1970, l’addiction au sport est rapidement reprise par Glasser en 1976 qu’il nomme «addiction positive des coureurs » en référence aux bénéfices que le sport procure.

Psychologue du Sport et de la santé – Bordeaux

Sachs et Pargman (1979, 1981) ont été les premiers à constater des symptômes de manque et une forte anxiété chez des marathoniens privés de leur activité. Chan et al. (1986) ont ensuite mis en avant des signes de dépression, d’anxiété, de confusion, de baisse de l’estime de soi et de l’estime du corps chez des coureurs dépendants blessés, contraints donc à deux semaines d’arrêt sportif. Les dépendances sportives. Si la pratique du sport est encouragée et valorisée par notre société, il apparaît que lorsqu'il est pratiqué de manière excessive il peut s'apparenter à une addiction.

Les dépendances sportives

La définition Selon Hausenblas et Downs, la dépendance à l'activité physique ou la dépendance au sport (addiction au sport) se définit comme : « un besoin de pratiquer une activité physique qui se traduit par un comportement de pratique excessive, incontrôlée, se manifestant par des symptômes physiques et psychologiques ». Faire trop de sport peut aussi être mauvais pour la santé. Selon des médecins américains, une pratique excessive de sport pourrait être tout sauf bénéfique pour notre corps.

Faire trop de sport peut aussi être mauvais pour la santé

Une activité physique trop intense ou trop régulière pourrait ainsi endommager le cœur et augmenter le risque de maladie cardiaque. Ce n'est plus à démontrer : avoir une activité physique régulière est indispensable pour rester en bonne santé... oui à condition qu'elle ne devienne pas excessive ! C'est l'alerte lancée par deux médecins américains dans la revue Heart qui expliquent que les fous de sport pourraient très bien être en train de raccourcir leur espérance de vie.

Sport médecine. Le surentraînement 1) Comment savoir s’il s’agit de surentraînement : a) Description Le problème du surentraînement est maintenant reconnu et abondamment étudié.

Sport médecine

Cependant, il n’existe pas encore de définition médicale précise de ce qu’est, biologiquement, le surentraînement. C’est pourquoi la description de la maladie, formée par recoupement des témoignages des sportifs, est très importante. VELEA addiction exercice physique. L'addiction à l'exercice physique. Le concept d’addiction positive, créé en 1976 par le docteur William Glasser (Glasser, 1985), est issu d’une observation de longue durée des athlètes de haut niveau pratiquant régulièrement un exercice physique, mais aussi des coureurs occasionnels.

L'addiction à l'exercice physique

Glasser décrit ainsi une addiction à la pratique sportive, qu’il qualifie de positive afin de la distinguer des addictions classiques considérées comme négatives – alcool, drogues… Dans sa conception, la poursuite d’une activité physique (initialement la course à pied, mais par extrapolation on peut inclure la plupart des pratiques sportives) devient addiction par dépassement d’un effet seuil d’ennui, de fatigue, de lassitude.

Un aspect souvent rencontré chez les addictés à l’exercice physique, aspect rarement remarqué, est celui des changements dans la vie quotidienne. On voudrait insister sur un aspect souvent rencontré, l’addiction comme moyen de gestion du stress. Addiction et dépendance, Toxicomanie: définition. Les multiples visages de l'addiction On estime qu’environ 90% des personnes sont victimes d’une quelconque dépendance.

Addiction et dépendance, Toxicomanie: définition

Cette dépendance peut aller d’une simples habitude à des dépendances impliquant un potentiel de destruction physique et mentale. La dépendance peut porter sur des substances (médicaments, drogues, etc.) ou non (travail, internet, etc.).