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Accueil des migrants

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Le pape François appelle les États européens à « la prudence » dans l'accueil des réfugiés. VIDÉO - Dans l'avion le ramenant de Suède mardi, le pape a corrigé sa pensée sur la question de l'accueil des réfugiés en Europe en conseillant aux gouvernements de ne pas accueillir au-delà de leur possibilité sous peine de payer « le prix politique » car les réfugiés non intégrés vont alors former des « ghettos » , ce qui est « très dangereux ». Alors que le pape François, depuis le début de la crise des réfugiés en Europe avait toujours appelé les États à ouvrir généreusement, et par principe, leurs portes aux réfugiés - fustigeant «l'égoïsme» de ceux qui ne le faisaient pas et joignant lui-même le geste à la parole en avril 2016 en ramenant de l'île grecque de Lesbos, trois familles musulmanes dans son avion - il a opéré, mardi après-midi, une nette correction, en appelant les gouvernements européens, lors d'une conférence de presse donnée à son retour de Suède, à gérer le dossier des réfugiés avec «prudence». » En Suède, la main tendue du Pape aux protestants.

Certains de vos commentaires sur Facebook sur l'arrivée des migrants dans la région sont insupportables. C'est une simple vidéo. De quelques secondes. Une vidéo réalisée durant la nuit par une équipe de journalistes de France 3 Midi-Pyrénées. On y voit des hommes, fatigués, tous d'origine afghane, débarquer d'un bus et récupérer leurs bagages. Quelques instants plus tard, ils seront installés dans un centre de la Croix-Rouge à Toulouse. Car ces hommes sont ce que l'on a pris désormais l'habitude d'appeler des "migrants", des réfugiés. Quelques heures auparavant, ils "vivaient" dans des conditions inhumaines dans la "jungle" de Calais. Mais cela va plus loin, "accusant" ces hommes d'être des violeurs en puissance, des agresseurs d'enfants.

D'autres parlent "d'invasion" (quand tout au plus 270 personnes vont s'installer dans notre région, qui compte 5,7 millions d'habitants) ou font l'amalgame avec les terroristes ! Heureusement, au milieu de cette mare d'immondices déversés sur facebook, certains internautes tentent de faire entendre une autre voix.

Il y a la loi. "La nausée" Le Soir 3 de France 3 : journal télévisé du 16 septembre 2015 en replay. Le Grand Soir 3, du mercredi 16 septembre 2015 présenté par Patricia Loison sur France 3 est consultable en ligne à la fois en direct et en replay pour voir et revoir ce journal télé qui décrypte l'actualité d'une journée. Retrouvez les résultats de la question du jour, l'Eurozapping, la revue de presse, ainsi que les grands reportages, les interviews et les explications de la rédaction sur toute l’actualité régionale, d'outre-mer, nationale et internationale. Pour réagir à l'information sur les réseaux sociaux : #grandsoir3 ou sur le compte @LeGrandSoir3 Tous les sujets 1 Migrants : Valls annonce des moyens supplémentaires et un possible retour des contrôles aux frontières Selon un sondage, 80% des Français sont favorables à des contrôles aux frontières.2 Migrants : Angela Merkel sait-elle où elle va ?

Après avoir prôné une politique d'ouverture, l'Allemagne semble douter comme en témoigne les contrôles renforcés aux frontières. Face à la pauvreté, « on sent un vent mauvais » Les incendies volontaires contre des centres d’accueil ou la baisse de subventions aux associations trahissent un rejet grandissant du pauvre et du migrant. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Isabelle Rey-Lefebvre Le mot a été officiellement retenu par ATD Quart Monde, après un sondage auprès de ses militants, et lancé le 17 octobre à l’occasion de la Journée mondiale du refus de la misère : la « pauvrophobie », ou rejet du pauvre.

Le phénomène n’est pas nouveau, mais il s’installe dans la société française et se manifeste de plus en plus visiblement dans le comportement des riverains, des collectivités locales ou des administrations. Ce même 17 octobre, à l’aube, un feu dont l’origine criminelle ne fait guère de doute visait le futur centre d’hébergement des sans-abri, qui doit ouvrir début novembre dans le 16e arrondissement de Paris, en lisière du bois de Boulogne. Discours culpabilisant. Le petit village de Campôme regrette ses migrants. C'est un discours que l'on n'a pas l'habitude d'entendre : un tout petit village de montagne qui regrette ses réfugiés.

Nous sommes dans la commune de Campôme dans les Pyrénées-orientales où ont été accueillis pendant prés de trois mois des migrants de la jungle de Calais (des Irakiens, Afghans ou encore Somaliens). Dix-huit réfugiés qui viennent de partir pour rejoindre des centres réservés aux demandeurs d'asile. Il y avait au départ chez les 110 habitants pas mal de réticences, mais aujourd'hui beaucoup de ces habitants regrettent le départ des migrants.

"On s'était habitué à eux. Au départ, il y a eu des préjugés, mais rapidement on a compris que c'était des braves garçons qui étaient malheureux. Le maire Christophe Carol tire un bilan très positif de ce séjour. Un engouement qui a poussé le conseil municipal à prendre une délibération. À écouter aussi : le maire de Campôme, invité de France Bleu Roussillon Par Sébastien Berriot, France Bleu Roussillon. Accueil des réfugié.e.s (en Europe et ailleurs)