Une application mobile vous pénalise si vous n’allez pas à la gym. Les abonnements sont chers mais que ferait-on sans le sport?
On s’y inscrit et on est très motivés et enthousiastes jusqu’au jour où… il faut véritablement y aller. Et là, on cherche la motivation, mais on ne la trouve pas! Il pleut, on est fatigués, on n’a juste pas envie…Et on se retrouve à payer un abonnement cher sans vraiment en bénéficier. Une startup américaine a trouvé la solution à ce problème. RunOrg, au service des associations. Développeur de jeux vidéo dans sa jeunesse, diplômé de l’ENS en 2007, Victor Nicollet a encadré plusieurs projets Web 2.0 dans une SSII avant de poser les premières briques du logiciel RunOrg en Octobre 2010.Aujourd’hui, âgé de 26 ans, il nous parle de sa startup et nous livre ses secrets entrepreneuriaux en toute intimité.
Un besoin avéré dans un domaine familier "En 2010, mes deux co-fondateurs (Mehdi Foughali et François Villard) et moi-même étions membres d'une association de théâtre d'improvisation, et à force de nous impliquer dans son fonctionnement, nous avions tous les trois le même constat : des évolutions permises par les nouvelles technologies, les associations ne récupèrent que les miettes. Un concept de boutique éphémère révolutionnaire. De plus en plus de boutiques éphémères ont fait leur apparition ces dernières années.
Le principe séduit: une boutique à durée limitée et mobile. Bien souvent, une marque sollicite un lieu et va y exposer ses produits pour un laps de temps (souvent court). Le décor n’est pas forcément personnalisé mais peu importe, le tout est d’avoir un contact privilégié avec sa clientèle. C’est ainsi qu’une entrepreneuse a révolutionné le concept de boutique éphémère: un seul lieu qui aurait le point de vue d’un magazine, qui changerait comme une galerie et qui vendrait des produits comme une boutique. Révolutionnaire! Kiwideal, des deals pour entreprises. Fabrice Pradal, qui rêve secrètement d'un pèlerinage dans la Silicon Valley, nous dévoile toutes les étapes qui ont mené à la concrétisation de son projet.Âgé de 27 ans, il a décidé de lancer son projet à la sortie de son école l’Edhec Business School.
Fondateurs : Fabrice Pradal, Thomas Bénard Le déclic: la levée de fonds d’un homologue britannique "Ce fut la levée de fonds réussie de 350 000£ par l'un de nos deux homologues anglais qui a été l'élément déclencheur de cette entreprise. Nous avons décidé d'apporter au marché français un modèle similaire : capable de créer une valeur-ajoutée pour les prestataires avec un modèle uniquement à la performance, ainsi qu'une valeur-ajoutée pour les utilisateurs car la solution leur permet d'obtenir une qualité testée en amont. Le modèle repose donc sur la transparence des prix et du contenu. " S’associer avec son camarade de promo "Nous sommes 2 copains de promotion qui avons un fort désir entrepreneurial, l'équipe s'est monté comme cela. Chifco, Créateur d’innovations. Amine Chouaieb, adepte de la célèbre citation de St Exupéry « si tu diffères de moi mon frère loin de me léser, tu m’enrichis », passionné de voyages et de culture, s’est lancé en entrepreneuriat à l’âge de 26 ans.Jeune ingénieur aux multiples diplômes (de l'EIVP, l'ESTP, et de l’ESCP), il crée un cabinet de conseil en stratégie et en systèmes d’information à Paris avec deux autres associés Aymen Jegham et Rached Meftah.Il nous raconte sa création, ses débuts et nous délivre ses conseils.
Le déclic: Des besoins détectés lors de sa première expérience professionnelle "C’était une volonté profonde, depuis tout petit, de créer de la richesse à partir de la Tunisie et de donner l’exemple aux nouvelles générations. Ensuite des circonstances diverses et variées m’ont mené à créer CHIFCO.C’était au cours d’un projet que je menais au sein d’un cabinet de conseil, que j’ai eu l’idée de développer de tels services. S’inspirer des conférences et des lectures Savoir mobiliser les meilleurs rencontres. Eleven Street, tout commence par une idée. Vincent Bézard est un jeune auto-entrepreneur de 26 ans qui s’est lancé dans l’aventure merveilleuse de l’entrepreneuriat.
Ce passionné d’internet, de hautes technologies, de réseaux sociaux et de psychologie a obtenu une certification de management de la communication. Il nous raconte l’histoire de son businessEleven Street, qui consiste en la mise à disposition de chefs de projets ou de consultants en stratégie web pour les entreprises, annonceurs ou agences web. L’entrepreneuriat, une envie ! J'étais encore étudiant lorsque je me suis lancé pour la première fois en tant qu'auto-entrepreneur, j'ai abandonné pendant 1 an le temps de travailler en agence et l'envie de revenir à mon compte m'a repris. J'ai eu une idée d'entreprise et j'ai eu besoin de tester son modèle. La lecture, les études de cas : sources d’inspiration Dans mon travail l'inspiration vient de la lecture d'article, d'études de cas mais aussi des compétences en matière de développement web, graphisme, référencement.