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Warner Music Group Pulls Music From YouTube. The Warner Music Group on Saturday (Dec. 20) pulled all of its music from YouTube as negotiations over payment with Google's video site reached an impasse. Warner's move will affect its recordings as well as the songs it owns through Warner/Chappell Music. "We are working actively to find a resolution with YouTune that would enable the return of our artists' content to the site," Warner said in a statement. "Until then, we simply cannot accept terms that fail to appropriately and fairly compensate recording artists, songwriters, labels and publishers for the value they provide. " Warner, one of the first media companies to strike a deal with YouTube, wants to make more money from online video.

Although the nature of the negotiations is unknown, a sticking point could be that YouTube has lagged in monetizing its considerable traffic at a time when competitors, like Hulu, are emerging. YouTube also has agreements with the other major labels, which it is now renegotiating. YouTube Gets Social. As socialization continues to dominate the web, YouTube, once satisfied with being the top online video site, is taking steps not to be left behind. They've built some tools into YouTube itself including friend suggestions based on your Gmail address book and connecting your YouTube account to social networks via an AutoShare feature.

Some of this activity is hard to quantify - every day millions of YouTube links are sent via email, IM, Twitter and other communication methods - but here are some stats that YouTube is sharing: Over one million people are AutoSharing videos to Twitter, Facebook and Google ReaderEach AutoShared Tweet sent from YouTube turns into an average of 7 new sessions on YouTube.comOver 1 million people have found and subscribed to at least one friend on YouTube based on the Friend Suggest featureMore than one million new subscriptions are created daily. TubeRadio.fm - Listen to and watch popular and rare music videos. YouTube’s Bandwidth Bill Is Zero. Welcome to the New Net | Epice. YouTube may pay less to be online than you do, a new report on internet connectivity suggests, calling into question a recent analysis arguing Google’s popular video service is bleeding money and demonstrating how the internet has continued to morph to fit user’s behavior.

In fact, with YouTube’s help, Google is now responsible for at least 6 percent of the internet’s traffic, and likely more — and may not be paying an ISP at all to serve up all that content and attached ads. Credit Suisse made headlines this summer when it estimated that YouTube was binging on bandwidth, losing Google a half a billion dollars in 2009 as it streams 75 billion videos.

But a new report from Arbor Networks suggests that Google’s traffic is approaching 10 percent of the net’s traffic, and that it’s got so much fiber optic cable, it is simply trading traffic, with no payment involved, with the net’s largest ISPs. There’s been a lot of speculation lately about how much it costs to run YouTube…. See Also: Les majors du disque dominent les vidéos les plus regardées sur. Si la longue traîne existe sur YouTube, on sait de quoi est composée sa tête : de musique. Selon de récentes statistiques compilées par TubeMogul, les vidéos les plus regardées sur YouTube sont largement dominées par les plus grandes maisons de disques. Universal Music, Sony BMG, HollywoodRecords, EMI et Warner arrivent en tête des premiers éditeurs de vidéos, largement devant le premier producteur de vidéos non musical du classement, ExpertVillage. De quoi remettre en perspective la révolution pour les artistes indépendants que promet Internet. Selon TubeMogul, les cinq plus gros labels sur YouTube contrôlent 64,52 % des visionnages des 50 vidéos les plus regardées sur le site.

Warner Music, qui ferme la marche des éditeurs de musique, a décidé en début d'année de retirer ses contenus de YouTube, en estimant que l'exploitation de ses clips ne rapportait pas assez au label. Youtube : les Anglais récupèrent la musique. Depuis le mois de mars les internautes anglais n'avaient plus accès aux clips musicaux sur Youtube. La raison de cette disparition ? Un désaccord entre Youtube et la PRS (l'équivalent anglais de notre SACEM) sur les montant des droits versés par la plate-forme de vidéo. Le désaccord portait notamment sur le mode de rémunération : Youtube souhaitant payer un forfait (même somme pour chaque vidéo, sans tenir compte du nombre de vues) alors que la PRS souhaitait être payée 0,0022 £ par visiteur (soit 0,0025 €) dans un premier temps puis 0,00085 £ (0,00098 euros) quelques mois plus tard. Une revendication jugée inacceptable pour Google, qui cherche toujours à rentabiliser son site de partage vidéo, quitte à explorer de nouvelles pistes comme la mise en ligne de films récents, le jour de leur sortie DVD, en accès payant .

En ce qui concerne la musique outre-Manche, un accord a donc été signé mais difficile d'en connaitre les termes. Sur le même sujet : Lire les réactions à cet article. Google s'intéresse à la location de films sur YouTube - Num. Google envisagerait-il de concurrencer l'iTunes Store et Hulu aux États-Unis ? Selon une information diffusée par le Wall Street Journal, la société de Mountain View mènerait des négociations avec différents studios de cinéma américains afin de proposer des films récents à la location sur la plate-forme vidéo. Parmi les acteurs du dossier, nous retrouvons Lions Gate Entertainment, Sony, Warner Bros et Metro-Goldwin Mayer.En effet, le seul modèle publicitaire ne suffirait pas à rentabiliser durablement YouTube. Bien que le grand succès de YouTube ne provient nullement des contenus professionnels (films, séries, clips ou émissions de TV), Google estime qu'il est certainement possible de monétiser davantage le site. En effet, YouTube enregistre un trafic mensuel de plusieurs dizaines de millions d'internautes par mois.

Tous les films seront-ils pour autant concernés ? En revanche, comme toujours, cet accord, s'il abouti, ne devrait concerner que les internautes nord-américains. Vers une licence globale chez Warner Music Group ? - Numerama. Alors que Sony BMG annonçait il y a quelques jours son intention de proposer tout son catalogue sur abonnement, c'est de chez Warner Music Group que l'on entend aujourd'hui des échos similaires. PC INpact rapporte ainsi les nouveaux espoirs que place son PDG Edgar Bronfman dans l'abonnement mensuel. L'idée serait de proposer une sorte de licence globale, mais pour son catalogue uniquement et pour 5 $ par mois, ou gratuitement mais avec publicité. L'abonné aurait en échange la possibilité de télécharger et échanger la musique de WMG à volonté. C'est Jim Griffin qui a la charge de cette transition. "Je ne pense pas que nous devons poursuivre les étudiants et les gens jusqu'à leur domicile" explique-t-il.

L'erreur de l'industrie du disque, selon Griffin, est de considérer la musique comme un marché de produit et non pas de service. On comprend donc pourquoi celui-ci accorde plus d'intérêt à une solution d'abonnement pour télécharger de manière illimitée. YouTube doit-il payer pour chaque clip diffusé ? Warner to license music in YouTube videos. YouTube and Warner Music Group Corp. will announce a deal Monday that will put thousands of Warner music videos on the video sharing site and allow user created videos to legally use Warner owned music. YouTube is reported to have created technology that will automatically detect when copyrighted music is used in videos, give Warner the right to accept or reject those videos and will calculate the royalty fees Warner is owed. Financial details haven’t been disclosed yet, but may include a cut of advertising revenue in exchange for licensing rights.

It’s also unclear who will pay the royalty fees; that payment may come out of the advertising revenue or it may be demanded of the individual users who have put Warner music in their videos. That could get interesting. Warner’s last experiment on YouTube, the Paris Hilton channel – was widely seen as a failure. La rentabilité de YouTube est proche, annonce Google.

Google est définitivement confiant : non seulement la crise commencera à s'estomper à l'automne, mais surtout, son site de vidéos, YouTube, n'est pas loin de rapporter de l'argent. Rappel des faits : en 2006, Google achète YouTube, pour 1,65 milliard de dollars. Mais depuis, la société perd de l'argent avec ce site, en dépit de plusieurs tentatives pour le rentabiliser et l'émergence de nouveaux modèles économiques, comme l'introduction de publicité contextuelle dans les vidéos et autres. Sauf qu'Eric Schmidt est serein : « YouTube est maintenant sur une lancée dont nous sommes très heureux », explique le directeur de Google. Selon lui, les avancées dans le domaine publicitaire sont bonnes : la collaboration plus resserrée entre les publicitaires et les annonceurs devrait déboucher sur une mise en place simplifiée de publicité sur YouTube, rapporte Reuters.

Pour Jonathan Rosenberg, à la tête de la section produits et marketing, la monétisation de YouTube arrive à tous points de vue.