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Web2.0

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Crowds of Workers, on Demand. In 2009, Kraft Foods wanted a catchy name for its new version of Vegemite, a yeast-based spread popular in Australia. Instead of hiring a branding agency, the company decided to crowdsource the task. Kraft asked people in Australia to submit and vote on potential names for the new product. After 48,000 entrants made suggestions, the winning name was “iSnack2.0.”

When the company announced it, bloggers and fans ridiculed it and the company retracted it a few days later. Not only was the name scorned, but it had also been trademarked previously. The iSnack2.0 incident illustrates the perils for businesses that try to take advantage of the supposed wisdom of the crowd. Now, third-party companies have sprung up to act as liaisons between businesses and diffuse groups of potential contributors.

To start off, one needs the right crowd. But few companies have such an engaged community or time to build one. YouTube - We Think. Les monnaies libres sur Twitter. L'ExploraCoeur est le nom d'une monnaie libre proposée à tous. Monnaie de remerciement, l'ExploraCoeur permet de dire merci d'une autre manière... Elle permet aussi à ceux dont les contributions sont appréciées, et qui recoivent beaucoup de "merci" exprimés sous cette forme d'en tirer quelques avantages. L'ExploraCoeur s'apparente à une solution de crise, utile pour expérimenter une monnaie du coeur, poursuivre les échanges et booster la collaboration entre ses utilisateurs, lorsque les monnaies traditionnelles viennent à manquer.

Pour encourager la vélocité des échanges d'exploracoeurs entre participant, on retient que chacun d'eux dispose au départ de 200 exploracoeurs. Chaque participant concoure à l'éllaboration de cette monnaie en contribuant activement à ce projet, selon ses compétences et ses centres d'intérêt. Cette monnaie décrite en détail sur le blog exploracoeur.net, est utilisable par tous, pour s'inscrire il suffit d'adresser un tweet de la forme suivante :

Le futur du web social en 5 phases. La première fois que j’ai rencontré Jeremiah Owyang, j’avais été invité à parler au Forrester Consumer Forum EMEA à Barcelone, en 2007, de la stratégie de lancement via les médias sociaux que j’avais mis en place pour la Renault Twingo. Deux ans plus tard, me voici donc passée coté agence, à travailler dans ce milieu qui me passionne, et à consacrer 100% de mon temps au développement de stratégies conversationnelles pour nos clients. Dans le cadre du lancement des activités de We Are Social sur le marché français, je suis amenée à passer beaucoup de temps sur Paris et c’est ainsi que j’ai eu la chance, mercredi soir, de rencontrer Jeremiah pour la seconde fois, lors du #paristweetup qu’il avait organisé. Lors de ce tweetup, Jeremiah nous a présenté les conclusions du dernier rapport Forrester sur le futur du web social et comme il cherchait quelqu’un pour traduire ces conclusions, je me suis portée volontaire.

Les 5 phases du web social : Sérendipité. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans les pays anglo-saxons, les Serendipity shops sont des boutiques où l'on trouve des idées inattendues de cadeaux. Parmi les nombreux exemples de découvertes et inventions liées au hasard, citons comme exemple de découverte par sérendipité : la lithographie, le four à micro-ondes, la pénicilline, le Post-it, le téflon, le Velcro. Histoire du mot[modifier | modifier le code] Étymologie[modifier | modifier le code] C'est un néologisme, créé par calque de l'anglais à partir du mot « serendipity ». Origine[modifier | modifier le code] « … cette découverte est presque de l'espèce que j'appelle serendipity, un mot très expressif que je vais m'efforcer, faute d'avoir mieux à vous narrer, de vous expliquer : vous le comprendrez mieux par l'origine que par la définition.

Le mot forgé par Walpole sommeille pendant un siècle[5]. Exemples de découvertes, inventions et innovations faites par sérendipité[modifier | modifier le code] 1936. Le Post-it.