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La démonétisation , ou le vertige qui saisit les médias | Le blo. La démonétisation , ou le vertige qui saisit les médias Quand Ruppert Murdoch a annoncé, cet été, qu’il repassait au modèle payant (offline compris), beaucoup, dont moi, ont considéré ça comme une sorte de chant du cygne. D’autres pensent que c’est la guerre. Pour ma part, je doute encore de la réponse, mais j’ai bien compris la question. Dans la tempête, on se prend à douter et à entrevoir l’abîme. Aujourd’hui, celui-ci a un nom : la démonétisation. Explications … En disant que l’on a usé et abusé de modèles gratuits financés par la pub, je ne surprendrai personne. Dans “Free”, Chris Anderson prend l’exemple du marché des encyclopédie pour illustrer le concept de démonétisation. Cette vision de cauchemar n’est pas qu’une vue de l’esprit. Le paradoxe apparent, c’est que l’audience n’a pas disparue. La démonétisation est une réalité. Mais la démonétisation cache en son sein quelque chose de socialement intéressant et de plus troublant.

Who needs newspapers when you have Twitter? | Salon News. Mr. Anderson, let’s talk about the future of journalism. This is going to be a very annoying interview. I don’t use the word “journalism.” OK , how about newspapers? They are in deep trouble both in the United States and worldwide. Sorry, I don’t use the word “media.” There are no other words. Hang on a minute. No. Your local newspaper, the San Francisco Chronicle, is fighting for survival.

. … I wouldn’t notice. It comes to me in many ways: via Twitter, it shows up in my in box, it shows up in my RSS base, through conversations. You just don’t care. No, I do care. As millions upon millions trusted the classic media previously. If something has happened in the world that’s important, I’ll hear about it. The New York Times, CNN, Reuters and others can publish their best reporting on the Web and you’d never read it? I read lots of articles from mainstream media but I don’t go to mainstream media directly to read it. True. Exactly. Newspapers are not important. We’re still figuring that out. Yes. Le lecteur 2.0 devient surinformé, infidèle et bavard - 2000-201. Qui a encore besoin des médias traditionnels ? | Tête de Quenell. Après l’annonce de Mr Murdoch de faire passer l’ensemble de ses sites sur un modèle payant, puis celle de (peut être) demander la désindexation de son contenu de Google News, la question se repose à nouveau chez certains médias français de faire aussi « marche arrière « , arguant d’une part le fait qu’ils n’auraient en fait jamais du rendre leur site payant au départ, et d’autre part en dénonçant autant qu’ils le peuvent le grand méchant Google… Ce type de prises de positions me font bien rire… Plutot que de se chercher des boucs émissaires, les dirigeants des groupes de médias seraient bien inspirés de regarder la réalité en face, c’est à dire les nouveaux usages… Car de mon côté, cela fait bien longtemps que j’ai renoncé à m’informer via les médias traditionnels (télévision, radios et journaux).

Pas même un site de presse en ligne ? Très peu, merci. Le régime peut paraitre sévère (0% matière grasse, aurais-je envie de dire :p ), mais pourtant je ne m’en porte que mieux. Conclusion 1. 2. Google n'est pas un voleur, ou la fable de l'eau conceptuelle et. Les éditeurs de presse, dans la nasse de l'économie numérique -