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Usages

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Comprendre les non-usages | InternetActu.net. Par Hubert Guillaud le 16/09/08 | 6 commentaires | 5,204 lectures | Impression Le laboratoire Marsouin vient de publier une intéressante étude sur les non-usagers de l’internet. L’étude revient d’abord sur les nombreuses typologies existantes pour caractériser les non-internautes comme celle de l’Agence wallonne des télécommunications ou celle sur les non-internautes aquitains (.pdf). Si les caractéristiques (sociodémographiques et économiques notamment) de ces profils commencent à être balisées, Annabelle Boutet et Jocelyne Trémenbert rappellent toutes les limites de l’exercice en soulignant que pour comprendre le profil des non-utilisateurs, il faut avant tout inverser les chiffres que nous connaissons : ainsi, 7% des 12-17 ans, 91% des 70 ans et plus, 4 personnes sur 5 non diplômées… ne sont pas des usagers de l’internet.

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Facebook. La pyramide de consommation des médias en ligne. Sur Internet, une information recherchée est une information ret. L'internaute qui navigue en ayant une idée précise de ce qu'il cherche non seulement se souviendra mieux du contenu, mais y sera aussi plus sensible émotionnellement que s'il est tombé dessus de manière aléatoire. Les internautes sont plus capables de comprendre, se souvenir et répondre émotionnellement aux contenus lus lors d'une recherche sur un moteur plutôt que ceux trouvés en surfant de manière plus aléatoire. Voilà ce qu'a constaté une équipe de l'université du Missouri.

Pour arriver à de telles conclusions, les chercheurs ont proposé à une centaine de personnes de lire des articles au contenu considéré comme peu agréable sur le web. La moitié d'entre elles a accédé à ce contenu après une recherche sur un moteur : elles ont dû retrouver le site sur lequel était publié chaque article. L'autre moitié disposait déjà de cette information et a lu les textes en navigant simplement sur le site web. Les jeunes et Internet: attention, danger(s)! Une étude statistique menée en Brabant wallon pointe des risques majeurs. Elle débouche aussi sur des conseils aux parents et enseignants. Il est dangereux de laisser un jeune adolescent surfer sur internet seul dans sa chambre, sans contrôle! Il faut s'interroger dans les écoles sur l'utilisation abusive des GSM qui permettent de transmettre à n'importe qui des séquences filmées sur la vie en classe!

De jeunes enfants sont confrontés à la pornographie diffusée sur internet! Qui pousse ces cris d'alarme? Christophe Butstraen, médiateur scolaire pour le Brabant wallon. Et il s'inquiète des dérives qu'il a pu mettre en évidence. Son étude statistique qui porte sur 2.800 jeunes, révèle des différences de comportement entre les garçons et les filles, mais aussi des pratiques qui ne sont pas sans danger pour les jeunes et leur entourage. Que révèle cette étude? - Presque tous les répondants disposent d’un ordinateur et d’une connexion Internet (99,61% de l'échantillon). Plus de communication et moins de commerce sur le web - Numerama. C'est une sorte de retour du débat gratuit contre payant sur la toile et de la nature d'Internet. Souvenez-vous, le mois dernier, nous rapportions les propos d'Anthony Healy, le directeur de la société de gestion collective du droit d'auteur, l'ARPA (Australasian Performing Right Association)Évoquant Internet, Anthony Healy avait estimé que le réseau des réseaux n'avait finalement pas d'autre intérêt que de favoriser la diffusion de contenu.

C'était omettre que l'Internet avait été conçu avant tout comme un média de communication, plutôt qu'un média de consommation. Cette vision de l'Internet avait révélé à quelle point le décalage était grand entre ce qu'est Internet et la manière dont d'autres acteurs le perçoivent. Récemment, Hitwise Intelligence a remis sur le tapis le débat du paiement pour accéder à du contenu, en publiant ces jours-ci une étude comparée entre les sites web "payants" et les sites "gratuits.

Internet, un über-téléphone mondial. Why People Go Online. If idle hands are the devil’s workshop, the Internet is a pretty hot place. According to Ruder Finn, 100% of US Internet users surveyed in Q2 2009 went online to pass the time. Other popular reasons were education, connecting with others, researching and sharing. The least common intentions when logging on were to make purchases, manage finances, comparison shop and join causes. “Intent is the new demographic,” said Kathy Bloomgarden, Ruder Finn co-CEO. “Delving deeper into the underlying motivations of online behavior is critical to developing proactive strategies.” Overall, Ruder Finn divided online activities into six categories, listed from most common to least: Learn Have fun Socialize Express oneself Advocate Do business Shop Men were more likely than women to go online for business, entertainment and to keep informed on news and current events.

Women, in turn, were more likely to use the Internet to advocate for a cause or issue, express themselves and socialize.