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Streaming

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Les ventes de musique sont à la peine aux États-Unis. Le téléchargement légal stagne aux États-Unis. Selon les informations fournies par Nielsen SoundScan et citées par Électron Libre, les ventes de fichiers musicaux sur les plates-formes légales ont nettement ralenti cette année. En 2010, le secteur a progressé de 0,1 % en volume pour les ventes de titres à l'unité alors qu'elle avait atteint + 10 % l'an dernier. Les albums de musique s'en sortent mieux, puisque la progression se maintient au-dessus de la barre des 10 %, avec 12 %. Mais là encore, les ventes de musique ont déçu. En novembre 2009, la progression était pourtant de 17 %, avec une pointe à 19 % à la fin de l'année. L'une des explications qui a été avancée pour expliquer cet écart entre 2009 et 2010 est la disparition de Michael Jackson, qui a donné un coup d'accélérateur soudain au secteur. L'explosion des contenus diffusés en streaming, comme les clips, ne semble pas avoir un impact concret sur les ventes de musique.

Paradoxes du streaming. 1876, c'est le nombre de titres de musique que j'ai écoutés sur Spotify au cours du dernier mois, en auditeur compulsif de musique. Parmi lesquels 364 titres différents de 224 artistes au cours de la dernière semaine. Ni le CD, ni la radio ne m'auraient jamais donné accès à une aussi grande variété en terme d'expérience musicale. Mais à quel prix pour les labels ? La "variété", c'est précisément une des valeurs ajoutées des nouveaux services de musique en ligne. Encore faut-il aller la chercher, au quotidien, ce qui fait de moi un auditeur à la fois compulsif et pro-actif.

Mais c'est un autre problème. Et un des intérêts qu'il y a à fortement éditorialiser et socialiser ces services. Cette variété n'est pas toujours aussi élevée dans mes pratiques d'écoute musicale. C'est le scrobbler de Last.fm qui me permet d'établir ces statistiques (cf. mes charts hebdomadaires). D'abord sur ce que cette consommation effrénée de musique rapporte aux labels qui produisent les artistes que j'écoute. L'Observatoire de la musique dresse un état des lieux criti. L'Observatoire de la musique, qui fait référence dans les études sur l'offre et la demande de musique en France, a publié un état des lieux très critique de l'offre de musique numérique au 1er semestre 2009. Sur les six premiers de l'année, il s'est vendu en France 45,2 millions de titres téléchargés, ce qui ne représente qu'une progression de 31 % par rapport au 1er semestre 2008.

Pour un marché aussi jeune, la croissance est trop faible pour espérer une compension efficace de la baisse des ventes de supports matériels. Par ailleurs, l'El Dorado de la vente sur mobiles semble déjà s'effondrer. Les ventes de musique sur PC ont gagné 48 % de progression avec 39,1 millions de titres vendus, tandis que les téléchargements sur mobile ont chuté de 26 % à 6,1 millions. En chiffre d'affaires, le prix de gros à l'unité des morceaux étant à la baisse, l'augmentation du marché n'a été que de 14 %, à 34,2 millions d'euros au premier semestre.

Une bonne base de travail pour Patrick Zelnik. Une nouvelle version pour le service de streaming de musique Gro. Les sites de musique à la demande ne manquent pas sur la Toile : les plus célèbres sont Deezer et Jiwa (ou encore Spotifiy avec ses applications). Difficile de se faire un nom sans proposer quelque chose de nouveau tout en restant légal. Depuis quelques mois, on entend souvent parler de Grooveshark, un moteur de Les sites de musique à la demande ne manquent pas sur la Toile : les plus célèbres sont Deezer et Jiwa (ou encore Spotifiy avec ses applications).

Difficile de se faire un nom sans proposer quelque chose de nouveau tout en restant légal. Depuis quelques mois, on entend souvent parler de Grooveshark, un moteur de recherche de musiques. Comme la plupart des sites de musique à la demande, il ne demande que d’un navigateur Web et d’une connexion Internet pour écouter et gérer vos musiques favorites. Si vous n’aimez pas le design par défaut, sachez que Grooveshark propose une dizaine de designs (certains sont réservés aux membres VIP), il y en a pour tous les goûts ! MusicMe lance ses offres de téléchargement - Numerama. Microsoft to Challenge Pandora, Last.fm Later This Month. Microsoft is planning on launching its own streaming music service by the end of July, Emma Barnett reported today in the UK Telegraph. A Microsoft exec told Barnett that the service would likely resemble Spotify, a popular European music startup that combines ad-supported free streaming music with a premium ad-free subscription option and the ability to purchase songs by download.

A long list of glowing reviews for Spotify was well rounded-up by Jennifer Guevin at CNet early this year. We suspect there is some chance the service could be built on top of the technology of another music startup, Seeqpod. Can Microsoft find the right balance of monetizing music without being over-bearing, enabling multi-platform use without being confusing and satisfying millions of mainstream users without being boring? Those seem to be the looming questions. Could Seeqpod Be Under The Hood?

It's possible that the new project is being rolled out quickly because it's built on acquired technology. Médias & Publicité : Musique : les sites de streamin. Plébiscités par les consommateurs, les sites d'écoute comme Deezer et Spotify ne génèrent pas encore assez de revenus pour payer les avances réclamées par les majors pour céder les droits de leurs catalogues Fini de jouer. La semaine dernière, Apple a franchi le cap des 10 milliards de morceaux vendus sur sa plate-forme de téléchargement iTunes. En dix ans, la firme à la pomme s'est imposée comme le champion incontesté du téléchargement légal de musique dans le monde.

Ce dernier prend enfin le relais sur des ventes de CD en chute libre. En 2009, les ventes numériques ont représenté près d'un tiers du chiffre d'affaires mondial de l'industrie du disque, selon la Fédération internationale de l'industrie phonographique (IFPI). Mais, depuis deux ans, les consommateurs ont encore changé d'habitude. Mais l'industrie musicale s'impatiente de voir émerger un acteur de la puissance d'Apple sur ce segment et veut mettre au pas les jeunes pousses. Apple en embuscade. Deezer. Microsoft veut croire aux DRM par le streaming - Numerama. La bataille n'est pas perdue pour le géant de l'informatique. Depuis des années, Microsoft nage en eaux troubles dans sa gestion des DRM. Les consommateurs n'en veulent pas, mais les studios les exigent. On se souvient de la gestion calamiteuse des signalétiques proposées aux constructeurs et consommateurs, qui ont achevé de plonger les DRM de Microsoft vers les eaux les plus profondes de l'absurdité.

Mais la firme de Redmond n'a pas abandonné, et croit toujours possible de contrôler ce que font les consommateurs des contenus qu'ils achètent. Lundi, Microsoft a ainsi fait une série d'annonces autour des DRM et du streaming à l'occasion de l'International Broadcasting Conference d'Amsterdam. Il a en particulier présenté Silverlight 4, le concurrent du format Flash d'Adobe. Par ailleurs, Microsoft a annoncé qu'il ajoutait les spécifications techniques de l'IIS Smooth Streaming Transport Protocol et du Protected Interoperable File Format (PIFF) à sa base Microsoft Community Promise.

The Song Decoders at Pandora. Débat sur le streaming sur Le mouv. Hypebot: Survey Say Streaming Music Cutting Piracy. UK Music fans are turning their backs file-sharing in favor of streaming and other ways of sharing music, especially amongst teens, according to the latest survey by The Leading Question and Music Ally of 1000 music fans: The overall percentage of music fans file-sharing every month) has gone down since the last survey from 22% December 2007 to 17% in January 2009.The biggest drop in those regularly file-sharing occurred amongst 14-18 year olds. in December 2007 42% of 14-18s were file sharing at least once a month. In January 2009 this was down to just 26%. All this is despite the fact that the percentage of music fans who have ever file-shared increased from 28% in December 2007 to 31% in January 2009.

The move to streaming - e.g. YouTube, MySpace and Spotify - is clear with the research showing that many teens (65%) are streaming music regularly. Streaming vs Piratage. Eighteen Streaming Music Resources. La pub en ligne doit-elle soutenir la création ? «Ce sont les grands gagnants du système (…), les grands oubliés du financement de la création» .

Le discours est connu. Depuis plusieurs années, il est fréquemment utilisé pour justifier la taxation des fournisseurs d’accès Internet (FAI) au profit de la création. Sauf que la cible a changé. Aujourd’hui, quand Pascal Rogard, le président de la SACD (Société des auteurs et compositeurs dramatiques), fait cette déclaration, il ne parle plus des FAI, mais des moteurs de recherche. Plus précisément des annonceurs français qui utilisent leurs régies publicitaires. Pour Olivier Esper, responsable des relations institutionnelles de Google France , il ne s'agit pas d'une enième mesure anti-Google, mais d'une proposition qui concerne et met en danger tout l'eco-système des acteurs français du numérique. «Cela participerait à faire de la France un enfer fiscal numérique» nous indique t-il.

Google et l’ASIC vont également être auditionnés par la mission Zelnik. Sur le même sujet : Musique en streaming : combien touchent les artistes ? Un jeune homme joue sur une la guitare du jeu vidéo Guitar Hero, le 16 août 2008 (Audrey Cerdan/Rue89). Spotify, Deezer, Wormee... Gratuits et légaux ! Magique, non ? Mais en coulisses, les conditions de rémunération des artistes restent très floues : les maisons de disques contrôlent tout sans que l’on sache vraiment où atterrit l’argent. Explications. Ecouter gratuitement et légalement de la musique, en voilà, une chouette idée, non ? Spotify rapporte 167 dollars à Lady Gaga Et pourtant, une sale rumeur est venu vous sortir de votre gentillette quiétude : « Lady Gaga n’aurait touché que 167 dollars avec Spotify ». Etonnant, non ? Eh bien rien n’est très clair, car à côté des voies officielles de rémunérations, il existe des contrats et accords commerciaux entre maisons de disques et diffuseurs, confidentiels bien entendu.

Dans chaque pays, les sociétés de collecte des droits perçoivent une somme à chaque écoute de morceaux. . « 0,0007 euros pour chaque morceau écouté. Et l’interprète ?