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Streaming vs Piratage

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Spotify v illegal downloads: Free but legal. Hadopi, le streaming lui dit merci | slate. Le Conseil Constitutionnel vient de rendre son avis sur la loi relative à la protection pénale de la propriété littéraire et artistique sur internet, plus simplement appelée Hadopi 2. Et les sages ont validé quasiment l'intégralité du texte. La loi devrait s'appliquer dès janvier 2010.

Pour autant, elle ne fait toujours pas l'unanimité et parait déjà obsolète face à de nouvelles pratiques telles que le streaming. Nous republions un article mis en ligne la semaine dernière sur cet usage en plein boom. publicité Le film que vous voulez voir n'est plus en salle, mais n'est pas encore sorti en DVD? En France si le streaming et le téléchargement direct sont en pleine croissance, c'est un peu grâce à Hadopi. Il faut dire que créer un site proposant illégalement des films et des séries en streaming n'est pas très compliqué. Depuis la fermeture de chacal-stream en janvier 2008, et la garde à vue de son créateur, le petit monde du streaming connaît les risques du métier. Devenez fan sur. Après 7 ans de piratage, je suis prêt à payer | slate. J’ai 24 ans et après 7 ans dans l’illégalité, je m’apprête à régulariser ma situation. Depuis 2002, je n’ai pratiquement pas dépensé un seul centime dans l’achat de musique. Je dois bien confesser quelques écarts — il était tard, j’avais bu, le groupe était insistant pour vendre ses CD — mais pour l’essentiel, je m’en étais tenu à cette règle simple: la musique est gratuite et illimitée, pourquoi la payer?

Quand mes parents se sont raccordés à l'ADSL, j’ai commencé à télécharger sur le logiciel Kazaa avant de divaguer sur divers concurrents aux interfaces tout aussi imbuvables comme Soulseek ou eDonkey. A l’époque, mon investissement personnel pour la fabrication d’un CD valait assez largement les 15 euros que j’économisais.

Je téléchargeais les chansons piste par piste, avec les inévitables aléas que ça comporte (fichiers brouillés, contenu porno caché...). Je gravais le CD et réalisais ensuite une pochette faite main. La peur du gendarme, le frisson du streaming publicité 1. 2. Hypebot: Survey Say Streaming Music Cutting Piracy. UK Music fans are turning their backs file-sharing in favor of streaming and other ways of sharing music, especially amongst teens, according to the latest survey by The Leading Question and Music Ally of 1000 music fans: The overall percentage of music fans file-sharing every month) has gone down since the last survey from 22% December 2007 to 17% in January 2009.The biggest drop in those regularly file-sharing occurred amongst 14-18 year olds. in December 2007 42% of 14-18s were file sharing at least once a month.

In January 2009 this was down to just 26%. All this is despite the fact that the percentage of music fans who have ever file-shared increased from 28% in December 2007 to 31% in January 2009. The move to streaming - e.g. YouTube, MySpace and Spotify - is clear with the research showing that many teens (65%) are streaming music regularly. Nearly twice as many 14-18s (31%) listen to streamed music on their computer every day compared to music fans overall (18%). Daniel Ek of Spotify: we can save music biz - Times Online. La BPI juge que le streaming n'a pas réussi à faire baisser le p. Déception chez les ayants droit britanniques. Malgré l'existence d'une pléthore d'offres légales, malgré l'explosion des services musicaux en streaming et surtout malgré l'arrivée prochaine d'une loi sur l'économie numérique particulièrement dangereuse, le niveau du piratage au Royaume-Uni n'a pas bougé d'un iota.

En effet, selon une enquête menée par la BPI (British Phonographic Industry), un consommateur sur trois continue de s'approvisionner sur des sites proposant du contenu piraté. L'association chargée de défendre les intérêts de l'industrie britannique du disque a publié un sondage en ligne, interrogeant plus de 3 000 personnes âgées de 16 à 54 ans. Questionnés sur la façon dont ils consommeront de la musique dans les prochains mois, les sondés adeptes du téléchargement illégal ont répondu qu'ils n'avaient pas l'intention de s'arrêter. "Il est vital que ces mesures entrent en vigueur le plus rapidement possible.