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Sommet Européen Mars 2011

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Eurozone to agree laws on debt limits in bailout deal | Business. Angela Merkel was seeking concessions on corporation tax and privatisation from the Irish and Greek governments. Photograph: Geert Vanden Wijngaert/AP Leaders of the eurozone agreed in principle on Friday to write limits on public debt and budget deficits into law. The deal meets a key German condition for increasing the eurozone safety net, however wrangling continued over other requirements. Angela Merkel was seeking concessions on corporation tax and privatisation from the Irish and Greek governments in return for easing the terms of their bailouts. The Brussels summit of the 17 countries in the eurozone was seeking to agree on a German-scripted pact on common fiscal and economic policies – Berlin's price for bankrolling a permanent eurozone bailout regime from 2013 for countries at risk of sovereign default.

"Agreement in principle on the Pact for the Euro, but still discussing the other elements of the package," Van Rompuy said in a posting on Twitter tonight. La nouvelle maison commune. Le pacte pour l’euro que négocient les Vingt-Sept prévoit une profonde reconstruction de la "maison économique européenne". Pour que cette dernière puisse braver les éléments, les architectes en chef, la France et l’Allemagne, misent sur la fonctionnalité et la sécurité, aux dépens de la variété. L’Europe est en train de construire un nouvel ordre économique. Cet édifice devrait s’élever sur les mêmes fondations que le précédent, mais les matériaux utilisés devraient être plus solides.

Chaque partie de l’immeuble ne sera pas différente des autres. Le bleu méditerranéen et le vert des îles devront disparaître des pièces et tous les appartements seront peints de la même couleur. La sécurité du bâtiment sera renforcée. La perspective d’habiter dans cette demeure commune ne semble pas être trop attrayante. Quant à ceux qui ne sont pas convaincus et qui veulent vivre comme bon leur semble, ceux-là restent dans leurs petits pavillons, à la lisière du quartier. Inutile pour l’Europe de l’Est ? A Bruxelles, les Vingt-Sept ont adopté le Pacte pour l’euro censé agir comme une garantie collective pour la monnaie unique. Plusieurs pays qui ne sont pas membres de la zone euro ont adhéré à ce pacte.

Reste donc à Bruxelles de trouver le courage et les moyens de le mettre en œuvre, estime un ancien diplomate roumain. Le "Pacte pour l'euro, la garantie collective pour la stabilité de la zone euro approuvé lors du Conseil européen des 24-25 mars, est la concrétisation longuement attendue des discussions commencées en 2008 et menées tout au long de la crise financière et économique mondiale. La Commission, le Parlement et les Etats membres doivent encore élaborer un plan pluriannuel de réduction des déficits nationaux, et il est nécessaire de l’accompagner par des réformes structurelles qui favorisent la croissance économique. Le Pacte et le Fonds européen de stabilisation financière, qui ont été au centre des discussions, sont interdépendants. Socrates démissionne: le Portugal et l'euro dans la tourmente. Déjà malmené sur le plan économique et social, le Portugal affronte désormais une crise politique.

Le Premier Ministre a démissionné mercredi soir, comme il l’avait promis si l’opposition rejetait son plan d’austérité. José Socrates, en poste jusqu'à vendredi, participe aujourd'hui au sommet de Bruxelles, mais il ne peut plus rien pour son pays. Qui va probablement se résigner à demander une aide financière à ses partenaires européens. Socrates a tenu parole. Vote fatidique Socrates, qui s’est exprimé à l'issue du scrutin au Parlement, a averti que des temps difficiles attendaient les Portugais.

Cette crise politique aura des conséquences gravissimes sur la confiance dont le Portugal a besoin auprès des institutions et des marchés financiers, a mis en garde le futur ex-Premier ministre. Aide extérieure inéluctable Le nouveau programme d'austérité, le 4ème en un an, devait justement permettre au Portugal de réduire ses déficits. Une telle intervention semble désormais inéluctable. Solo. EU leaders set to delay decision on bailout fund. BRUSSELS (Reuters) - European Union leaders are unlikely to take a decision on how to strengthen the euro zone's bailout fund until June, undermining market confidence and possibly prolonging the region's debt crisis.

For months, EU leaders have talked about using a summit in Brussels this Thursday and Friday to reach a final agreement on a "comprehensive package" of measures that they hope will prevent the debt crisis from spreading further. Although the leaders have decided to raise the effective lending capacity of the European Financial Stability Facility from 250 billion euros to its full size of 440 billion euros, they have not yet been able to agree on how to do that. Draft conclusions prepared for this week's summit, seen by Reuters on Wednesday, make clear that a definitive decision on how to bolster the fund will only be taken when leaders also formalise the structure of the European Stability Mechanism, a permanent fund that will replace the EFSF in 2013.

Crise financière : un Eurobond pour relancer les finances publiques européennes. Aller au contenu principal Pour un Eurobond, par Frédéric Bonnevay. La crise financière a dévoilé la fragilité de l’union monétaire. Les critères de Maastricht ont montré leurs limites. Il est nécessaire de concevoir un nouvel instrument de coordination budgétaire: l’Eurobond, instrument de dette négociable commun, peut redonner son efficacité à la politique monétaire commune.

Données clés Du PIB total de la zone euro est représenté par le pilier franco-allemand en 2008 Etude Pour aller plus loin Médiathèque Un Eurobond pour sortir de la crise - François Rachline 0 commentaire(s) Pour rédiger un commentaire, merci de vous connecter en cliquant ici. 09 Août 2011 Fallait-il dégrader les Etats-Unis ? Frédéric Bonnevay 15 Avril 2011 Le journal de l'économie BFM Business TV 22 Décembre 2010 Abandonner l'Euro : la fin d'un tabou ? Opinions, émission présentée par Virginie Herz 17 Décembre 2010 Montaigne, militant des eurobonds La lettre A 08 Octobre 2010 Le projet d'émission d'eurobonds agite l'exécutif européen. Highlights: Euro zone finance ministers meet on debt crisis. Greece wins easier repayment terms on EU bailout loans | Business. Barely 24 hours after declaring victory in his battle to win better terms for bailout loans to debt-stricken Greece, prime minister George Papandreou called an urgent cabinet meeting on Sundayamid mounting anger over concessions agreed for the improved conditions.

Despite securing a reduction in interest rates and extension in the repayment period of the €110bn (£95bn) EU and IMF rescue package, Papandreou came under fire at the weekend for accepting to pay too heavy a price at Friday's summit of eurozone leaders. Under the new pact, Greece will be able to pay back the emergency aid over seven and a half years, up from three and a half, and at 1% less. "These decisions are a clear indication of the appreciation of the effort being made by Greece … and the Greek people," said the socialist leader. "We are €6bn better off. " But the backlash has been swift and sharp. Under the original terms of the bailout, international creditors had demanded sell-offs worth no more than €5bn.

Our leaders must now take a harder line with Merkel and Sarkozy than before - Analysis, Opinion. Updated 02 December 2012 10:45 PM The attitude shown by Sarkozy and Angela Merkel is predictable. France and Germany want to impose a uniform corporate tax regime across the EU. It is simply a question of exercising a demand for more power. Corporate tax harmonisation would attract more and more corporate activity to the heart of the union and away from the geographical periphery.

France and Germany do not want tax competition to act as a centrifugal counter-force to the centripetal forces of economic concentration that favour them. It would be economic and political suicide for Ireland to make the gesture they are asking. And Sarkozy and Merkel couldn't give tuppence for Ireland's interests -- let alone our survival.

Instead of a gesture, Ireland needs to send a very strong signal to Sarkozy and Merkel. "The interest rate you imposed on us is punitive and intended to be dissuasive. "We intend to stand up for ourselves and for our corporation tax rate -- now and in the future. Read More. L’Europe ou la démocratie (chronique France Culture) Watch your back in Europe,Enda - European, Business. NEW Taoiseach Enda Kenny has his work cut out for him over the next few weeks as he tries to hammer out a better bailout deal in Europe . The fate of our country -- and the new Government -- is on his shoulders. If he can't ease the burden of the €67.5bn IMF - EU bailout, the country will have to cough up about €3.9bn a year in interest.

A bill like that will cripple Ireland and make the task of reversing our fortunes all but impossible. Kenny attended his first EU summit as Taoiseach on Friday. He was largely doing the groundwork for the EU summit of March 24 and 25 -- which will be his real test. That summit will decide the shape of a new bailout fund for the EU and will ultimately determine whether or not we get a cheaper bailout deal. Ireland's fate is now at the mercy of several EU bureaucrats. The European Commission er for Economic and Monetary Affairs, Olli Rehn, didn't win a place in Irish hearts when he visited Dublin last November. Britain and the EU: The government's unnoticed Europe crisis. Europe: Alerte rouge. Il se prépare, dans les cénacles européens, un violent coup de force antidémocratique et l’accélération de la destruction de nos acquis sociaux allant encore au-delà de ce que nous pouvions imaginer avec le traité de Lisbonne.

Un document de travail daté du 25 février 2011, actuellement entre les mains des gouvernements, baptisé « Coordination améliorée des politiques économiques dans la zone euro. Principaux éléments et concepts » le révèle. Il contient un nouvel arsenal d’une horrible offensive antisociale qui risque d’être livrée aux travailleurs, aux jeunes, aux retraités, dans les mois à venir. Ce document, camouflé aux citoyens, est destiné à préparer le Conseil de l’Euro du 11 mars et le Conseil européen des 25 et 26 mars prochains.

Une intégration économique de l'Union européenne encore plus poussée Il constitue la dernière mouture du pacte de compétitivité dont la presse économique a tenté de faire croire, les jours derniers, qu’il serait adouci. Il y a donc urgence ! C’est Merkel qui a les clés. Le 11 mars, les dirigeants de la zone euro se réunissent à Bruxelles pour trouver une issue à la crise économique. Une seule personne semble capable d'empêcher l'UE de se scinder en deux blocs concurrents. Mais Angela Merkel est-elle à la hauteur de la tâche ? La chancelière allemande Angela Merkel tient l’avenir de l’Europe entre ses mains.

L’Allemagne est le plus puissant des pays créanciers et à ce titre, c’est elle qui est à même de résoudre la crise de la dette souveraine dans la zone euro. En tant que géant économique du continent, c’est surtout elle qui détermine les orientations de l’Union Européenne. Le centre de gravité de la zone euro est dans la frange la moins libérale En quoi une Europe ouvertement à deux vitesses importerait-elle ? Des sommets qui doivent rester exceptionnels. Euro : le drôle de Pacte qu'on nous prépare. Bagehot: Europe: it's back. BRITAIN is not about to walk out of the European Union. Opponents of EU integration may dream, but—in the near or medium term—no British government will risk a withdrawal in cold blood, in hopes of securing cut-price associate membership. Yet there is a non-trivial chance that Britain might fall out of the EU one day. Such a falling-out would involve a hasty withdrawal from a Europe that had taken an impossibly unpalatable turn.

The chances of such a messy crisis are rising. Should Britain end up out of the union, some years hence, historians may look back at two events of the present: a European Union bill currently before Parliament, and Brussels summits planned for March 11th. Britain's new European bill requires a referendum on any new treaty that would transfer powers from Britain to the EU. Ask David Cameron how sustainable his strategy feels. None of this is to say that Britain is poised for a swift exit. Now for the bad news All true, no doubt. It is not just Lib Dems who worry. Denmark must join competitiveness pact - minister. COPENHAGEN Sat Mar 12, 2011 4:09pm GMT COPENHAGEN (Reuters) - Euro-zone outsider Denmark must join the new competitiveness pact agreed by euro countries to avoid being excluded from crucial decisions about its future, a leading Danish government official said on Saturday.

A Brussels meeting of euro zone leaders agreed on Friday on a competitiveness pact for the single currency area proposed by Germany and France last month. "This pact is very wise," Justice Minister Lars Barfoed, the Conservative party leader who is also deputy prime minister, told reporters on the sidelines of a party conference. The competitiveness pact calls on EU countries to put limits on debt and deficits with national legislation, set higher retirement ages, review wage indexation and have more flexible labour markets and national bank resolution schemes. Danes voted in a 2000 referendum against adopting the euro, and opinion polls show a majority remain against abandoning the Danish crown currency. L'UE-topie des marchés : Comment la nouvelle « gouvernance économique » menace la démocratie.

Une version européenne de la « stratégie du choc » est en passe d’être mise en œuvre dans l’Union européenne. Sous le coup de la crise européenne, de nouvelles prérogatives dévolues à l’Union en matière budgétaire, de dépenses sociales ou de salaires pourraient permettre d’imposer un véritable carcan néolibéral sur les économies nationales... et de transformer définitivement l’UE en une utopie de marché, irresponsable et anti-démocratique. « Ce qui est en train de se passer est une révolution silencieuse – une révolution silencieuse vers une gouvernance économique plus forte.

Les Etats membres ont accepté – et j’espère que c’est ainsi qu’ils l’ont entendu – que les institutions disposent désormais d’importantes prérogatives concernant la surveillance et le contrôle strict des finances publiques. » - José Manuel Barroso, Président de la Commission européenne. Résumé L’année 2011 restera sans doute dans les annales de l’Union européenne. Introduction « Révolution silencieuse » La défaite des politiques face aux marchés. - Nicolas Sarkozy et Angela Merkel le 11 mars 2011. REUTERS/Francois Lenoir - En janvier, devant les parlementaires, Bob Diamond, le PDG de Barclays, déclarait que «l'époque des remords et des excuses» était finie. La crise est derrière nous, les marchés tournent gaiement la page. Pour l'année 2010, Diamond s'est fait octroyer un bonus de 6,5 millions de livres en plus d'une attribution d'actions pour une valeur actuelle de 14 millions. Les déclarations des politiques, de Sarkozy à Obama, contre «l'irresponsabilité honteuse» des banquiers qui se distribuent de tels bonus ne datent que d'un an.

«Si nous décevons les marchés financiers, cela va nous coûter cher.» Publicité Les «meilleurs» pour les banques Commençons par l'argent. La raison intellectuelle. Les gouvernements n'ont pas trouvé l'unité mondiale qui imposera sa loi. Conséquence: le secteur non régulé, le Shadow Banking, ne s'est jamais porté aussi bien. Des réponses trop tardives Venons-en à la principale faiblesse: la politique. Le sommet de l’eurozone institue une forte solidarité financière et économique. A Bruxelles, l'Europe admet l'échec de l'austérité grecque. Réforme du Traité (I) : une Europe plus solidaire... avec les marchés? IL A FALLU DESSERRER !, par Fran?ois Leclerc. L’Europe « solidaire » va-t-elle boire la tasse de l’amertume irlandaise ? Www.consilium.europa.eu/uedocs/cms_data/docs/pressdata/en/ec/119808. Joint press statement by the European Commission and the European Central Bank on the Measures announced by the Portuguese government.