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Societe de l'information

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How does the idea of p2p and the commons differ from the socialist tradition? In the article for the Argentinian national daily “Pagina 12″, journalist Mariano Blejman writes that I equate open hardware with socialism. and this is also the message that is being retweeted. This is not explicitely my position, so I’d like to take up the occasion to republish an earlier article on how our position is related to the historical movement of socialism. What is the connection between the historical tradition of socialism/communism and the contemporary emergence of ideas and practices centered around p2p dynamics and the commons? Let’s first tackle our understanding and interpretation of communism. To me it is basically the idea, probably born at the same time as post-tribal class-based society, that an alternative human arrangement based on equal relationships and without the inheritance of wealth and privilege is possible. It is something that appears again and again in human history as an expression of those that are not privileged in the existing social arrangements.

L'ère de l'information en temps réel, Vu sur le web - Informatio. Il faut aller vite, toujours plus vite. Tout savoir tout de suite sur tout. A l'heure du haut débit, de Twitter et de l'iPhone, ne pas avoir à la minute les derniers rebondissements de l'attentat au Pakistan ou la énième bourde d'un ministre du gouvernement parait incongru. En 10 ans, beaucoup de choses ont changé : les évolutions technologiques (haut-débit, wifi, internet mobile) ont permis à tous un meilleur accès à internet; ces évolutions se sont répercutées sur les habitudes du lecteur; les journalistes ont dû également s'adapter à évolution et repenser leur rôle. Retour sur une info à trois voix et décorticage de chacune d'entre elles. Sur ces dix dernières années, les avancées d'internet et du temps réel se lisent surtout à travers les grands évènements internationaux et la réactivité de plus en plus grande dont fait preuve le réseau.

Les débuts de l'information mondialisée - 11 mars 2004, les attentats de Madrid dans des trains de banlieue C'est la période de rodage. Une société de la requête (1/4) : De la Googlisation de nos vies. En 2008, Geert Lovink, animateur de NetworkCultures, l’Institut des cultures en réseau, a publié, un intéressant essai sur la Société de la requête et la Googlisation de nos vies. Dans cet article, il adressait de pertinentes question à notre dépendance à Google et tentait de faire le point sur les rares critiques à l’encontre de l’Ogre de Mountain View. En ouverture d’un dossier sur Google et les moteurs de recherche, la traduction de cette article nous a semblé une première adresse importante.

Traduction. La société de la requête et la Googlisation de nos vies Un hommage à Joseph Weizenbaum. Un spectre hante les élites intellectuelles du monde : la surcharge d’information. Avec l’augmentation spectaculaire des informations accessibles, nous sommes devenus accros aux outils de recherche. Image : Geert Lovink introduisant le colloque sur la Société de la requête, en nombre dernier, photographié par Anne Helmond. L’art de poser la bonne question Ne cherchons plus, interrogeons. Une société de la requête (2/4) : Comprendre la nouvelle économi. Par Hubert Guillaud le 16/12/09 | 4 commentaires | 2,123 lectures | Impression Suite à la publication de l’article de Geert Lovink sur la société de la requête et la googlisation de nos vies, celui-ci a organisé mi-novembre 2009 une conférence sur ces sujets, visiblement très riche.

Le blog de comptes-rendus a servi de trame pour essayer d’en rendre un aperçu – notez que toutes les vidéos des présentations sont également accessibles en ligne. Nous sommes tous les ouvriers de Google ! La conférence a été introduite par l’économiste Yann Moulier-Boutang, qui avait coordonné cet été un passionnant numéro de Multitudes sur la question, une revue dont il est le directeur. Yann Moulier-Boutang est l’auteur du Capitalisme cognitif et prépare un livre sur les rapports entre la finance et le capitalisme intitulé L’abeille et l’économiste.

“Ne sommes-nous pas tous en train de devenir les abeilles ouvrières de Google ?” Image :Yann Moulier-Boutang photographié par Anne Helmond. Le parasite Google. Une société de la requête (3/4) : Subvertir Google « InternetAc. « Pourquoi sommes-nous si passifs à faire respecter nos droits ? » « Dans une société de la requête, il est intéressant de se demander ce qu’il advient de toutes ces requêtes : quelles normes juridiques s’appliquent aux enregistrements, aux traitements et à l’accès de ces requêtes et si ces normes sauvegardent avec succès les intérêts les plus fondamentaux des utilisateurs des moteurs de recherche », explique Joris van Hoboken, de l’Institut pour le droit de l’information d’Amsterdam, qui a publié une thèse sur les moteurs de recherche et la liberté d’expression. La vie privée existe-t-elle encore dans un environnement où tout devient cherchable ?

Construire des alternatives Michael Stevenson, étudiant au Département d’études des médias de l’université d’Amsterdam, a présenté une sélection de projets artistiques et activistes liés à la recherche sur le web. Libérez les silos de données ! Ingmar Weber, chercheur à Yahoo ! Comprendre la transmutation du langage en un marché global. Une société de la requête (4/4) : Comprendre Google « InternetA. Par Hubert Guillaud le 17/12/09 | 7 commentaires | 1,599 lectures | Impression La machine à globaliser : réinterpréter les résultats des machines Pour la chercheuse Esther Weltevrede, membre de GovCom.org, une association hollandaise dédiée à la création d’outils politique en ligne, et de l’Initiative Méthodes numériques (Digital methods initiative), la question clef à se poser est “quel type de machine à globaliser est Google ?”

Image : Esther Weltevrede photographiée par Anne Helmond. Si le PageRank est considéré comme un système de classement mondial de toutes les pages web, conçu pour toutes les informations du monde, que se passe-t-il quand Google passe à l’échelle locale ? Elle a ainsi comparé les 10 premiers résultats à la requête “droits de l’homme” dans chacun des Google nationaux. En exécutant une requête sur le terme “droits” Esther montre que ceux qui arrivent en tête de résultats sont assez différents d’un domaine local à l’autre.

Quelles alternatives ? Hubert Guillaud. Danger : information overload. Dans une économie de flux, une économie de l’abondance et de la libre circulation de l’information, comment éviter l’indigestion, comme éviter d’exploser d’information overload ? Pour créer le flux, le propager, le manipuler, il faut des propulseurs. Mais comment ils propulsent, en se connectant. On ne peut propulser quelque chose que si on a construit une communauté. Et on construit une communauté en propulsant vers elle des informations intéressantes. On propulse en connectant. On connecte en propulsant. Parce qu’on appartient à des communautés, on ne reçoit par défaut que les informations filtrées par ses communautés.

Être connu, être visible, tout cela dépend de la communauté du propulseur et de celles des propulseurs qui s’intéressent à lui. Dans cette nouvelle économie, les écrivains, les journalistes, les artistes… doivent devenir des propulseurs. C’est un travail de tous les instants. Il ne faut pas oublier que peu d’écrivains ou de musiciens vivent de leur art. | La surcharge d’infos: et si ça n’était pas ça, le problème? La surcharge informationnelle est un sujet dont on parle en ce moment, dans le sillage d’un article du New York Times (dont j’ai parlé). Overdose d’info, infobésité, trop plein, overload: les mots pour le dire sont, eux aussi, en trop plein. Et si le problème, ça n’était pas la surcharge d’information, mais plutôt la surchage de travail dans bon nombre d’organisations?

C’est ce que suggère un des 3 ou 4 liens que je vous livre. Histoire de ne pas trop vous surcharger. 1. Surcharge d’info et management. Je trouve intéressant le jugement de Jérémie Rosenvallon, docteur en sociologie, auteur d’une thèse sur le travail à distance. . « La surcharge informationnelle est plus souvent et profondément le résultat de l’intensification du travail et des gains de productivité engendrés par de nouveaux outils. 2. Enikao décrit sa propre surconsommation d’infos. 3. Il semble contester qu’Internet détruit notre capacité d’intention. 4. 10 moyens de vaincre l’overdose d’information. Semantique.