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Sarkozy dénonce les "excès" d'Internet: "C&# Nicolas Sarkozy pourrait-il "tenir" le net par l' Depuis que Nicolas Sarkozy est arrivé au pouvoir, en mai 2007, il est confronté à un phénomène que personne n’avait vraiment prévu… Internet, les sites d’information, les blogueurs sont devenus un vrai contre-pouvoir. Je ne vais évidemment pas reprendre toutes les "histoires" qui ont débuté sur la toile, mais, dès les premiers jours du mandat de Nicolas Sarkozy, c’est d’internet qu’est venue la première salve. Lorsque le Journal du Dimanche n’a pas osé raconter que son épouse, Cécilia, n’était pas allée voter.

C’est ce scoop étonnant, censuré par le JDD, qui a permis au site d’information Rue89 de se lancer (clic clic clic). Depuis, c’est bien simple, sur le net, chaque semaine une histoire chasse l’autre. Sans remonter trop loin, inutile de rappeler le rôle joué par internet dans l’affaire de l’EPAD. C’est d’abord la mobilisation des internautes, avec une pétition en ligne (clic clic clic), qui a sensibilisé le reste des médias, puis l’opinion, forçant Jean Sarkozy à renoncer. Sur le web 2.0, Carla et Nicolas Sarkozy jouent au couple sympa. La page Facebook de Nicolas Sarkozy Le JDD l’a promis : ce sera le buzz de la semaine !

La com de Sarkozy s’attaque au Web : page Facebook, Twitter, blog de Carla... Rien n’est trop beau pour affiner l’image du chef de l’Etat. En réalité, cela fait des mois que les communicants de l’Elysée planchent sur ce thème : comment contourner le parasitage permanent qu’Internet fait peser sur la communication présidentielle ? ... Pour se défendre, passer à l’attaque A l’Elysée, les spins doctors ont compté les couacs de communication liés à Internet : Sans compter toutes les bourdes ministérielles (Devedjian et la « salope », Hortefeux et le militant de l’UMP...). Sur Internet, montrer un « type sympa » et décontracté Conclusion : il faut adoucir cette image, car le « type est sympa », dixit François de la Brosse, chargé de mission Internet à l’Elysée et promoteur de la très efficace PR TV. Deuxième étage de la fusée : le Web 2.0 Seulement voilà, ça ne suffit pas.

Le site de Carla Bruni-Sarkozy. Un système schizophrène, un peuple fatigué. Depuis quatre ans, Sarkozy est accusé de pervertir l’esprit de la Ve République. Pour l’essayiste allemand Benjamin Korn, le président reste pourtant fidèle à l’héritage gaulliste. L’agitation en plus… L’histoire de France est riche en séismes politiques et révolutions sanglantes ; des rois ont été renversés, le clergé évincé, l’aristocratie désarçonnée ; la bourgeoisie a pris le pouvoir et maté le prolétariat rebelle ; rien n’est resté – rien, si ce n’est l’immuable socle du centralisme. Il y a ainsi eu, sous Louis XIV, l’Etat absolu qui attachait à la Cour tous les aspirants au pouvoir afin de les surveiller de très près. Puis, sous la Révolution, le Comité de salut public [1793-1794] qui réprimait brutalement les tentatives locales d’autonomie.

Et, aujourd’hui, la France se trouve gouvernée par un président qui jouit d’une puissance unique dans le monde occidental. Les pleins pouvoirs La trouvaille appartient au général de Gaulle. La république bananière Sarkozy a ses complexes. Monsieur le Président, nous voulons des conférences de presse! p. Nicolas Sarkozy s'exprimera mercredi 23 septembre à la télévision sur TF1 et France 2, dans les JT de 20 heures, dans un cadre «négocié» avec les chaînes.

Ce sera confortable et sécurisé. Il y aura bien une conférence de presse de Nicolas Sarkozy vendredi 25 septembre à New York, à l'issue de l'Assemblée Générale des Nations Unies mais uniquement, bien sûr, sur les questions de politique étrangère. Il n'a pas le choix, c'est un fait presque institutionnalisé. Le Président de la République ne tient pas de conférence de presse en France. Tous sauf les Français. François Mitterrand y sacrifiait un peu lors de la guerre de «libération du Koweït» en 1990, mais il n'était pas question d'interroger le chef de l'État sur des sujets de politique intérieure. Publicité Il n'est d'ailleurs pas rare de voir le Premier ministre anglais ou le Chancelier allemand répondre «je ne sais pas, je vais voir ce dossier de plus près et mes services vous répondront prochainement». Le monologue sécurisé. Temps Présent - Sarkozy, vampire des médias - tsr.ch.

Le jour où Sarkozy a acheté la presse | slate. - Kiosque à journaux en novembre 2008. REUTERS/Benoit Tessier - Toute la nature de la relation de Nicolas Sarkozy aux médias était perceptible le 23 janvier 2009 lors de la présentation des mesures gouvernementales en faveur de la presse. Cette relation se résume à deux concepts: sujétion et léger mépris. Ce jour-là, sous les ors de l'Elysée, le président de la République détaillait les mesures que le gouvernement entendait tirer du fameux Livre Vert présenté quelques semaines plus tôt en clôture des Etats Généraux de la presse écrite (EGPE).

S'écartant de son texte, le chef de l'Etat n'avait pu s'empêcher du jouer la provocation condescendante sur le thème, «votre indépendance, vous la mettez en berne un jour comme aujourd'hui, lorsqu'il s'agit de venir quérir des subventions». Le body language était éloquent. publicité Au delà des espérance de la presse Car pendant le déroulement des EGPE, la crise financière se développe avec brutalité. C'est le satisfecit général et mutuel. Medias & Sarko. L’État spolie les blogueurs. Je dois être naïf.

Je ne suis pas l’actualité alors je tombe des nues quand, sur Twitter, François Bon attire mon attention vers un article du Monde où j’apprends que la presse en ligne va recevoir 60 millions d’Euros de subvention. Et pourquoi je ne reçois rien moi ? Pourquoi nous autres blogueurs qui écrivons presque tous les jours et donc participons bien à la presse en ligne ne recevons-nous rien ? Ok nous n’avons pas déposé de dossiers pour demander les subsides de l’État. Mais croyez-vous que nous aurions pu déposer des milliers de dossiers ? Croyez-vous que nous répondions aux conditions d’éligibilité pour cette subvention ? Bien sûr que non. On nous menacera de nous faire taire, de nous poursuivre en diffamation dès que nous serons impertinents ou politiquement incorrects, on nous discréditera, nous accusant de pratiquer le journalisme de caniveau… tout cela justement parce que nous ne faisons pas la manche, parce que nous ne demandons rien, parce que nous somme libres.