Histoire de la monnaie, des banques, du crédit. Central Banking. Débat monétaire chez Jorion. «L'argent-dette» Loi de Pompidou 1973. What's all the fuzz about money? Chiang Mai, Thailand - In response to the 2008 global meltdown, there are really two arguments for what needs to happen next.
One is fairly straightforward: We need to change the financial system through which money flows - though of course, the debate is on what precisely needs to be changed. But there is a more fundamental debate growing throughout the world of autonomous media and its productive publics: What if money itself needed to be changed? Time for a New Theory of Money by Ellen Brown. By understanding that money is simply credit, we unleash it as a powerful tool for our communities.
Heterodox economics: Marginal revolutionaries.
Etalon or. NGDP Targeting. Avoiding the monetary road to serfdom. Future of money. Bitcoin. Dividende universel monétaire. MMT. 100% Money. Let’s Not Pussyfoot Around with the Banks. Written by Mira Tekelova on .
There is a simple fact about the UK banking system that is both profound and mundane. It is also little known, and yet the source of much hyperbole, according to Tony Greenham, Head of Finance and Business at nef (New Economics Foundation) What is this simple fact? Commercial banks create new money. This statement often seems to have a strange effect on people, either sending them down to St Paul’s with a Guy Fawkes mask and a tent, or backing away from you in horror as if you had just blasphemed in front of the Pope.
I really don’t know why, because it is merely a description of how fractional reserve banking allows banks to expand “broad money”, or bank deposits, when they create new credit. So if you are not happy with the statement “banks create money” I hope you will read our new book Where does money come from? Jeanneney. Chômage et Monnaie » Fiche N°3 : Crédit mutuel et crédit créateur de monnaie. La Fiche N°2 a expliqué que les banques créaient de la monnaie dans leurs activités de crédit.
Il n’est pas inutile d’insister sur un point qui en trouble plus d’un, c’est que tout crédit ne crée pas de monnaie. L’exemple le plus simple est celui dans lequel Pierre prête à Paul une somme en billets dont il se dessaisit, ne faisant ainsi que transférer son pouvoir d’achat sous forme de monnaie. Nous appelons ce type de crédit le « crédit mutuel ». Lorsque je place de l’argent dans une caisse d’épargne, la monnaie passe de mon portefeuille dans les caisses de la caisse d’épargne, et celle-ci éventuellement la prête à une autre personne. Fbosque/sol/Sylvie_Diatkine.pdf. 50 – Conclusion de « les fondements de la théorie bancaire « A-J Holbecq nous a envoyé l’extrait qui suit, conclusion du livre de Sylvie Diatkine "LES FONDEMENTS DE LA THÉORIE BANCAIRE, des textes classiques aux débats contemporains" (Dunod 2002), que vous trouvez donc ci dessous Postjorion La méthode que nous avons utilisée et qui consiste à commenter les textes originaux des auteurs anciens en référence aux développements de la théorie contemporaine, à faire dialoguer les auteurs « anciens » et les auteurs « modernes », nous a permis de dégager comment se mettent en place les fondements de la théorie bancaire aux XVIIIe, XIXe et début du XXe siècles.
Il est apparu tout d’abord que, dès le XVIIIe siècle, dans les contributions de ces auteurs (dont celle de A. La monnaie a la fonction d’unité de compte des prix des biens mais aussi, et surtout, des créances et des dettes des agents, chez des auteurs du XIXe siècle (Thornton) comme du XXe siècle (Hawtrey). Les banques ont aussi une fonction spécifique au niveau du risque de liquidité.
What is Debt? – An Interview with Economic Anthropologist David Graeber. David Graeber currently holds the position of Reader in Social Anthropology at Goldsmiths University London.
Prior to this he was an associate professor of anthropology at Yale University. He is the author of ‘Debt: The First 5,000 Years’ which is available from Amazon. Interview conducted by Philip Pilkington, a journalist and writer based in Dublin, Ireland. Philip Pilkington: Let’s begin. La théorie quantitative de la monnaie. RÉVOLUTION MONÉTAIRE DE LA DÉMOCRATIE, par Pierre Sarton du Jonchay. Billet invité Le problème de la valeur réelle Depuis Aristote, la monnaie est unité de compte pour calculer des prix ; moyen de règlement des échanges dans le temps et dans l’espace ; et réserve de valeur pour accéder à l’utilité future de biens réels.
Depuis vingt-trois siècles la monnaie est un outil de mise en équivalence de tous les objets qui s’offrent et se demandent à la satisfaction des besoins économiques. Pour que cet outil créé par l’intelligence humaine soit la contrepartie effective des échanges dans l’espace et dans le temps, il est matérialisé par des espèces physiques, par des titres de créances ou par des comptes centralisés chez un intermédiaire financier. Quelle que soit sa représentation et son mode d’utilisation, la monnaie exprime la finalité humaine de l’échange de la valeur raisonnée. Le bancor à l’assaut du capitalisme. Toute cette histoire est vraiment bien montée : en pleine crise du capitalisme, et alors que tous nos dirigeants s’évertuent à faire comme s’ils n’y pouvaient rien, ressurgit par la petite porte- de la part même de ceux qui devraient y être farouchement opposés -une vieille idée en son temps défendue par un homme que le capitalisme était loin d’effrayer.
Cette idée, c’est le bancor, qui n’est rien moins qu’une proposition de monsieur Keynes datant des années 40 , et remise au goût du jour presque subrepticement, comme une sorte de « dissidence économique » qu’il faut chuchoter d’abord, pour ne pas trop effrayer nos dirigeants. Pourtant, cette idée fait son chemin, semble-t-il, parmi ces mêmes dirigeants qu’elle est censée effrayer. L'utopie d'une monnaie unique mondiale. Vendredi, c'est utopie.
Je peux imaginer que la lecture de ce blog peut finir par entraîner quelques symptômes de pessimisme ou d'anxiété: critiques sur les politiques gouvernementales (et des projets de l'opposition), dérives de la finance, crise des dettes souveraines,... C'est que l'actualité n'amène pas spécialement de bonnes nouvelles sur le front économique depuis quelques temps et que je ne suis pas un optimiste-né. Pour un système socialisé du crédit. « La nationalisation d’accord, mais partielle et temporaire !
» Ils se relaient en boucle à tous les micros comme pour conjurer le spectre hideux du capitalisme d’Etat, cette abomination qui les a tenus sur la brèche depuis deux décennies. « Ils » ? Toujours les mêmes bien sûr : répétiteurs libéraux, préposés à la rectification des erreurs socialistes et à la rééducation market friendly, experts permanents et patentés, autorités d’avant la crise comme d’après. Bien sûr une vue raisonnablement ambitieuse des choses se féliciterait de leur avoir arraché une fois dans leur vie le mot « nationalisation », eux qui n’ont cessé de proclamer la supériorité du marché et du privé.
Mais le compte n’y est pas tout à fait et leur allégresse à faire payer par la puissance publique, qu’ils ont tant méprisée, les pots cassés normalement réservés aux actionnaires a de quoi donner quelques aigreurs. La faille de la zone Euro… On me demande souvent quel est le véritable problème de la zone Euro. Ma réponse rapide : l’irresponsabilité des gouvernements dans un système où il leur est impossible de monétiser leurs déficits. Mais qu’est-ce que cela veut dire de « monétiser un déficit »? Il s’agit en fait d’utiliser la banque centrale pour créer de la monnaie, qui sera ensuite utilisée pour acheter des titres de dette du gouvernement. Par exemple, suite à l’implantation de sa politique monétaire expansionniste dès l’aube de la récession ainsi qu’à ses programmes d’assouplissement quantitatif, la Federal Reserve (la Fed pour les intimes…) a créé une quantité gigantesque de monnaie qui a servi à acheter des obligations du gouvernement fédéral américain sur les marchés financiers.
De son côté, le gouvernement a dépensé énormément, bien au-delà de ses revenus, générant d’immenses déficits fiscaux. Présentement, l’inflation est limitée aux États-Unis. Monetary Theory, Crony Capitalism and the Tea Party - US Business News Blog. Les méfaits ignorés de l’expansion du crédit bancaire. L’idée derrière l’expansion du crédit relève en réalité de la pensée magique. Persister dans cette voie n’est pas une solution à la crise mais risque au contraire de l’aggraver. Par Valentin Petkantchin Les difficultés des banques, menacées de faillite, les poussent à réduire leurs bilans et les crédits qu’elles font à l’économie. Pourtant, les pouvoirs publics et les banquiers centraux sont décidés à maintenir à tout prix cette expansion du crédit. Ils multiplient les interventions visant à s’assurer que celui-ci continue à couler « à flot ».
Or l’École autrichienne d’économie dite École de Vienne – dont les représentants ont parfaitement prédit la crise actuelle tout comme celle de 1929 – analyse que ces politiques pourraient avoir des conséquences désastreuses pour votre capital et vos économies. La foi des autorités publiques actuelles dans l’expansion du crédit paraît quasi-mystique. Baby-Sitting the Economy - By Paul Krugman. Necessite et simplicite d'une reforme monetaire. Remarque préliminaire : on peut s’étonner que tant d’économistes ou d’experts plus ou moins auto-proclamés de la chose monétaire semblent redécouvrir M.
Allais, presque totalement ignoré de son vivant, et cette redécouverte semble toucher, plus ou moins fortement, l’ensemble de l’échiquier politique. Certes, les thèses de M. The debt crisis is global and needs a structural solution through credit commons. “If the world has become so prosperous and productive, why all this debt, and why does it continue to grow ever more rapidly? It is not a matter of policy, i.e., how we operate a flawed system. The problem is structural and systemic. The american dream. The Money Fix, un film à voir et à revoir « 1001 monnaies. Murray Rothbard - Etat, qu'as-tu fait de notre monnaie?