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Piratage

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Q&A: Why money doesn't motivate file-sharers | Interviews. By Nicole Kobie Posted on 7 Dec 2010 at 11:06 Piracy is so difficult to battle because file-sharers are motivated by altruism and not financial gain, according to one academic. Joe Cox, an economist at the Portsmouth Business School, believes file-sharers who post content online see themselves as the "Robin Hoods of the digital age," according to a study he's published in the journal Information Economics and Policy.

Such insight could help drive policy and find ways to prevent illegal downloads, he claims. Q. A. I was more interested in the behavioural motivations. I called them seeders – it’s a pretty standard term for people who make the material available – distinguishing them from leechers, who just take material from others but don’t give any back. Q. A. What was interesting was the difference with the seeders, and it was quite apparent that financial motivations were nowhere near as prevelant; it was a kind of altruism.

Q. A. Q. A. Confessions d'un pirate anonyme. Mis en ligne le lundi 5 octobre 2009 ; mis à jour le jeudi 16 avril 2009. Quand j’étais adolescent, au début des années 1990, nous n’avions pas accès à internet, mais j’avais des correspondants avec qui j’échangeais des cassettes. Dans le sabir du moment, nous étions des « swappers ». Nous mettions de la colle sur les timbres, et le destinataire, en les passant soigneusement sous l’eau, faisait partir le tampon afin qu’ils soient réutilisables ; pour un garçon de quinze ans qui a peu d’argent de poche, cela faisait une différence. C’était pour moi les premiers soupçons d’un accès gratuit à la culture, une culture que je n’imaginais même pas et que je rencontrais sans l’intermédiaire des radios et des magazines, au fil un peu aléatoire de contacts avec des gens jamais vus.

Vers l’an 2000, avec l’apparition de Napster et de quelques autres réseaux concurrents, je me mis à cette activité nouvelle qu’était le téléchargement de musique. Télécharger des films a une saveur différente. Piratons pour lutter contre le piratage | Owni.fr. Tout le monde connait les conséquences de la prohibition, elle favorise la violence et ne diminue pas l’usage des biens prohibés. Dans la plupart des pays occidentaux, les cocaïnomanes recensés par les services de santé depuis cinquante ans sont de plus en plus nombreux. Au États-Unis, un des pays où la répression est la plus forte, [...] Tout le monde connait les conséquences de la prohibition, elle favorise la violence et ne diminue pas l’usage des biens prohibés. Dans la plupart des pays occidentaux, les cocaïnomanes recensés par les services de santé depuis cinquante ans sont de plus en plus nombreux. Au États-Unis, un des pays où la répression est la plus forte, la consommation est aussi la plus forte.

En revanche, dans les rares pays qui, comme le Portugal, ne pénalisent pas l’usage des drogues, le nombre de toxicomanes reste stable et la mortalité associée diminue. Bon ok, souvent nos amis du pouvoir sont sous influences nocives et pas aussi naïfs qu’on le pense. PS. Napster: If You Can't Sell It, Give It Away. Lily Allen Distributing Tons Of Copyrighted Music. Really don't want to turn this into an all Lily Allen all the time blog, but reader Peter has sent in something rather interesting: When Lily was first trying to get attention, she created a couple of mixtapes with a ton of songs from other artists... available as MP3 downloads, and mixing in her own tracks. This is a well-known tradition in some circles and a great way to get some attention. We're all for it. But... it seems quite hypocritical of Ms. Allen to claim that file sharing is somehow evil and destroying the industry when she appears to be an active participant and used it to promote herself (oh my goodness!

So, when Lily notes on her anti-piracy blog that: Also the government legislation is targeting uploaders -- people that make music available illegally It appears that she actually qualifies. So... while the hypocrisy of Allen's copying a Techdirt post was still misunderstood by some (including Ms.

Thepiratebay

Un Danois veut provoquer un débat sur les DRM en se dénonçant à. À l'instar de la France, la législation danoise autorise la copie privée dans un cadre strictement familial. Or, si la loi permet de dupliquer un contenu vendu dans le commerce pour en faire une sauvegarde, les textes danois interdisent dans le même temps le contournement des mesures techniques de protection (DRM) , outils qui restreignent largement le droit à la copie privée. Et dans la mesure où ces protections sont massivement déployées sur les DVD commerciaux, la situation est rapidement devenue un casse-tête pour le consommateur.

Or, pour le Danois Henrik Anderson, la situation est intolérable. Bien décidé à savoir quelle loi prévaut actuellement dans son pays, l'intéressé a eu le culot de se dénoncer lui-même en octobre dernier à l'Antipiratgruppen, une organisation locale spécialisée dans la lutte contre le piratage. À l'époque, l'organisation lui avait promis une réponse très rapide. Pourquoi l'Antipiratgruppen refuse-t-il de poursuivre le jeune homme ? DRM au Danemark : le contournement est possible, mais c'est illé. Avant-hier, nous vous rapportions l'affaire d'Henrik Anderson, un Danois bien décidé à provoquer un débat sur la légalité et la légitimité des DRM dans son pays.

Celui-ci avait en effet découvert que la législation en matière de droit d'auteur était par moment bien confuse. En effet, bien que la loi l'autorise à réaliser une copie d'un DVD pour son usage personnel, elle lui interdit dans le même temps de contourner les mesures de protection installées sur les disques commerciaux. Devant cette situation grotesque, Henrik Anderson a préféré prendre les devants, plutôt que d'attendre une éventuelle plainte émanant d'un ayant-droit. Pour cela, il s'est dénoncé en octobre dernier à l'Antipiratgruppen, une association danoise dédiée à la lutte contre le piratage et à la protection des intérêts des détenteurs de droits. Il a ainsi avoué avoir rippé une centaine de DVD, en cassant systématiquement la protection numérique.

Tous pirates. Droit d'auteur a outrance. Rock & Pirates à Saint-Malo #4 : dernier tour des pistes. Suite et fin de notre compte-rendu de parlotte avec certains artistes programmés à la Route du Rock 2009 , édition très satisfaisante bien que marquée par le déclin annoncé des chemises à carreaux. Avec le recul, on pourrait s'auto-flageller de ne pas avoir évoqué certaines questions cruciales, comme la licence globale , par exemple. En même temps, l'exhaustivité n'a jamais été le but premier de l'exercice. Pour cet ultime retour en terre malouine, évoquons donc quelques pistes possibles pour l'avenir du music business, si tant est que la musique puisse encore être considérée comme un business... Il est de plus en plus fréquent de tomber sur un article, un billet de blog ou une conversation où l'on explique, grosso modo, qu'avec un banal ordi, deux logiciels hackés et des instruments de seconde main, n'importe qui peut faire son album «comme un pro» sans avoir à débourser une fortune.

Codebase=" Droit d'auteur : est-ce du vol si le videur offre sa tourné. La semaine dernière nous vous parlions du cas de Daniel Fringer, un développeur de Hanovre accusé selon lui à tort d'avoir téléchargé et partagé sur eMule un film pornographique protégé par le droits d'auteur. L'homme accusait en retour la société qui a collecté son adresse IP d'avoir partagé elle-même le film, pour inciter les "pirates" à le télécharger et les menacer ensuite de procès s'ils ne signent pas un chèque à l'amiable.

Détestable, la méthode du pot de miel est bien utilisée au moins par certaines sociétés. Interrogée en décembre 2008 par Hush-hush, la société Digiprotect spécialisée dans la chasse au porno pirate avait ouvertement admis qu'elle partageait elle-même les fichiers protégés de ses clients dans le but de collecter les adresses IP de ceux qui tentent de le télécharger. Une fois les adresses IP des téléchargeurs collectées, Digiprotect se rend au tribunal pour obtenir une ordonnance à l'encontre des FAI.

Piratage : usages & stats

Streaming vs Piratage. Piratage, un faux probleme ? Les chiffres du piratage démontés par le gouvernement américain. Quel que soit le sujet discuté, le législateur devrait toujours pouvoir s’appuyer sur des chiffres solides avant de prendre des décisions. Il faut estimer au mieux possible les impacts d’un problème, et les conséquences sur toute l’économie des solutions dont les parlementaires discutent et qu'ils finissent par voter... Ce principe semble évident, mais un rapport du très officiel GAO (Government Accountability Office) américain montre qu’aucun des chiffres sur la contrefaçon par internet utilisés aux États-Unis jusqu’à présent n'est fiable.

Ces chiffres proviennent soit de sources imaginaires, soit d’études dont la méthodologie est biaisée. Ambiance. Le GAO : Cour des Comptes américaine Le Government Accountability Office se définit comme « le fournisseur d’audits, d’évaluations et d’enquêtes pour le Congrès américain ». En gros, le GAO effectue les mêmes missions que notre chère Cour des Comptes, avec la même indépendance et une obsession pour les chiffres.

Etude sur le piratage numérique du livre : idées reçues, résulta. Le piratage détruit les emplois. Avertissement : la tribune ci-dessous, parue dans Libération du 12 mai 2010, est signée Patrice Geoffron (Professeur à l'université Paris-Dauphin) et Philippe Hardouin (économiste et consultant). Précisons que ces deux auteurs basent leur analyse anti-piratage sur une étude Tera ( pdf de la version 2010 en anglais ) basée sur un précédent rapport publié en 2008 ( pdf en français ), étude dont ils sont tous deux responsables. En effet, comme l'explique PCInpact , Patrice Geoffron dirige le cabinet Tera et Philippe Hardouin a collaboré à cette étude.

Nous invitons nos lecteurs à se pencher sur l'analyse de cette étude qu'avait publié ReadWriteWeb en novembre 2008. Une tribune aux conclusions clairement différentes devrait prochainement être publiée dans les pages Rebonds de Libé. Cette précision apportée, bonne lecture. Au sortir d’une crise qui ne l’aura pas épargnée, l’Europe s’interroge sur sa capacité à refonder un modèle de croissance. Lire les réactions à cet article.

Vaine lutte contre le piratage

Behind the music: Can we ever measure the impact of downloading? "Filesharers spend more on music! " scream the headlines. "Filesharers spend less on music! " scream other headlines. I'm confused. It seems that barely a week goes by without new research about the music industry being published. A couple of weeks ago Will Page, chief economist for PRS for Music, presented a study that found a large part of the population doesn't purchase music at all.

So what about those headlines? What most articles also failed to mention was that the survey was paid for by internet service provider Virgin Media, and no one mentioned that the person analysing the data for Demos, Peter Bradwell, is an Open Rights Group supporter – the same organisation that commissioned and published a recent YouGov poll that claimed: "Mandelson's internet disconnection plans is a clear vote loser.

" It's never quite as simple as the headlines make out.