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Une croissance toujours plus importante pour le logiciel libre e. Un marché de 5,1 milliards d'euros en 2009 et une croissance qui ne montre aucun signe de faiblesse. Non décidément, le secteur du logiciel libre n'a vraiment pas l'air d'avoir subi les soubresauts économiques de la crise. Et l'avenir n'en est pas moins radieux : selon une étude menée par le cabinet Pierre Audoin Consultants et publiée hier, la croissance européenne du marché du logiciel libre devrait flirter avec la barre des 44 %.

Et dans cette affaire, la France tient son rang : "la France est le plus gros marché en Europe" et "le plus mûr" a souligné à L'AFP Mathieu Poujol, consultant chez Pierre Audoin Consultants. D'ailleurs, le marché français pèse pas moins de 1,47 milliard d'euros. Une situation qui n'est nullement dramatique. Sans surprise, surtout en période de crise économique, c'est avant tout l'avantage financier du logiciel libre qui a été l'une des raisons majeures pour migrer vers ces solutions alternatives. Logiciels libres.

Mozilla

Pourquoi j'utilise la licence GPL ou les états d'âme d. Voici une traduction intéressante à plus d’un titre. Ensuite parce qu’elle évoque la classique opposition à l’intérieur même des licences libres entre celles de type GPL et celle de type BSD. C’est toute la question du copyleft et de la viralité de la licence. Le copyleft est une apparente restriction, puisqu’il impose de diffuser le code modifié sous la même licence. Mais peut-être que cette contrainte est paradoxalement une garantie supplémentaire de liberté pour l’utilisateur ?

Enfin parce qu’elle aborde de nombreuses problématiques liées à l’open source et au monde de l’entreprise. Et puis il y a la question morale de la reconnaissance et celle très concrète du gagne-pain du développeur, frustré d’être ainsi ignoré et constatant non sans une certaine irritation que d’autres en profitent à sa place. Voilà donc, entres autres arguments, pourquoi l’article ci-dessous mérite attention.

. « Je veux que les gens apprécient le travail que j’ai fait et la valeur de ce que j’ai réalisé.

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Le logiciel libre et le mythe de la méritocratie. En janvier 2008, Bruce Byfield écrivait, dans un article que nous avions traduit ici-même (Ce qui caractérise les utilisateurs de logiciels libres) : « La communauté du Libre peut se targuer d’être une méritocratie où le statut est le résultat d’accomplissements et de contributions ». Deux ans plus tard, le même nous propose de sonder plus avant la véracité d’une telle assertion, qui ne va finalement peut-être pas de soi et relève parfois plus du mythe savamment auto-entretenu. Et de poser en guise de conclusion quelques pertinentes questions qui si elles trouvaient réponse participeraient effectivement à combler l’écart constaté entre la théorie et la pratique.

Nos propres discours n’en auraient alors que plus de consistance et de maturité[1] Les projets open source et le mythe de la méritocratie Open Source Projects and the Meritocracy Myth Bruce Byfield - 2 décembre 2009 - Datamation(Traduction Framalang : Olivier et Cheval boiteux) « Ce n’est pas une démocratie, c’est une méritocratie. » Pourquoi le logiciel libre est-il important pour moi ? - Framabl. Bruce Byfield est un journaliste américain que nous avons souvent traduit sur le Framablog. Il nous livre ici une sorte de témoignage confession autour de cette simple question : Pourquoi le logiciel libre est-il important pour moi ? Une question qui, vers la fin, en cache une autre : Pourquoi le logiciel libre n’est-il pas important pour les autres ? La réponse m’a alors fait fortement penser à l’Allégorie de la caverne de Platon parce que « pour une grande majorité, le Libre contraste tellement avec ce qu’ils connaissent qu’ils peinent à concevoir que cela existe »[1] Mais je ne vous en dis pas plus… Pourquoi les 4 libertés du logiciel sont plus importantes que jamais pour les Linuxiens Why ‘Free as in Freedom’ is More Important Than Ever for Linux Users Bruce Byfield - 17 novembre 2009 - LinuxPlanet.com(Traduction Framalang : Don Rico) Une marionnette heureuse de sa condition Une changement de logiciel et de relations Microsoft a néanmoins contribué à me pousser vers le logiciel libre.

Les innovations ouvertes sont-elles compatibles avec les système. Par Hubert Guillaud le 26/06/09 | 4 commentaires | 8,913 lectures | Impression “Qui n’a jamais voulu tuer son responsable informatique dans cette salle ?” , demande Daniel Kaplan, délégué général de la Fondation internet nouvelle génération, en obtenant l’assentiment complice de l’assemblée participant à la première édition de la conférence Lift à Marseille. Aujourd’hui, les systèmes d’information des entreprises sont le pire ennemi de l’innovation, affirme-t-il. Ils laissent les organisations et les processus à l’âge de pierre. Ils restreignent les horizons des entreprises et leurs réseaux. Ils déforment leurs façons de voir le monde. Mais les ferments du changement émergent… au moins parce que l’innovation les bouscule. Il n’y a que des innovations ouvertes ! “Qu’est-ce que l’innovation ?” Il y bien deux parts dans l’innovation : d’un côté la technologie et la connaissance, de l’autre les humains, leurs rêves et la vie réelle.

Image : Marc Giget sur la scène de Lift par Frank Kresin. Google : numéro 1 mondial de l'open source ? Ah qu’il était doux et rassurant le temps de l’informatique à grand-papa où nous avions nos ordinateurs fixes qui se connectaient de temps en temps et où nous luttions avec confiance et enthousiasme contre le grand-méchant Microsoft ! Ce temps-là est révolu. Nous entrons dans une autre décennie et il se pourrait bien que le principal sujet de conversation de la communauté du logiciel libre dans les dix ans à venir ne soit plus Microsoft (symbole du logiciel propriétaire, j’ai mal à mes fichiers !)

Mais Google (symbole de l’informatique dans les nuages, j’ai mal à mes données personnelles !) [1] Firefox, bouffé par Chrome ? Le problème c’est que nous n’avons plus un Microsoft en face d’une limpide ligne de démarcation. La plus grande entreprise mondiale de l’open-source ? World’s biggest open-source company? Matt Asay - 16 septembre 2009 - Cnet news(Traduction Framalang : Julien et Cheval boiteux) Aucun d’eux ne le fait pour marquer des points auprès des utilisateurs branchés. Tristan Nitot : « Le futur ne va pas être inventé dans des labos.

Le 9 novembre 2004 sortait Firefox. Dans un marché monopolisé par l’Internet Explorer de Microsoft, le lancement, par la Mozilla Foundation, de ce navigateur web libre et innovant a suscité un engouement rapide. Aujourd’hui, il a 24 % du marché et plus de 300 millions d’utilisateurs. A l’occasion de ses 5 ans, Tristan Nitot, président de Mozilla Europe, et «dino» de l’Internet, revient sur cette histoire et livre sa vision personnelle du Net.

Que représentent ces cinq ans ? _ Ils sont incroyables. Puis il y eut le projet Firefox… _ L’équipe travaillait à une suite internet avec navigateur, messagerie, éditeur de page web, et plein d’autres modules. Une nouvelle version (la 3.6 ) du navigateur va bientôt sortir. . _ Que le Web soit capable d’offrir des applications aussi riches et performantes que les applications dites natives. Et bientôt Firefox pour mobile ? Le marketing «produit cool», justement, comme a pu l’avoir Apple, fait partie de votre positionnement ? _ Oui.

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Paint.NET : du fauxpen source au vrai propriétaire. Paint.NET[1] est un très bon logiciel libre de retouches d’images pour Windows. De l’avis de beaucoup, bien plus « sexy » et accessible au grand public que Gimp par exemple. Sauf qu’il possède deux défauts, un petit et un bien plus grand, éliminatoire même. Il nécessite, comme son nom l’indique, l’implémentation préalable du framework .NET de Microsoft, mais surtout il a très vite été un logiciel libre contesté qui n’avait en fait de logiciel libre que le nom, ou plutôt « que » la licence (en l’occurrence la licence MIT).

Contrôle du code, communauté inexistante et absence des dernières version des sources à télécharger, faisaient en effet de ce logiciel un exemple emblématique de « fauxpen source ». De l’aveu même de Rick Brewster, son unique développeur : « le code source était publié mais il n’a jamais été question d’un projet ouvert et collaboratif qui acceptait des soumissions de code non sollicitées ».

Aujourd’hui les choses sont clarifiées. Une nouvelle licence pour Paint.NET 3.5.