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Management

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Les managers français sont-ils aussi nuls que le prétendent les Anglo-saxons ? Atlantico : The Economist dresse un portrait plutôt négatif du management à la française. Partagez-vous ce constat ? Patrick Roth : Je pense que l’article est un peu caricatural, mais c’est aussi un moyen de marquer les esprits. J’ai le sentiment qu’il amalgame les tops managers avec un certain nombre de caractéristiques fantasmagoriques qu’on peut leur attribuer. Je prends un exemple : il est écrit dans l’article qu’une grande partie des managers sort de Polytechnique, ça se saurait si tel était le cas. Cette référence au « parachutage » concerne plutôt les tops managers et plutôt les tops formations des managers. Cependant, à travers cette idée que l’on naît manager plutôt qu’on ne le devient, il y a sans doute une caractéristique française un peu plus forte qu’ailleurs. On accorde peut-être plus d’importance aux grandes écoles en France surtout s’agissant du démarrage de carrière. Quelles sont les lacunes qui caractérisent le management des entreprises françaises selon vous ?

Le "free seating" ou la liberté de ne plus avoir de siège au boulot. Priver de bureaux les employés sur la route, en réunion ? Risqué pour l’ambiance, ont constaté Renault ou Microsoft. Une chaise de bureau sur la plage (kamstrup/Flickr/CC). Finis la photo des enfants posée sur le bureau, la plante verte et le pot à crayons mâchonnés à portée de main. Chez Accenture, c’est « free seating » ou « desk sharing » : les bureaux ne sont pas attitrés, et il y en a moins que d’employés. C’est le cabinet de conseil qui a introduit en France cette pratique anglo-saxonne. Les bureaux vides, tout d’abord. . « A l’occasion de notre déménagement, les places des salariés les plus nomades, commerciaux ou consultants, ont donc été remplacées par un “pool” de postes interchangeables. » Au total, sur les trois millions de mètres carrés occupés par Microsoft dans le monde, un tiers sont désormais « flexibles »

. « On repérait les nouveaux, ils disaient encore “bonjour” » Tentant, mais pas sans risque. . « Les équipes avaient perdu leurs repères et se sentaient mal. A-t-on vraiment envie d'afficher son humeur au boulot ? Pour motiver ses salariés, la Société Générale leur propose d'exprimer leur humeur le matin en collant des smileys sur un tableau.

Une méthode de management qui ne convainc pas tout le monde. C'est une des « innovations » concoctées par le cabinet de conseil McKinsey & Company qui a orchestré le cahier des charges du programme Team-Up concernant les 10 000 salariés des services centraux de la banque. A l'aide de smileys , chacun est invité à signaler son humeur aux autres, en le collant sur le tableau blanc de la réunion matinale. Dans les faits, beaucoup d'équipes font l'impasse sur cet indicateur optionnel et collectif d'humeur. Rond, carré, triangle, c'est au travers de ces figures géométriques que les membres d'une équipe de la Société Générale a finalement décidé de faire partager son humeur à l'occasion du « morning meeting » quotidien. Une stratégie originale de contournement, 100% non émotionnelle.

Peu importe, Team-Up nourrit d'autres ambitions. En partenariat avec : Entreprises : facile d'être mis au placard, dur dur d'en sortir. Dans le privé ou dans le public, la placardisation peut être vécue comme une mort sociale. Une solution : faire du bruit. Mathilde et Fabienne [les prénoms ont été changés, ndlr] ont connu les affres de la placardisation.

Leurs expériences difficiles rappellent que cette épreuve peut survenir quand on s'y attend le moins, et qu'il est souvent compliqué de trouver une solution. Dans le privé comme dans le public. Ces deux femmes ont un point commun : leur supérieur hiérarchique leur a, un jour, retiré leurs attributions sans raison valable. Mathilde : « Je me suis sentie sous-exploitée » Pour Mathilde, ingénieure d'études dans le public, tout a commencé suite à un arrêt de travail de neuf mois , vital après un cancer du sein métastasé. . « Le traitement a été efficace et je suis une miraculée, aujourd'hui en rémission. L'informaticienne, âgée d'une trentaine d'années, perçoit ce mi-temps thérapeutique comme une chance, d'autant qu'elle a vu la mort de près. . « Notre entrevue n'a rien changé. Fête, corrida, flash mob : des patrons prêts à tout pour motiver.

Vous avez été nombreux à répondre à l'appel à témoignages lancé vendredi sur Eco89. A l'arrivée, de riches histoires qui font souvent sourire (jaune). Chloé, riveraine qui ne sait plus où donner de la fête Chloé, analyste qualité dans une grande entreprise pharmaceutique en Irlande, ne compte plus le nombre de soirées, spectacles et autres journées de détente offerts par son employeur. Elle est une des rares à témoigner sur son employeur actuel, les autres riverains s'épanchant plutôt, et c'est logique, sur leur(s) ex-patron(s). Les châteaux gonflables pour les enfants, les repas de Noël grandioses, ou encore les mini-séjours tout frais payés pour deux personnes, Chloé connaît. Dans le lot, certains événements sont obligatoires, et programmés sur le temps de travail : « Une journée dans une base marine a été organisée pour tout notre département, chefs inclus. Nous nous sommes retrouvés à naviguer dans des barques, et notre chef est tombée dans l'eau en descendant sur un ponton.

How to Create a Kick Ass Team « The Hacker Chick Blog. “How many of you have been on a team in a state of shared vision?” This is the question Jim McCarthy used to kick off last night’s Agile Boston presentation. “Now, stay standing if you thought that team was at least 2x as effective as a team without one… 5x more effective… 10x more effective.” The majority of us stayed standing throughout. 10 TIMES more effective!

That’s like the difference between sheer joy and utter misery, isn’t it? Yes, that’s just what it is. Jim and his wife Michelle have spent the last 15 years studying teams in their teamwork laboratory in search of an answer to this question. It starts, as you might expect, on the individual level, with each team member committing to behave according to their 11 core commitments. Once we’ve agreed to honor these commitments, there are a set of 11 core protocols the team follows in how they interact with one another. Team Unanimity “Discussions ought to be illegal.” Ask for Help Vulnerability attracts, strength repels.

World Building. Stage France Telecom : "courbe du deuil" et casse du salarié. Les méthodes décapantes d'un patron néerlandais - Les Echos.fr. Motivating Your Social Media Marketing And PR Team. Working with teams on countless social marketing and PR projects internally, with clients and even random ideas purely for fun has given me an appreciation for keeping everyone motivated and interested in what they’re doing. In fact it’s tough for me to recall an ultra-successful project that occurred in a situation without a majority of the team motivated and passionate about what they were working on. You could have a truly brilliant group but if they aren’t motivated, so what? They aren’t going to be in the right mindset to win. In social marketing and PR this is especially important because everything is going to be shared publicly.

With that in mind, following are 10 ideas specifically for social projects to keep your team motivated and interested: 1. A lot of companies talk about providing feedback to their team on social participation. 2. 3. If you’re unfamiliar with the concept of a 20% time, it’s a simple concept popularized by Google: 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. Le mec qui vous harcèle pour un sondage au téléphone, c'était moi. Un téléphone serré d’élastiques (furryscalyman/Flickr). (De nos archives) Ils arrivent jusqu’à nous le plus souvent via la boîte mail « contact@rue89.com », parfois par le téléphone ou par quelqu’un qui connaît quelqu’un qui connaît Rue89.

D’autres apparaissent dans les commentaires. Certains témoignages nous touchent ou retiennent notre attention, parce qu’ils nous semblent incarner ce qui agite notre société : leur « ordinarité », exemplarité, la sincérité, la manière dont ils sont rédigés. Nous contactons alors l’auteur, nous évaluons la légitimité de son témoignage, et l’aidons à le préciser, ou le simplifier en l’avertissant que les riverains viendront ensuite donner leur avis sur sa vie, et que ça peut être rude, parfois.

Jusqu’au 4 janvier, nous sortons de nos archives 2010 neuf de ces témoignages parmi les plus représentatifs des contributions des internautes. C’est pour cette seconde raison que j’ai été viré. La veille, j’ai travaillé jusqu’à 21h30. . « Un autre superviseur ?