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Majors

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L'industrie musicale, c'est chiant. Larry Harris, Author of And Party Every Day: The Inside Story of Casablanca Records. Casablanca Records was synonymous with the excesses of the music business in the 1970s. Rumors about the label’s heyday and it’s exuberant president, the late Neil Bogart, have abounded for years, but no official history existed until the 2009 publication of And Party Every Day: The Inside Story of Casablanca Records. Penned by Casablanca co-founder Larry Harris (with Curt Gooch and Jeff Suhs), the book traces the controversial company’s rise and fall in no holds barred detail. All the major players are here, from Casablanca’s exuberant president Neil Bogart to Kiss, Donna Summer, the Village People, and all the behind the scenes managers and promotion people that made Casablanca the most infamous record company in music biz history. I recently interviewed Harris via phone and here are some of his reflections about those halcyon days of sex, drugs, disco, and rock ‘n’ roll.

On Seeing Kiss for the First Time It was shocking. The Critics’ Initial Response Their First Tour Donna Summer. ElectronLibre. Sony a enregistré une nouvelle perte de 26,3 milliards de yens (201 M€) au cours du deuxième trimestre de son exercice fiscal clos le 30 septembre dernier. Le groupe japonais, qui affichait un bénéfice de 20,8 milliards de yens il y a un an, enregistre ainsi sa quatrième perte trimestrielle consécutive.

Une contre-performance à mettre au compte d’une baisse sensible de la demande pour la vénérable console PS2. La division Networked Product and Services a vu ses ventes baisser de 24,2 % en valeur quand la division Consumer Products and Devices enregistre un recul de 36,5 %. Les ventes d’équipements de home theatre reculent elle aussi de 30,4 % sur la période et la baisse de chiffre d’affaires de 40 % du fabricant de téléphones mobile Sony Ericsson impacte négativement les résultats trimestrels de Sony. Commentaire de commentaire… « Comment… (Ceci est un commentaire par rapport à cet article, qu’il n’était possible de publier autrement ;-)) Après quelques temps de réflexion, de lecture et de recherches, je me permets de revenir dans le coin avec un certain nombre d’observations et de commentaires sur des points qui me semblent importants.

Je commencerai par le SNEP (à ne pas confondre avec le SNEP ou les autres SNEP). Le Syndicat national de l’édition phonographique (syndicat français), membre de l’IFPI a donc pour but la défense des intérêts de ses membres, qui comptent 4 majors. Je reproduis ici la définition qu’il se donne, pour vous économiser quelques clics (mais les "purs" vérifieront) : "Créé en 1922, le Syndicat National de l’Edition Phonographique regroupe 48 membres dont il est le porte-parole et le représentant, vis-à-vis du Gouvernement, des parlementaires et de l’administration, (ainsi) que des autres organisations professionnelles, de la presse et du public". selon de quel camp on se prévaut.

Et en 3ème… [itw] Pamela Hute : “Le geek est devenu trop hype. A la limite, Comme vous le savez, Owni est né lors de la bataille contre Hadopi. A travers la soirée "Hadopi m'a tuer", nous avions déjà essayé d'encourager le dialogue entre les artistes, leur public et les professionnels de l'industrie du disque. Ces derniers jours à nouveau, nous avons poursuivi cette démarche grâce à l'interview de Diane Tell réalisée par Enikao. J'ai sollicité la fougueuse Pamela Hute pour continuer sur cette lancée.

Ces derniers jours à nouveau, nous avons poursuivi cette démarche grâce à l’interview de Diane Tell réalisée par Enikao. J’ai sollicité la fougueuse Pamela Hute pour continuer sur cette lancée. J’avais déjà eu l’occasion de voir Pamela sur scène et d’apprécier, en plus de sa musique, la manière dont elle utilise les réseaux sociaux, particulièrement son blog. Son point de vue d’ “artiste en développement” est très intéressant, et elle secoue parfois certaines de nos certitudes … J’ai toujours accordé beaucoup d’importance à ma présence sur internet. Pascal Nègre nie toute responsabilité dans la crise du disque, o. Interrogé par le bloggueur Thomas Clément dans le cadre de son fameux Tomcast, Pascal Nègre a nié toute responsabilité intrinsèque de l'industrie du disque à la crise qu'elle traverse depuis plusieurs années.

Sa seule responsabilité, selon le patron d'Universal Music, c'est de n'avoir pas été meilleur encore dans les efforts de lobbying à l'égard des gouvernements. "On a mis trop de temps pour convaincre les pouvoirs publics d'agir, si on avait eu l'Hadopi il y a quatre ans, ça aurait vraiment changé quelque chose", a ainsi répondu Pascal Nègre à Thomas Clément qui l'interrogeait sur "sa part de responsabilité".

Rappelons qu'il y a quatre ans, les maisons de disques avaient pourtant déjà convaincu les pouvoirs publics. La riposte graduée avait été défendue en son temps par le ministre de la culture Renaud Donnedieu de Vabres, qui l'avait insérée dans le projet de loi sur les droits d'auteur et les droits voisins dans la société de l'information (DADVSI). How The Record Labels Are Killing Innovative New Music Services: A couple years ago, we discussed how Universal Music CEO Doug Morris gleefully explained how clueless he was about technology -- while also being quite ignorant of basic economics and business models. It's amazing that Vivedi has allowed him to remain in charge. One of the more stunning statements was that the idea that you had to give up some money now to make more in the future just means "someone, somewhere, is taking advantage of you. " Apparently, the guy has never heard of investing and has no bank accounts that earn interest, because that's just "someone, somewhere... taking advantage.

" With that said, the following really isn't all that surprising. Gerd Leonhard highlights the explanation of why concert video site FabChannel shut down: No money means no content. That is the way the labels (major and independent) look at potential partnerships with internet companies. It's hard to think of anything more short-sighted or suicidal. Maisons de disques : et qu'est ce qui va se passer mainte. {*style:<b> <b>R </b>égulièrement la question revient ; est ce qu'on va tous mourir? Est ce que l'industrie du disque va disparaître? Est ce qu'on va devoir tous pointer à l'ANPE (qui n'existe même plus)?

</b>*} Et certains pensent que nous, auteurs de ces lignes, sommes des sadiques, qui tirent un plaisir sans fin à pronostiquer la fin de tous ceux qui, assis dans leurs bureaux, fumant le cigare, écoutant des artistes du matin (heu midi plutôt) au soir, et finissant -de temps en temps- par en signer magnanimement un ou deux, tout en leur imposant des contrats abusifs, s'enrichissant sur le dos de jeunes musiciens talentueux, etc. Voici donc, spécialement pour le métier de la production, quelques petites observations, et pour faire bonne mesure, nous nous sommes attachés à relever les aspect positifs du métier... : et donc l'absence de prise de risque.

. : N'en déplaise au majors, Big is not nice and not beautiful at all. . : d'accord, ça a été vraiment pas facile. La musique numérique se porte bien, merci pour elle (mission Zel. L&#039;industrie du disque veut toucher des royalties sur les ex. Il n'y a pas de petits profits. Deux organisations de collecte et de gestion des droits d'auteur, l'ASCAP (American Society of Composers, Authors, and Publishers) et la BMI (Broadcast Music Incorporated), ont lancé une nouvelle idée pour récupérer encore plus d'argent : facturer les extraits audio de quelques secondes que l'internaute peut parfois entendre sur les plates-formes musicales comme iTunes.

Ce n'est pas la première fois que l'industrie du disque cherche des nouvelles sources de financement, par tous les moyens. Il y a quelques temps déjà, l'ASCAP s'était illustrée en considérant l'utilisation d'un lecteur exportable (comme celui de YouTube ou de DailyMotion) comme une "performance publique" autorisant les ayants droit à percevoir une rémunération.

Pourtant, les différentes boutiques en ligne et les stations de radio Internet (comme Pandora ou Last.fm) paient déjà des sommes importantes pour chaque musique vendue ou diffusée en streaming. Mais rien y fait.

Youtube vs WMG