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Libéralisme

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Who are the libertarians? Libertarians are less altruistic and emotional, more rational and individualistic than other people, a research paper says. What makes a libertarian a libertarian? And how they compare with the liberals and conservatives? Even though it is often said or believed these people are “selfish”, this question had been much unstudied by accademics until now. However, in a recent paper called “Understanding Libertarian Morality: The Psychological Dispositions of Self-Identified Libertarians”, Ravi Iyer, Spassena Koleva, Jesse Graham, Peter Ditto and Jonathan Haidt bring some insightful elements of knowledge on the topic.

Indeed, the objective of their work was precisely to “address the question of what dispositional traits, emotions, and social preferences predict self-identification as libertarian”. The researchers start from three predictions that they intended to test-proof empirically: Libertarians are less likely to endorse any morality except the one of individual freedom I don’t think so. It’s Hip! It’s Cool! It’s Libertarianism! - By Connor Kilpatrick. Calling yourself a libertarian today is a lot like wearing a mullet back in the nineteen eighties. It sends a clear signal: business up front, party in the back. You know, those guys who call themselves “socially liberal but fiscally conservative”? Yeah. It’s for them. Today, the ruling class knows that they’ve lost the culture wars. And unlike with our parents, they can’t count on weeping eagles and the stars ‘n bars to get us to fall in line.

Republicans freak you out but think the Democrats are wimps? Just look at how they play it up as the “cool” alternative to traditional conservatism. With such a bleak economic forecast for the Millennials, it shouldn’t surprise anyone that our elites want to make “libertarianism” shorthand for “political disaffection.” Right off the bat, we’re told that 79% of Millennials don’t consider themselves politically-engaged at all so, uh, keep that in mind. Then we hear that the poll proves kids don’t care about climate change. But libertarianism? Genius. Hayek: against social justice, for a minimum income. Until recently, I had only read the first two books of Hayek’s grand trilogy Law, Legislation and Liberty. People told me that the third book was the least interesting. The real action, they said, was in the first two books. I decided to see for myself whether they were right. After finishing the book, I admit that much of the analysis is straightforward public choice theory that others had already carried to a higher level of sophistication.

Further, the conceptions of law, spontaneous order and the critique of social justice are best articulated in the first two books. Let’s consider the relevant passages: So Hayek is for a minimum income. It is unfortunate that the endeavor to secure a uniform minimum for all who cannot provide for themselves has become connected with the wholly different aims of securing a ‘just’ distribution of incomes (55). What? I think Hayek’s critique of social justice does not apply to the evaluation of the rules that govern a society’s basic structure. Mais où est donc passé le libéralisme ? Est-ce un effet de la crise économique - et d'identité - que traverse l'Europe?? En tout cas, le thème du libéralisme - ultra, hyper, néo, classique... -, accusé d'être à la source de tous les maux de la France, n'est plus un sujet de polémique.

La preuve, nul n'en parle dans la campagne présidentielle. « Nicolas Sarkozy a prouvé qu'il n'était pas libéral, et François Hollande, Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen sont antilibéraux avec virulence. Ils sont tous étatistes », soupire Mathieu Laine. A la tête de la société de conseil Altermind, ce jeune professeur à Sciences-Po publie cette semaine un Dictionnaire du libéralisme aux éditions Larousse. Fruit de quatre ans de travail et de la collaboration de soixante-cinq spécialistes de tous horizons, la parution de cet ouvrage de plus de 600 pages semble décalée dans la conjoncture politique. « J'ai voulu montrer que le libéralisme n'est pas la caricature que se plaisent à en faire ses détracteurs », se justifie-t-il.

Interpellations pour usage de stupéfiants : c’est stupéfiant ! La magie des courbes c’est de nous démontrer avec vigueur, et en couleur, que le travail de la police, par exemple, peut être très orienté. Les données qui vont suivre sont issues de (Données sur le nombre d’interpellations pour usage de stupéfiants de 1990 à 2008). Alors, pour commencer, regardons la progression des interpellations pour usage de cannabis : C’est une belle courbe, on sent que ça bosse dur à la brigade des stups, ou bien que le nombre de fumeurs de pétards a explosé. Ou les deux. Fort bien. 17 736 interpellations en 1990, 133 160 en 2008, bel effort messieurs ! Observons maintenant les interpellations pour usage d’héroïne, sur la même période, comparées à celles du cannabis. Houla, mais qu’est-ce qu’il se passe ? 6522 interpellés en 1990 et à peine plus en 2008, avec des années à 3000… Bon, admettons que l’héroïne n’est plus à la mode, ça s’entend.

D’ailleurs, les interpellations pour drogues autres que le cannabis donnent ceci : Oui, les libéraux avaient vu venir la crise et la récession à venir. Avec ce titre provocateur, Contrepoints vous propose de découvrir un article de Jeffrey A. Tucker, économiste de l’école autrichienne. Initialement publié par le site du Mises Institute en août 2011, il a été traduit par nos amis de l’Institut Coppet (Jacques Peter). Titre original: The Austrians Were Right, Yet Again. Il rappelle, citations à l’appui, que les économistes autrichiens sont les seuls à analyser correctement la situation actuelle.

Quantitative Easing (Mises Institute) Après plus de trois ans de tergiversations, un consensus a finalement émergé : nous sommes de nouveau en récession. Il y a une réelle croissance, et il y a des statistiques gouvernementales. QE1 et QE2 (Quantitative Easing 1 et 2), plus des efforts énormes de relance étatique, plus des océans de monnaie fictive créée par Ben Bernanke, plus des taux d’intérêt au niveau de la mer, n’ont causé que des dommages. Étonné ? Voici une nouvelle opportunité pour le dire. Llewellyn H. Sur le web. La définition de la Liberté selon Ron Paul. En collaboration avec l’Institut Coppet, nous vous proposons à la lecture l’introduction de Liberty Defined (2011), récent livre du libertarien Ron Paul, candidat à l’investiture du Parti républicain pour l’élection présidentielle américaine de 2012.

Traduction de Jacques Peter pour l’Institut Coppet L’histoire et les idées politiques dominantes de l’Amérique s’identifient à la liberté. La Déclaration d’Indépendance affirme que la vie, la liberté et la recherche du bonheur sont des droits inaliénables, mais je pense que la vie et la recherche du bonheur dépendent également de la liberté, socle fondamental de notre pays. Nous employons le mot presque comme un cliché. La liberté signifie exercer les droits humains de n’importe quelle manière aussi longtemps que cela n’interfère pas avec l’exercice des droits des autres. La définition de la liberté que j’utilise est la même que celle admise par Thomas Jefferson et sa génération. Les coûts de ce léviathan sont évidemment incommensurables. La propriété intellectuelle – une synthèse. Que penser de la propriété intellectuelle, ce sujet de débat récurrent ?

Le Minarchiste nous propose, depuis Montréal, une vue d’ensemble de la question. Propriété intellectuelle (Clément Monjou) Les lois sur la propriété intellectuelle, protégées par les gouvernements, sont une façon très répandue de limiter la concurrence au profit de certaines entreprises. Les droits de propriété intellectuelle, tels que les brevets, marques déposées et droits d’auteurs, sont en fait des monopoles décrétés par l’État. La propriété intellectuelle est utilisée par les entreprises pour bénéficier d’un « monopole légal ». On ne peut attribuer un droit de propriété à une idée. Supposons que j’écrive un poème publié dans un journal, que vous le lisez et le mémorisez.

Les idées ne sont pas une ressource limitée; c’est-à-dire qu’en mémorisant ce poème, vous ne m’enlevez absolument rien. Évidemment, l’absence de propriété intellectuelle ne permettrait pas de copier le travail des autres. Le libéralisme est fondamentalement moral. Le libéralisme récompense naturellement les bons et sanctionne les mauvais grâce à la concurrence et à la responsabilité personnelle. Le libéralisme est moral, optimiste et créateur. Par Patrick de CasanoveArticle publié en collaboration avec l’Insttut Coppet. Communication au 3e week-end de la liberté à Dax (voir les vidéos ici). Pour nos contemporains, « moral » et « libéral » sont antinomiques et incompatibles.

Pourtant il n’existe pas de morale sans liberté. La morale de la contrainte n’existe pas ou c’est une perversion. Mais la liberté est exigeante : chacun est libre de faire ce qu’il veut avec ce qu’il a, tout en respectant tous les Droits Naturels d’autrui. Nécessité de la morale L’Homme est un être social qui vit naturellement en groupe. La morale s’applique à tous les Hommes dans leur diversité. « Il n’y a rien de plus injuste que de traiter également des choses inégales. » (Aristote) Les hommes sont inégaux, physiquement et intellectuellement, tous ont des talents différents. Bilan de 10 ans de décriminalisation des drogues au Portugal.

Le cas de la décriminalisation des drogues au Portugal souligne l’argument pragmatique en faveur de la décriminalisation. Par Alex Korbel. Il y a dix ans ce mois-ci, le Portugal rejetait l’approche classique de la politique de lutte contre la drogue (plus de lois, des peines de prison plus rigides, plus de mobilisation policière) et allait dans le sens opposé en dépénalisant les drogues, même la cocaïne et l’héroïne.

Ceux qui font de la guerre contre la drogue une priorité prédisaient des conséquences catastrophiques à cette réforme, dont une crise majeure de la santé publique dans le pays. Dix ans après, toujours pas de catastrophe en vue. Comme l’a montré Glenn Greenwald dans un rapport de l’Institut Cato publié en 2009 (en vidéo ici), le Portugal se porte bien et à bien des égards il se porte mieux que d’autres pays de l’Union Européenne qui ont suivi la ligne dure de la pénalisation de l’usage de drogues. Baisse de la consommation de drogue.

Pourquoi les intellectuels n’aiment pas le libéralisme. Le rejet des intellectuels pour le libéralisme a questionné nombre d’auteurs, de Schumpeter (Capitalisme, socialisme et démocratie) à Hayek (Les intellectuels et le socialisme) en passant par Raymond Boudon (Pourquoi les intellectuels n’aiment pas le libéralisme). Dans une conférence donnée à l’Institut Turgot en 2004, Raymond Boudon développe les grandes lignes de sa thèse. En voici le compte-rendu. La question de savoir Pourquoi les intellectuels n’aiment pas le libéralisme (Paris, Odile Jacob, 2004) à laquelle j’ai essayé de répondre dans mon petit livre est difficile pour une première raison : parce que la notion d’intellectuel recouvre des catégories hétéroclites. Elle peut désigner les intellectuels à la Zola, les intellectuels qui se voient comme les porte-parole de la conscience universelle ; mais elle désigne aussi la catégorie socioprofessionnelle de ceux qui ont pour fonction de produire des idées, dans le domaine notamment de l’humain, du social et du politique.

Les fondements du libéralisme. En ces temps de crise où il de bon ton de critiquer à tout va l’« ultralibéralisme », le « néolibéralisme » et tout ce qui caractérise une certaine forme de libéralisme économique en omettant de préciser que tout un autre pan du libéralisme (philosophique et politique) a été progressivement passé à la trappe au cours du XXème siècle, il me semble nécessaire de réaffirmer les principes fondateurs du « vrai » Libéralisme : les libertés individuelles bien sûr, mais aussi leurs indispensables corollaires : l’égalité, la responsabilité, la non-nuisance.

Les libertés individuelles Le Libéralisme, ne l’oublions pas, est une philosophie issue du courant Humaniste des Lumières. La conviction de ces derniers ? En très bref, que l’Homme a des droits fondamentaux, et que plus il est libre, mieux la société se porte. Par exemple, la liberté d’expression, de circulation, d’entreprise, et de propriété privée sont directement issues de cette philosophie. La non-nuisance Pas de liberté sans interdépendance. Alain Madelin:Quand les autruches relèveront la tête - Chapitre 1 - Librairal.

Vous venez d'évoquer la crise que connaît la France. C'est une crise du système, mais n'est-ce pas aussi une crise de l'Etat ? C'est tout un système de pouvoirs et de décision qui est aujourd'hui usé. Il connaît une crise qui est à la fois une crise financière, une crise d'efficacité et une crise morale. Crise morale d'abord, parce que ce système, censé représenter l'intérêt général, donne de plus en plus le sentiment de dissimuler une forêt d'intérêts particuliers. Un système où les porteurs de pancarte et les pilleurs de sous-préfecture pèsent plus que les chômeurs ! Un système où ceux qui hantent les antichambres ou font les couloirs des Assemblées ont plus d'influence que les vrais entrepreneurs !

Crise d'efficacité, quand l'autorité de l'Etat semble ne plus s'exercer sur tous les points du territoire et que la pauvreté s'étend, alors que l'on n'a jamais tant dépensé et tant prélevé pour le social. Il est donc temps d'engager les réformes ? C'est affaire de volonté. C'est vrai. Non. Molinari, La liberté de l’enseignement (1856) Que serait-il arrivé si le gouvernement et les communes s’étaient abstenus de créer ou de subventionner des établissements d’éducation, si la liberté d’enseignement qui se trouve inscrite dans notre Constitution avait été une vérité ?

Par Gustave de Molinari (1819-1912), économiste belgeTexte publié en collaboration avec l’Institut Coppet La liberté de l’enseignement (20 février 1856) I. Ce que produirait le système de non intervention des pouvoirs publics dans l’enseignement Considérons le besoin auquel pourvoit l’enseignement et nous nous assurerons qu’à part les premières nécessités de la vie, il n’en est point de plus général et de plus intense. Quel est, au moins dans les classes que la misère n’a point abruties, le père de famille qui ne soit disposé à faire les plus grands sacrifices pour donner à ses enfants le bienfait d’une bonne éducation ? Malheureusement, dans notre pays essentiellement libéral on n’a aucune confiance en la liberté.

II. Mais alors, qu’a-t-on voulu ? Libéralisme et droit naturel. Comme le rappelait Francisco Vergara dans son magnifique ouvrage, Les Fondements philosophiques du libéralisme, le libéralisme moderne est issu de deux traditions philosophiques, la théorie du droit naturel ou jusnaturalisme et l’utilitarisme. Le libéralisme contemporain a été tellement influencé par l’oeuvre de Richard Nozick et par l’austroliberalisme de von Mises, Hayek et Menger, relayés aux États-Unis par Milton Friedman, qu’on en oublie souvent, y compris chez les plus sincères zélateurs du libéralisme français, que l’utilitarisme, à travers ses devanciers comme David Hume et Adam Smith, puis son fondateur véritable, John Stuart Mill, et enfin ses représentants récents comme John Harsanyi ou Gary Becker, n’a rien à envier en profondeur argumentative au jusnaturalisme. Suspicion à l’égard de l’utilitarisme La deuxième est d’ordre historique : comme les utilitaristes sont des pragmatiques, ils n’ont aucune prévention de principe envers l’État.

Le jusnaturalisme en questions —-Notes. Conservateurs et libertariens : des cousins difficiles. La France expulse un journaliste de la télé publique iranienne. «Être libéral », réponse à Luc Perrin. Le culte des exportations. Les libertariens sont-ils des hippies de droite ? Les racines de notre libéralisme : Hayek, mais sùrement pas Kelsen... Ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas - par Frédéric Bastiat. Madoff, échec de la règlementation.

Evil And The State | zero hedge. | Nouvelles servitudes, nouvelle liberté. Complex dynamics of our economic life on different scales: insights from search engine query data — Philosophical Transactions A. Etat-providence et immigration : la solution libérale. Le libéralisme est un anticapitalisme. Quand on aime la liberté, on n’aime pas la centralisation. Le véritable libéralisme. Savez-vous vraiment ce qu’est le libéralisme. Le triste état du libéralisme Français. L'école de Chicago et l'école Autrichienne, des divergences fondamentales. École autrichienne d'économie. Plaidoyer pour une vraie liberté d'expression en France. Le libéralisme face à la social-bourgeoisie : L'Hérétique (Démoc. Mais non, le libéralisme, ce n'est pas le Diable. Libéralisme : débat sur les fantasmes français.

Libéralisme. Le libéralisme, une philosophie sociale - Arnault Skornicki, article Philosophie. Un énarque en terre "ultra-libérale" Faut-il privatiser ou nationaliser ?