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L'impasse de la crise

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La crise financière européenne expliquée à Paulo. Exercice difficile : vulgariser une tempête financière profonde. Mieux… Faire de la prospective pour expliquer la suite de cette crise. Ses implications et son évolution. Paulo est loin d’être con. D’ailleurs, il a pour lui le bon sens près de chez vous qui fait tant défaut aux politiques qui le gouvernent. Petit souci toutefois, Paulo n’a jamais fait d’économie et en plus, rien que pour l’emmerder, les gens qui trempent dans ce secteur, les financiers et les politiques, ont mis en place un jargon que Paulo ne comprends pas.

Mon cher Paulo, je vais te résumer en 2000 signes l’origine de la « crise de l’euro » dont tu suis l’évolution dans les pages éco du Parisien. Les ménages s’endettent terriblement. Et voilà mon Paulo. Faillite, planche à billets et guerre civile Restons dans le registre de la vulgarisation. . - Et la Banque centrale européenne, elle ne pourrait pas le faire ? Et bien non, mon cher Paulo, elle ne peut pas. . - Mais alors, que faire ? Or à quoi assiste-t-on ? - A l’inverse ? Dette souveraine, le retour du retour, épisode 20 344. L’actualité dans les pays du Maghreb a détourné un temps les yeux de la presse de la situation catastrophique de la zone euro, mais aussi, plus largement, de la planète. La crise de la dette souveraine n’est pas close en Europe et il n’est pas idiot de penser qu’elle va s’étendre aux Etats-Unis dans un avenir proche. Ajoutons à cela que les deux continents sont en train de suivre de voies diamétralement opposées, ce qui ne devrait pas ajouter de la stabilité à l’ensemble.

Les Etats-Unis font marcher la planche à billets à tout va tandis que les pays européens s’enfoncent dans une politique d’austérité drastique. Il faut être occidental pour être ainsi hermétique au bon sens de Lao Tseu qui prône la recherche du « juste milieu » en tout. En Europe, la tension reste vive. Et ce en dépit des efforts désespérés des autorités variées pour ralentir le rythme effréné de la locomotive qui va… Dans le mur. Et bien non, ils ne le sont pas.

En France, les banques annoncent leurs résultats. Crise de la dette: l’Europe en panne de solutions » Article » OWNI, Digital Journalism. Xavier Malakine nous propose un tour d'horizon des solutions possibles pour se sortir de l'inextricable piège de la crise de la dette. On ne fait que d’essayer de gagner un peu de temps pour repousser le problème à plus tard en espérant que le cataclysme prévisible ne se produise pas.

Mais que se passera t-il après 2013 lorsque les dettes des États seront considérées comme officiellement à risque ? Les États en difficultés pourront-ils même encore se financer sur les marchés ? Nul ne le sait. Les dirigeants européens ont-ils conscience de la gravité de la situation ? La vérité est que personne n’a à ce jour de solution et qu’en réalité, il n’y a pas de bonnes solutions. De l’austérité naîtra de nouvelles crises financières La première solution qui a été mise en œuvre en accompagnement des plans dit de « sauvetage » a été d’imposer aux populations concernées un drastique plan d’austérité.

Les plans de rigueur ne visent pas seulement en effet à réduire le déficit public.

L'arnaque de la dette

Surrendement généralisé. Plus loin dans Ponzi. Les Banques centrales au coeur de la crise. Les déséquilibres de l'euro. Banksters. Agences de notation. Panique au FMI. Austérité budgétaire. La faillite des théories néo-classiques. Guerre monétaire. Crise de la dette publique grecque de 2010 et ses conséquences. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette crise marque de façon plus globale le début de la crise de la dette dans la zone euro. Pour éviter que la crise n'atteigne le Portugal et l'Espagne, les pays de la zone euro et le FMI décident d'aider la Grèce et arrivent le 2 mai 2010 à un accord portant sur des prêts d'un montant de 550 milliards d'euros, conditionnés[5] à la mise en place par la Grèce d'un ajustement structurel. Par ailleurs, la crise grecque pousse les pays à réformer les structures de la zone euro. Depuis mai 2011, la Grèce a dû à nouveau faire appel aux pays européens et au FMI.

Causes économiques de la crise[modifier | modifier le code] Les dépenses olympiques[modifier | modifier le code] Dès 2004, des analystes grecs s'inquiétaient du coût et des emprunts causés par l'organisation des jeux olympiques à Athènes. Le total des dépenses publiques engendrées par les jeux olympiques s'élèvent officiellement à 11 milliards de dollars[10]. Reuters - Euro zone debt crisis in graphics. The Modern State Under Attack. Western Democracies Feel the Strain The revolutions in the Middle East are politically Darwinian. The authoritarian post-colonial state, so well suited to life in the twentieth century, finds itself maladapted to life in the twenty-first, when satellite television has pierced the information vacuum, removing the tyrant’s ability to define political realty, and the Internet has allowed for effective mobilization of shared grievances that are often only noticed when people are already in the streets and the perception of political stability and government legitimacy has been shattered.

Yet the downfall of the authoritarian post-colonial state is less surprising than existential threat now felt by Western democracies. Pushed from above by corporations and from below by an ever-expanding pluralism, Western democracies – those pinnacles of human progress – are under tremendous stress. It’s the Economics, Stupid The first source of existential stress is obvious: economics.

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