background preloader

Industrie Musicale

Facebook Twitter

News Music/Internet.

Histoire de l'industrie musicale

Actualité de l Observatoire de Musique. Perspectives. Autoprod. Streaming. Usages & Stats. Offres legales. Streaming vs Piratage. Vote: Is Streaming The Future Of Music? I think Doctorow isn't anticipating the evolution of "streaming" in his conclusions. Of course access is spotty now, and delivery of streams can be unreliable - I get buffering issues sometimes using YouTube on my home PC, even when connected via ethernet. So if you look at how it works today, then yeah, streaming is a different product and a different experience than downloading. In some ways, downloading is superior. But let's say the delivery issues get resolved, and streams can be reliably delivered in most places wirelessly (they can put wireless repeaters in coal mines, Cory).

And let's say the streaming product has a "download" feel to it: the music starts instantaneously, no buffering. One huge benefit of this vs. downloading is that the user (if we're talking about a legitimate, purchased download) doesn't actually have a copy, just a link - so there is no (or perhaps a much smaller) mechanical fee for the delivered stream. État des lieux de l'offre de musique numérique.

Modeles macros

Music Marketing. Crise du disque. Fausse crise ? Acteurs du marche. Méta-données de la musique : c'est le foutoir. Le business de la musique en ligne est un panier percé. Un gruyère avec bien plus de trous que de fromage. C'est tellement le foutoir qu'une part conséquente des revenus qu'il génère n'est même pas répartie, faute de pouvoir identifier les bons ayant droit en bout de chaîne. En cause : la pauvreté des méta-données. Le site américain Digital Music News révélait il y a peu que l'organisme de gestion collective américain SoundExchange, en charge de la perception et de la répartition des revenus du streaming non interactif aux États-Unis (webradios et services de radio personnalisée de type Yahoo ou Pandora), était assis fin 2009 sur un trésor de guerre de 200 millions de dollars.

Des royautés non répartissables, faute de pouvoir en identifier précisément les ayant droit légitimes, et qui dorment sur des comptes en banque. Le montant de ces « irrépartissables » était de 96,7 millions de dollars fin 2006, de 192,7 millions fin 2007, et de 260 millions mi-2008, indique Digital Music News.