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Gratuit vs. Payant ?

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Les “paywalls” du New-York Times et du WallStreet Journal, de vraies passoires ? The New-York Times et le WSJ (WallStreet Journal), deux des sites symboles de l'information payante (le premier a récemment passé une partie de son contenu en payant, le second est souvent cité comme l'un des exemples des "paywalls" qui marchent), viennent de subir un coup dur. Une extension du navigateur Google Chrome, et une simple petite "manip'" viennent en effet d'être diffusés, et permettent de faire tomber les barrières. Les deux journaux devraient j'imagine bientôt y remédier et corriger le tir... mais le mal est fait. Sur Internet, une solution technique sera toujours trouvées pour déjouer une restriction d'accès... L'extension "anti-Murdoch". Le magnat des médias Rupert Murdoch, propriétaire notamment du WSJ, a inspiré une extension Google Chrome (un petit plugin permettant d'ajouter une fonctionnalité au navigateur). En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, installez Read WSJ Extension et accédez à tout le contenu du journal économique.

Mythe et danger de l'information gratuite - novövision. News Corp is foolish to block linking | Media | The Guar. Linking is more than merely a function and feature of the internet. Linking is a right. The link enables fair comment. It powers the link economy that will sustain media. It is a tool for accountability. But News Corporation has made good on its threat to fight the link, preventing the UK aggregator NewsNow from linking to several of its newspaper sites.

It's true that internet protocols make it easy to block crawlers from search engines or aggregators; one simply adds a line to the robots.txt file on the web server. But NewsNow has fought back, launching a campaign in support of the link at right2link.org. Right. We in the media tend to view the internet in our own image. I fear that what is really in danger here is the doctrine of openness on which ­journalism and an informed society depend. I understand that people caught on Streetview might not want us to see them strolling into a drug den or brothel. By trying to cut off links, News Corp is also endangering journalism. Le « New York Times » veut faire payer pour voir. Joffrin et le web payant : « On revient en arrière, on s’est tro.

VIDEO. C’est LA faute originelle que se reprochent tout bas la plupart des grands patrons de journaux français : avoir mis leurs articles en ligne gratos sur leur site internet. Depuis que Murdoch a décidé de repasser au payant (enfin, peut-être), tous tentent une acrobatique marche arrière… sans doute un peu tard. Aux Assises du journalisme, Laurent Joffrin, directeur de publication de Libération, a admis la boulette… « Nous n’avons pas été aidés par les sachants« , plaide Laurent Joffrin. Tiens, c’est drôle ça, entre « le pain gratuit et le pain payant » (pour reprendre sa métaphore), les lecteurs préfèrent le pain gratuit ?

Et la pub rapporte moins sur le web ! Hum, nous aurait-on menti? Le site de Libé est donc devenu en grande partie payant courant septembre. Mais les lecteurs vont-ils suivre? Une balle dans le pied. (le titre du billet a été légèrement modifié, car en effet la phrase exacte de Joffrin était : « Nous nous sommes trompés ». Ajout : Le pari de Murdoch : le Times devient payant et bloque Google | Capture d’écran du site Internet TheTimes.co.uk. Quel est le média qui prend délibérément le risque de perdre d’un seul coup 90% de ses lecteurs ? Réponse : le Times de Londres, un titre vieux de 225 ans, et qui, sous l’impulsion de son propriétaire Rupert Murdoch, devient entièrement payant et se retire du référencement sur le moteur de recherche Google. Un pari audacieux, observé à la loupe par tous les médias du monde.

D’ores et déjà, une nouvelle plateforme Internet a été lancée pour le Times et son édition dominicale, le Sunday Times, avec une nouvelle URL (adresse Web) : www.thetimes.co.uk, sur laquelle le lecteur est invité à découvrir le nouvel univers du Times de demain. Pour l’instant gratuitement, mais à la condition de remplir un formulaire très complet, avec son identité et son e-mail. 90% de perte de lectorat ?

Personne avant Murdoch n’avait osé franchir ce pas dans un média aussi important, et les avis sont partagés : est-ce suicidaire ou visionnaire ? La Vanguardia résiste à la crise et ne croit pas au payant sur l. Presse en ligne : les têtes passent au payant | Owni.fr. Après une phase de gratuité, des sites d'information tentent de faire marche arrière. Si le mouvement est massif, il pourrait pousser les lecteurs à revenir sur leurs habitudes de consommation.

Trois petits cailloux sur le chemin du modèle économique de la presse en ligne. Jeudi dernier, dans un entretien au Point, c’est Marie-Odile Amaury, patronne du groupe du même nom et donc du Parisien, d’Aujourd’hui, de L’Équipe, de France Football, etc. : « Comment prendre le virage numérique ? Le potentiel existe, puisque les marques de presse sont les plus consultées après les moteurs de recherche. Aux États-Unis, Murdoch a amorcé le tournant vers le Web payant. (Rire) Je n’ai pas les épaules d’un Murdoch ni sa surface financière. » Puis c’est Benoît Raphaël, rédacteur en chef du site Le Post (groupe Le Monde avec une participation minoritaire de Lagardère) qui, annonçant son départ, écrit : « Avant tout, j’ai envie de contribuer à trouver des solutions pour monétiser le journalisme digital.

Médias & Publicité : Zone payante du figaro.fr : «Il. INTERVIEW - Francis Morel, le directeur général du groupe Le Figaro, explique sa stratégie de développement dans le papier comme ses ambitions dans le numérique. Le FIGARO. - Comment la crise a-t-elle affecté en 2009 le groupe de presse que vous dirigez ? Francis MOREL. - Comme tous nos confrères, nous avons connu un environnement profondément dégradé l'an dernier avec, d'une part, la poursuite de l'érosion de la diffusion des titres de presse et, d'autre part, un marché publicitaire lourdement atteint par la crise - 716 millions d'euros de chiffre d'affaires, soit un recul de 16 % par rapport à 2008, se sont évaporés de la presse en 2009.

Dans ce climat très tendu, Le Figaro s'est bien comporté. Hormis Les Echos, en légère hausse, Le ­Figaro est le seul quotidien qui a vu la baisse de sa diffusion limitée à -1,6 %, grâce à la relance réussie du Figaro nouveau le 21 septembre dernier. 92 % de nos abonnés ont d'ailleurs l'intention de se réabonner. Gratuit vs Payant : quel modèle pour la presse en ligne ? – Disc. Face à la crise de la presse traditionnelle, à la chute de revenus publicitaires et à la concurrence, la presse en ligne expérimente et se cherche plus que jamais. Décryptage des différents modèles économiques. Nul besoin de le répéter, la presse va mal depuis plusieurs années. Face à la concurrence du web et de la presse gratuite, la presse papier payante semble condamnée à rétrécir son offre : de nombreux titres se voient contraints de stopper leur parution, cherchant parfois une sortie de secours salvatrice du côté du web, comme on a pu le voir avec Elle Girl, PC Mag, Teck’Yo ou encore La Griffe.

Alors que la radio et la télé s’enrichissent sans arrêt de nouvelles stations et de nouvelles chaînes, la presse traditionnelle semble arriver à son déclin, après de nombreuses années qui auront vu s’opérer une véritable multiplication de l’offre. Les pure players ou la nécessité de l’équilibre financier Les sites de journaux et le pari du payant.

Le cas de Mediapart. Dans le cadre de son dossier « Gratuit vs. Payant : quel modèle économique pour la presse en ligne ? », Discordance a interviewé des professionnels de l’information online sur leur points de vue quant aux modèles économiques qui se profilent. Cette semaine, nous avons rencontré Sophie Dufau, rédactrice en chef adjointe de Mediapart et chargée de cours au centre universitaire d’enseignement du journalisme (CUEJ). A chaque fois que l’on parle de supports d’informations, on évoque la fameuse « crise de l’information » et ses composantes (crises financière, crise de confiance, etc.). Avez-vous pu ressentir concrètement ces phénomènes ? Nous venons pratiquement tous de la presse écrite – je viens de Libération, d’autres sont issus du Monde, de la Tribune, etc.

Dans le document « le projet Mediapart », vous évoquez l’objectif d’arriver au chiffre de 65 000 adhérents en mars 2011. Nous avons effectivement revu nos objectifs à la baisse. Pour l’instant, on « mange » du capital. Le cas du Monde.fr. Dans le cadre de son dossier « Gratuit vs. Payant : quel modèle économique pour la presse en ligne ? », Discordance a interviewé des professionnels de l’information en ligne sur leurs points de vue quant aux modèles économiques qui se profilent. Cette semaine, rencontre avec Joachim Mizigar, responsable de la communication au Monde Interactif, qui gère le site le Monde.fr. Le Monde a annoncé le 29 mars dernier que son site allait progressivement passer au tout-payant pour les articles du journal.

Pouvez-vous nous en dire plus sur le modèle choisi ? Le Monde.fr est un site qui existe depuis 1995. En avril 2002, on a opté pour un modèle mixte, c’est-à-dire le cumul d’une zone gratuite et d’une zone payante. Est-ce que la décision du Monde a été influencée par l’appel de Rupert Murdoch de 2009, qui veut mettre fin à la gratuité des sites d’information sur internet ?

Pas du tout, on ne fait que continuer sur la voie initiée en 2002, avec le lancement d’un modèle mixte. A propos de l'auteur. Le cas de Rue89. Dans le cadre de son dossier « Gratuit vs. Payant : quel modèle économique pour la presse en ligne ? », Discordance a interviewé des professionnels de l’information en ligne sur leurs points de vue quant aux modèles économiques qui se profilent. Cette semaine, rencontre avec Laurent Mauriac, directeur général de Rue89, et ancien journaliste de Libération, tout comme ses confrères Pierre Haski et Pascal Riché. Vous avez créé Rue89 en mai 2007, alors que se profilaient les difficultés liées à la crise de la publicité. À l’époque, il y avait une crise de la presse qui était là depuis plusieurs années, mais pas encore de crise économique. Quelles sont vos différentes sources de revenus justement ? Vous avez levé 1 million d’euros en juin 2008 en annonçant l’équilibre pour fin 2009, aujourd’hui vous levez 740 000 euros en annonçant l’équilibre pour 2011.

Juin 2008, c’était avant la crise. Est-ce une volonté pour vous de défendre le web gratuit ? Le payant me parait antinomique avec le web. Le cas de l’Express.fr – Dans le cadre de son dossier « Gratuit vs. Payant : quel modèle économique pour la presse en ligne ? », Discordance a interviewé des professionnels de l’information online sur leur points de vue quant aux modèles économiques qui se profilent.

Cette semaine, rencontre avec Eric Mettout, ancien journaliste pour Actuel, Ouï FM ou Nova, et rédacteur en chef de L'express.fr depuis 2000. 2009 a été une année difficile de plus pour la presse. Comme tout le monde dans le print et le web, nous avons dû faire face à une chute des revenus publicitaires. Quelle part prend le site dans votre modèle économique ? Il a été à l’équilibre juste avant la crise, en 2007. Comment votre modèle publicitaire peut-il être techniquement viable dans ce cas ?

Il y a une question à laquelle on ne peut pas répondre, à savoir combien de temps va durer la crise. Je pense en effet que les internautes sont prêts à payer pour avoir quelque chose en plus, mais ça ne sera pas de l’information. A propos de l'auteur. Vague payante dans la presse Internet en Europe - Communauté Méd.