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Flattr

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Numérama installe le pire : Flattr. Un logiciel privateur gérant la monnaie privatrice ! Numérama vient d’annoncer son « partenariat » avec Flattr, en installant ce système sur son site. On peut penser que l’idée d’installer un système permettant dons et contre-dons est en soi une bonne idée. Mais cela est non seulement insuffisant, quand on le fait via un logiciel privateur, mais quand il s’agit d’utiliser une monnaie privatrice c’est encore pire ! Quels sont les problèmes ? Tout d’abord les « inventeurs » de Flattr ne s’appliquent pas à eux mêmes ce qu’ils proposent aux autres. Ils n’espèrent pas se rémunérer eux mêmes par leur propre système de dons mais prennent 10% des sommes injectées dans le système !

Magnifique désaveu logique ! 10% c’est énorme ! Ensuite, le système étant privateur, il constitue un contrôle et une rente sur votre travail. Enfin, bien évidemment, Flattr n’est lui même pas autonome, puisqu’il dépend du centre d’émission de la monnaie qu’il vous propose de gérer selon son modèle. Www.creationmonetaire.info – Creative Common 3.0. Vive la France et Numerama! at Flattr Blog. We love independent bloggers and content creators more than anything in the whole wide world web, but it’s quite exciting when big sites integrate Flattr too (after all we figure it takes them longer to make such decisions). And you know how useful Flattr can be for comments or discussion after/about an article (as we have in our own forum), in order to really spread the love and money to where value truly lies. So tying both of these things together, we’re excited to jointly announce with our friends in France that Numerama.com has integrated Flattr — to the degree where users can get their own comments and contributions flattred too-!

Take a look here for an example, and below for some nice screen captures to see just how cool it all looks. =) Ooh-la-la! And here is the press release! Avec Flattr, Numerama vous propose de gagner et partager de l'argent. En avril 2010, l'ancien porte-parole de The Pirate Bay, Peter Sunde, avait présenté Flattr, dont le concept nous avait immédiatement séduit. L'idée de base était de permettre à ceux qui le souhaitent de remercier les auteurs des contenus qu'ils apprécient sur Internet, en leur faisant don d'une partie d'une "cagnotte", dont le montant est choisi librement par chaque utilisateur de Flattr.

Grâce à un bouton qui fait office de compteur, chaque membre de Flattr signale les contenus qu'il a apprécié au cours de sa navigation, et la somme qu'il a décidé d'injecter dans la communauté Flattr se répartit ensuite automatiquement entre les auteurs de chacun des différents contenus. Si l'utilisateur décide de faire don de 10 euros, et clique sur 10 contenus différents, chaque contenu aura reçu 1 euro (ou plutôt 90 centimes, puisque Flattr prend une commission de 10 % sur les versements effectués). (suite après la vidéo) C'est ici que les choses sérieuses commencent. WikiLeaks will fund itself via Flattr, Pirate Bay founder’s startup. WikiLeaks, the Sweden-based organisation that publishes anonymous leaks of secret material (most recently 90,000 documents about the War in Afghanistan) has until now, relied on donations to fund its activities. That’s lead to outages when funds became scarce, for whatever reason.

But today WikiLeaks is unleashing a potentially devastating strike against criitics which could see it become an almost unstoppable force in the world’s media. It’s joined Flattr. Flattr is another Sweden-based outfit with close links to The Pirate Bay as the the brainchild of a group of people formerly associated with The [infamous] Pirate Bay, including Peter Sunde. Flattr has a micropayments business model based on the idea of people tipping content they like, Digg or perhaps Facebook Like buttons – but this time with real money. Users can “Flattr” content by setting up a Flattr account which sets a a monthly fee — a minimum €2 — that they are willing to contribute for any kind of online content.

Pirate boss to make the web pay (BBC News) One of the founders of the Pirate Bay is kicking off a venture that aims to help websites generate cash. Called Flattr, the micropayments system revolves around members paying a fixed monthly fee. At the end of each month that cash will be divided among participating sites a Flattr member wants to reward. Members might want to reward a band that made a track they liked, the author of a story they enjoyed or a site that gave useful advice. Participating sites will sport a Flattr button in the same way that many have clickable icons that let visitors send information to friends or refer something they find interesting to sites such as Digg and Redditt. "The money you pay each month will be spread evenly among the buttons you click in a month," said Peter Sunde.

"We want to encourage people to share money as well as content," Mr Sunde told BBC News. The minimum Flattr wants people to pay each month is 2 euros (£1.73) but members can pay more if they want to. Flattr rémunération de la création libre, comment ça marche - Ph. Cet article a été publié il y a 3 ans 9 mois 1 jour, il est donc possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. Je viens de recevoir mon invitation pour la bêta de Flattr. Pour ceux qui ne connaitraient pas encore ce nouveau service, sachez qu’il s’agit d’une projet visant à simplifier la gestion des micro-dons dans le cadre de l’économie de la création libre. A ce sujet, je vous invite à vous reporter à l’article que j’avais écrit sur les solutions de rémunération des créations libres. Lorsque vous activez votre compte, la première opération consiste à l’alimenter avec des euros. Le versement se fait via le service Paypal. Je crédite donc mon compte de 8€, somme proposée par défaut et qui me donne en théorie quatre mois d’autonomie puisque je choisis de distribuer 2€ par mois.

Au passage chose étrange vous êtes dirigés sur la version danoise (enfin je crois) de PayPal. Quel contenu et comment le trouver ? Publier des créations En conclusion. Flattr, le "modèle" s'enlise... L’excellent Philippe Scoffoni nous gratifie d’un nouveau billet sur le démarrage de Flattr en version bêta. J’ai déjà fait un post sur ce sujet intéressant « Flattr un bon modèle mais à compléter« … Mais dès qu’il s’agit de pognon l’esprit décidément malade des hommes refait surface pour enfoncer le clou là où ça fait mal : dans l’incompréhension totale de la nature de la monnaie, dans l’ignorance du mécanisme monétaire et dans l’allégeance forcée à son centre d’émission.

Imaginons qu’une communauté « libre » potentiellement autonome décide d’utiliser un système comme Flattr tel qu’il est proposé. Dans cette communauté formée de blogueurs, de codeurs, de musiciens, on retrouve aussi des producteurs alimentaires, des bâtisseurs etc… et tous ensembles sont susceptible de pourvoir à l’ensemble des besoins de chacun… Wikimedia Common : « Vampire » Mais au bout de « n » dons consécutifs il reste dans le système 90%^n * X de monnaie, qui tend très rapidement vers zéro.

Peter Sunde about Flattr Social Micro Donations. Flattr.com. Flattr-ies et Kurbettes. Peter Sunde est un Suédois marrant : animateur à une période de The Pirate Bay et condamné à ce titre à un an de prison et une amende de 30 million de couronnes (il a fait appel), il vient de lancer un nouveau projet de partage sur Internet : flattr. Cette fois, on ne partage plus les contenus, mais... l’argent. L’histoire dit que ça faisait trois ans que lui et son équipe travaillaient sur la bête.

Et on nous avait rien dit. Le principe de flattr est de promouvoir sur le net une circulation volontaire de micro-paiements, avec des contraintes minimes permettant d’espérer qu’à terme ces dons iront valoriser le travail créatif. Un projet similaire à celui de la Société d’acceptation et de répartition des dons (SARD — ), dont on attend avec impatience la mise en place [1] Faut-il faire un dessin ? Quel qu’il soit, le travail créatif a parfois bien du mal à se trouver un « modèle économique » sur le net. Comment ça marche ? Du côté du flatteur (celui qui donne) : Is Flattr the new Facebook Like, but this time with real money? Flattr is a new startup with an inovative business model, coming out of Sweden. In fact it’s the brainchild of a group of people formerly associated with The [infamous] Pirate Bay, including Peter Sunde Kolmisoppi.

It’s highly ironic that Flattr has sprung from a similar group that refused to pay for content, like movies. But Flattr just might work because there are already signs that the micropayments startup is getting grass-roots traction – and it’s still only in closed beta. Flattr is reminiscent of Digg or perhaps Facebook Like buttons – but this time with real money. That could make things very interesting. According to one blogger he has had €875.89 for the month of June from Flattr and the amount has increased steadily upwards.

There are also lists appearing of people appearing who are starting to make actual money. So how does it work? Flattr’s system encourages participation, since in order to get money you also need to offer it as a button.