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Europe de l'Est

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Www.cepr.net/documents/publications/latvia-2011-12.pdf. Les Tchèques vent debout contre l'austérité. La République tchèque est le bon élève de l? Europe centrale. Sa dette (40% du PIB) est très faible. Son niveau de vie est le plus élevé des anciens pays du pacte de Varsovie, dépasse celui du Portugal et fait jeu égal avec la Grèce. Certes, la croissance économique n? Y est guère dynamique (+1,7% en 2011, stagnation attendue cette année), mais Prague apparaît comme un îlot de stabilité dans un continent en désarroi.

Pour preuve, la dette à dix ans tchèque est très courue. Depuis le début de l? Plan de rigueur Pour conserver ce statut privilégié, le premier ministre de centre-droit, Petr Necas, a lancé un vigoureux plan de rigueur destiné à réduire le déficit budgétaire de 4% du PIB à 3% du PIB en 2013. Poussée des extrêmes Selon les sondages, l? Budget voté la semaine prochaine Petr Necas devrait néanmoins proposer la semaine prochaine son projet de budget. Slovénie : les banques publiques sont au bord de la faillite. La Nova Ljubljanska Banka (NLB) et la Nova Kreditna Banka Maribor (NKBM), majoritairement détenues par l’État, sont étouffées par leurs créances douteuses. Le gouvernement va dégager une enveloppe de quatre milliards d’euros pour tenter de faire face à leurs créances douteuses, et voudrait essayer de céder une partie du capital.

La Slovénie danse toujours au bord de l’abîme. Le ministre des Finances, Janez Šušteršič, a apporté des précisions au sujet du projet de loi portant sur les créances douteuses des banques. Il a confirmé que la somme garantie par l’État pour combler le manque à gagner lié à ces créances des banques slovènes sera transférée à une nouvelle entité. Cette somme restera contenue dans une enveloppe de quatre milliards d’euros.

Le ministre a confirmé que la somme maximale de quatre milliards d’euros alloués à l’entité serait examinée par la Cour des comptes. Il a refusé de spéculer sur le coût total de l’opération pour les contribuables. Crise politique en Roumanie : la monnaie s'effondre, la dette explose. Les arriérés de paiement sur les crédits contractés par la population et les entreprises ont enregistré une augmentation significative en juillet. En cause : la crise politique qui a fait chuter le leu par rapport à l’euro. Par Adina Vlad La valeur des arriérés des paiements a atteint plus de 5,86 milliards d’euros, soit une hausse de 4 % par rapport au mois de juin, et de 18,75 % par rapport au début de l’année.

Retrouvez notre dossier :Crise politique en Roumanie : le Président Băsescu sauve sa tête Le total des arriérés de paiement sur les crédits acquittés en lei s’annonce moins important, mais tout aussi significatif : 10,54 milliards de lei, (2,3 milliards d’euros), soit une hausse de 3,5 % par rapport à juin et de 13,4 % par rapport aux six derniers mois. Les personnes qui ont effectué leurs crédits en devises étrangères (euro, dollar ou franc suisse) ont été les plus affectées par la crise politique qui a conduit à la dépréciation du leu. Mon petit pays ne connaît pas la crise. Rigueur budgétaire, plans de restructuration en pagaille, progression inquiétante du chômage, déficit commercial impressionnant... l'économie française, ce n'est pas un scoop, n'est pas au mieux de sa forme.

Pas plus, du reste, que la zone euro, où trois grands instituts de prévision économique viennent encore de nous prévoir une (dé)croissance en berne. On en oublierait presque que certains pays ne se portent pas si mal. Pas uniquement la Chine, l’Inde, le Brésil, ces nouveaux pays riches, mais des pays occidentaux dans le monde déjà développés: croissance régulière, chômage réduit, déficits commerciaux et publics maîtrisés voire excédents. Dans ces pays, les principaux indicateurs sont au vert ou du moins laissent des marges de manœuvre en cas de choc conjoncturel. publicité L'Australie Uluru (Ayers Rock) en 2004. L'Australie se remet des inondations de l'an dernier qui ont paralysé toute une partie de son économie. La dette publique (brute) est du reste peu importante (28% du PIB).

Estonia anxious over eurozone financial woes. Smoke On The East European Horizon? "The market is pricing these sovereigns at much wider levels than where their agency ratings would imply," said Diana Allmendinger, a director at Fitch Solutions.CDS on Italy imply a rating of BBB, five notches below its agency rating of AA-minus. And Spain's implied rating is BB-plus, nine notches below its agency rating of AA-plus. With so much emphasis being placed on what has been happening farther to the South, economic realities on Europe's Eastern periphery have largely been escaping the close scrutiny of media and analyst attention. In the wake of the belated recognition of the region's vulnerability which followed the bout of acute stress experienced during the post-Lehman crisis, a new consensus has now emerged (for an in-depth study of the Latvian example see this piece) that the IMF-guided programmes put in place at the time have essentially set things, if not entirely straight then at least on the right track.

Europe's leaders are playing with fire if they follow the Latvian example | Mark Weisbrot. In recent months some advocates of Europe's austerity policies have been touting Latvia as a success story that shows how "internal devaluation" can work. This was the theme of a book published earlier this year by the Peterson Institute for International Economics, one of Washington's most influential think tanks. The book was co-authored by the Institute's Anders Aslund and Latvia's prime minister Valdis Dombrovskis.

The case study is relevant to Europe because there are important similarities between Latvia's economic strategy since 2008 and that which is now being promoted by the European authorities – the European Commission, the European Central Bank, and the International Monetary Fund (IMF), otherwise known as "the troika". At first glance it might seem ridiculous to call an economic strategy a success if a country loses 24% of its output – the worst in the world for the crash of 2008-2009 – and official unemployment shoots up from 5.3% in 2007 to more than 20% in early 2010. The Cabinet of Ministers fo the Republic of Latvia: Saeima has adopted amendments to the 2011 state budget and accompanying laws. On Thursday, April 14 Saeima adopted in the last reading amendments to the law on the 2011 state budget envisaging revenue in amount of 4.261 billion lats which is by 107 lats more and expenditure in amount of 4.755 billion which is by 27 million lats more than in the approved budget.

With amendments the state budget deficit (according to national cash-flow methodology) will be reduced down to 493.6 million lats or 3.7% of GDP. The Minister of Finance Andris Vilks says:“These budget amendments are very important to improve fiscal situation in Latvia and to increase Latvia’s reputation in the world. Having adopted these amendments the Parliament proved that Latvia is predictable and favourable for investments, it is a country which goes consistently along the chosen way ensuring budget stability and economic growth recovery.” Information prepared by:Baiba MelnaceHead of Communication Division Phone 67083850; 29265135baiba.melnace@fm.gov.lv. Le "modèle Letton", un exemple à suivre pour la Grèce? A l’heure où les chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union européenne sont au chevet de la Grèce, la Lettonie, en état de quasi faillite il y a deux ans, semble tirée d'affaire. La stratégie d’assainissement des dépenses publiques a porté ses fruits.

Mais les Lettons en payent le prix fort. La Grèce réussira-t-elle à se relever de la crise qu’elle traverse grâce à l’adoption d’un nouveau plan de rigueur et d’une nouvelle aide de l’Union européenne ? C'est possible, répond le Premier ministre Letton, Vladis Dombovskis, si Athènes suit l'exemple de son pays qui a connu un spectaculaire redressement économique de son pays après avoir frôlé la faillite . Reprise en 2 ans Après avoir enregistré une baisse de 18 % de son PIB en 2009, la récession la plus forte du continent, le pays affiche aujourd’hui des résultats qui ont de quoi faire pâlir d’envie Athènes, Dublin ou Lisbonne. En 2011, la croissance devrait atteindre 3,3%, selon la Banque centrale de Lettonie. Sauvé de justesse Objectif euro.