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Eva Joly veut supprimer les grandes écoles. L’esprit d’entreprendre chez les étudiants. Par Jean Philippe Martinez, lundi 14 septembre 2009 à 02:52 | Généralité | #814 | rss OpinionWay a réalisé une enquête auprès d'étudiants, d'Universités, des Grandes Ecoles et des IUT avec un double objectif : Evaluer la pénétration, l’image et l’impact du concours « Innovons ensemble » organisé par le réseau RETIS dont nous avons ici indiqué les objectifs: lire Le concours « Innovons ensemble »Appréhender la perception des PME, de l’innovation, et la volonté entrepreneuriale des interviewés.

L’esprit d’entreprendre chez les étudiants

Pour sa première édition le programme « Innovons ensemble » est une réussite puisque 330 000 étudiants ont été touchés par celui-ci et l’ont perçu comme positif avec une note moyenne de 6.15/10. Les PME ont une image positive, elles se révèlent attractives pour les étudiants. Can Business Schools Teach Entrepreneurship? Carter Dunn and Mahesh Konduru4/9/09 When the Dow is sitting at half its 52-week high, the U.S. economy is shedding about a half million jobs a month, and the financial institutions of entire countries are collapsing, it’s as good a time as any to do some hard thinking about your professional future.

Can Business Schools Teach Entrepreneurship?

At business schools these days, more and more students are trying to figure out whether this is the best time to start a business. With entrepreneurship as the flagship program at the MIT Sloan School of Management, the chatter here on this topic is loud. Since we started in the fall, every professor, keynote speaker, and panelist has said that this is a great time to be an entrepreneur. The reasoning goes that The Party is over, most of the money is gone, and the only people left are the Serious People. “Go for it” The best way to figure out if this is a good time to be an entrepreneur would be to start a company.

So what did we find out? We also found that not everything is perfect. Les mots universités et grandes écoles sont o. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Philippe Jacqué et Benoit Floc'h Mme Pécresse demande aujourd'hui aux grandes écoles d'avoir 30 % d'étudiants boursiers.

Les mots universités et grandes écoles sont o

Comment réagissez-vous ? Pierre Tapie : Il est normal de la part des grandes écoles d'accueillir des gens dans la même proportion de catégories sociales que ceux qui sont candidats aux grandes écoles. C'est pour cela que, depuis huit ans, les grandes écoles travaillent à augmenter l'ouverture sociale des jeunes qui candidatent aux grandes écoles, soit via les prépas, soit via d'autres filières de sélection.

Aujourd'hui, la proportion de boursiers dans les grandes écoles, soit 23 %, est exactement identique à la proportion de boursiers qu'il y avait parmi les étudiants de classe préparatoire il y a un an. V. Rien dans ce que nous entendons ne suggère que Valérie Pécresse serait critique envers les grandes écoles. Les Français ont un véritable génie pour s'autoflageller. Oui, bien sûr. Ce système est un bon système.