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Education 2.0

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Dans la salle de classe du futur, les résultats ne progressent pas. Dans le cadre d’une série sur le « pari éducatif high-tech » (dans laquelle notamment plusieurs experts américains tentent d’apporter leur vision sur ce à quoi ressemblera l’école dans 10 ans), Matt Richtel, pour le New York Times s’est rendu dans le district scolaire pilote de Kyrene en Arizona : un secteur où tous les élèves utilisent des tableaux blancs interactifs et des ordinateurs à l’école. Depuis 2005, le district a investi 33 millions de dollars pour moderniser ses écoles.

Ici, c’est la nature même de la classe, du rapport à l’enseignant qui a été transformé : l’enseignant circule entre les élèves qui apprennent à leurs rythmes sur leurs ordinateurs. Au profit de qui se fait la surenchère technologique à l’école ? Image : Le graphique de l’évolution des dépenses et des résultats du district de Kyrene dans l’Arizona réalisé par le New York Times. La poussée des dépenses technologiques intervient alors que les écoles doivent faire de durs choix financiers. Les métriques en question. Peut-on rêver l’école et mieux la construire. « J’habite au nord des Pays-Bas dans une petite ville de 27 000 habitants, je me déplace beaucoup par train et c’est souvent là mon bureau. Je n’ai pas de diplôme, mais cela ne m’a pas empêché de mettre en place un programme de cours pour l’Académie Royale d’Art de La Haye.

Je suis designer et je cherche à montrer comment le monde change et comment on peut utiliser bénéfiquement ces changements. Comme beaucoup de gens, je travaille pour gagner ma vie et j’essaye d’organiser des choses drôles et agréables. » C’est ainsi que se présente le touche-à-tout Marcel Kampman. Ne vous fiez pas à son apparente modestie, ce designer fou a beaucoup de projets dans sa besace et tous ne sont pas aussi fous qu’ils en ont l’air.

Il est notamment le directeur créatif de Picnic, la conférence hollandaise sur les nouvelles technologies, et le cofondateur de DreamSchool. Image : Marcel Kampman sur scène et dans sa présentation, à Lift. Si les rêves sont sans fin, construire une école ne l’est pas. Je me suis replongée dans Une société sans école de Ivan Illich. Ivan Illich (1926 - 2002) Né à Vienne en 1926, il arrive aux États-Unis en 1951, et travaille comme assistant auprès du pasteur d'une paroisse portoricaine de New York. Entre 1956 et 1960, il est vice-recteur de l'Université catholique de Porto Rico, où il met sur pied un centre de formation pour les prêtres américains qui doivent se familiariser avec la culture latino-américaine. Illich fut co-fondateur du Center for Intercultural Documentation (CIDOC) à Cuernavaca, Mexico.

À compter de 1964, il a dirigé des séminaires sur le thème «Alternatives institutionnelles dans une société technologique», avec un accent spécial sur l'Amérique Latine. Il vit désormais sur le mode de l'amitié. Vie et oeuvre«Illich est tout d'abord un penseur qui se situe dans un contexte historique particulier, celui des années 60 — période caractérisée par une critique radicale de l'ordre capitaliste et de ses institutions sociales, et notamment de l'école. C'est aussi une personnalité complexe. Bibliographie H2O. Umair Haque / Bubblegeneration. A very good friend of mine who is also a philosophy professor pointed me to this article about rampant plagiarism in the academic world, written by an "academic mercenary" whose clients pay him to write everything from business school proposals to doctoral dissertations. It's a chilling read, because it articulates so clearly the massive failure of our institutions of education, as a whole, to actually educate.

Not only do they fail to educate; the educational institutions to whom we entrust so much are, in many ways, anti-education. A few days ago, I posted a note about this problem on my personal blog and received a comment from the ever-insightful Carol Sanford that really hits the nail on the head: "Education, from the Latin root ed-u-caré,means to draw out; and the current model of education is missing the point of its own etymology...

The current model of education is missing the point of its own etymology. The Lumiar Institute in Brazil has a more humane view of education. Supprimer les notes en primaire : néfaste ou épanouissant ? Le système scolaire français fondé sur la notation est remis en cause. En Scandinavie, c’est un vieux débat. Des riverains racontent. Pas de notation avant la sixième. Des évaluations, mais plus de notes qui stigmatisent les plus faibles, tuent l’estime de soi, stimulent l’esprit de compétition plus que l’esprit. Le débat renaît en ce mois de novembre grâce à l’appel de l’Association de la fondation étudiante pour la ville (Afev, qui fait du soutien scolaire) signé ce jeudi dans le Nouvel Observateur par une flanquée de personnalités, dont : Eric Debarbieux, Observatoire international de la violence à l’écoleRichard Descoings, directeur de Sciences-PoFrançois Dubet, sociologueBoris Cyrulnik, neuropsychiatreAxel Kahn, généticienEric Maurin, économisteLouis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalitésDaniel Pennac, écrivainMichel Rocard, ancien Premier ministreMarcel Rufo, pédopsychiatre L’UNI affirme que la suppression des notes est un échec : Quant aux programmes...

Education as a platform. Any and every education reform design is going to fail for two reasons. The first is that the problem is not one that is solvable by “design” in the traditional engineering sense — the education system, including all its human elements, is too complex for that. The second is that the system as currently built contains feedback loops that damp out change. At the Gov 2.0 Summit, Deputy Director for Policy for the White House Office of Science and Technology Policy,Thomas Kalil, referred to the challenge of educational software that improves the more students use it. What would it mean to talk about a whole school system that improves the more students use it? I’ve heard the Department of Education’s Steve Midgely refer to school as a service and education as a platform — why not apply this kind of systems thinking to the Gordian knot of our education system, using the Internet as a lens and a platform model?

Applying the Web 2.0 model to education Defining “better” Related: EmploiCity aide les étudiants à trouver leur premier emploi | Pr. La France a un taux d’emploi des jeunes qui serait l’un des plus faibles des pays de l’OCDE, et cette statistique malheureuse a la vie dure puisque rien ne semble changer depuis des décennies. Afin d’aider les étudiants et de les accompagner dans leur intégration au sein du monde professionnel, du collège à l’université puis La France a un taux d’emploi des jeunes qui serait l’un des plus faibles des pays de l’OCDE, et cette statistique malheureuse a la vie dure puisque rien ne semble changer depuis des décennies.

Afin d’aider les étudiants et de les accompagner dans leur intégration au sein du monde professionnel, du collège à l’université puis au premier emploi, le groupe Média Etudiant, déjà éditeur de nombreux sites autour de la même thématique va lancer le 18 janvier 2010 un nouveau site, EmploiCity.fr. L’objectif d’EmploiCity est de proposer des services d’entraide constitués principalement de contenus et d’offres en vue d’aider les étudiants dans leur parcours professionnel. Entreprise Collaborative - Livre Blanc : Une Introduction au Soc. Ce Livre blanc, écrit par des auteurs issus de cultures de l’entreprise diverses, fournit de multiples perspectives sur le Social Learning. Ici, le Social Learning peut être considéré comme le développement des savoirs, des aptitudes et attitudes, par la connexion aux autres - que ce soient des collègues, des mentors ou des experts - via les médias électroniques synchrones ou asynchrones.

Les personnes qui ont contribué à l’écriture de ce livre nous donnent leur point de vue sur ce qu’elles pensent être un facteur important de la réussite future de toutes organisations. Une des clés de lecture de cet ouvrage est donnée par Marshall et Eric McLuhan* : Nous pouvons nous demander comment le Social Learning va étendre, rendre désuet, s’approprier ou faire basculer ce que nous faisons aujourd’hui sur notre lieu de travail. Ceci pourrait nous fournir quelques idées concernant ce que nous devrions faire.

Pour ce livre blanc, nos contributeurs répondent à la question suivante: Apprendre moins pour réussir plus | slate. Nous sommes en 2007 lors du débat Ségolène Royal-Nicolas Sarkozy du 2e tour de l'élection présidentielle. Aucun des candidats ne connaît la part de l'électricité produite par énergie nucléaire en France. Les duellistes évoquent 20 à 30% alors que le vrai chiffre est 80%. Quelques intellectuels s'amusent, mais l'évènement ne choque pas. Il s'agit pourtant d'une notion fondamentale du programme de géographie de lycée, le genre de savoir que nombre d'enseignants et de parents estiment devoir faire partie de la culture générale indispensable à chaque citoyen.

Sans soutien des parents, pas de salut? Sans une aide extérieure, combien d'enfants seraient capables d'assimiler les connaissances nécessaires pour réussir un parcours scolaire complet? Publicité Il faut bien comprendre qu'aucun dispositif de soutien ne pourra rivaliser avec l'investissement de ces parents prêts à consacrer deux heures par jour aux devoirs de leur enfant. 865 heures par an Alléger les programmes Daniel Gautheret. Halte au développement précoce de l’employabilité ! « Les Carriè. Je rebondis sur un article du journal Les Echos qui intéressera les parents, les lycéens et les étudiants "Vaut-il mieux étudier le management dans une fac ou dans une grande école" L’article aborde la question du retour sur investissement en termes d’emploi et de rémunération à la sortie, une vraie question en période de crise économique et de marché sinistré de l’emploi.

Depuis plusieurs décennies, le diplôme quel qu’il soit n’est certes plus un gage d’emploi (même quand la formation est qualifiante et/ou professionnalisante), la personnalité du candidat, son réseau, … apparaissent davantage comme des éléments différenciateurs aux yeux des recruteurs dans une société où il y a de plus en plus de personnes diplômées, diplômées du supérieur et diplômées de formations professionnalisantes. Like this: J'aime chargement… WikiReader, un futur cas d'école ? L’élève : Monsieur, je peux utiliser mon WikiReader en cours ? Le professeur : Ton quoi ? Qu’est-ce que c’est que ce nouveau gadget encore ! L’élève : C’est génial, c’est tout Wikipédia dans un petit lecteur à écran tactile ! Même pas besoin d’être connecté à Internet, l’intégralité est enregistré dans un carte mémoire à mettre à jour quand on le souhaite.

Pas besoin de fil non plus avec ses piles qui tiennent un an. Le professeur : Vraiment ! L’élève : C’est super simple d’utilisation. Le professeur : Certes… Et les deux autres boutons ? L’élève : Il garde trace de toutes mes anciennes recherches dans « Historique ». Le professeur : Hum, et pourquoi veux-tu t’en servir en cours ? L’élève : Ben, parce que des fois vous éveillez ma curiosité qui me donne tout de suite envie d’en savoir plus, ou bien alors j’ai besoin de retrouver un truc ponctuel et précis (une date, une définition, une formule scientifique, etc.). L’élève : Oui c’est vrai. Le professeur : Mais ça n’est pas tout…

L'école ne doit pas avoir peur d'Internet | slate. Chacun le sait: une fois rentré chez lui, le professeur n'a pas terminé sa journée. Après avoir enseigné, il lui faut évaluer. En termes plus clairs: corriger. Des dissertations, des interrogations, des exercices... Ce soir-là, je m'attaque à un paquet d'exposés sur les grandes figures de l'humanisme au XVI° siècle, rendus par mes élèves de Seconde. La régulation d'Internet dans les pratiques scolaires domestiques représente un enjeu majeur pour les acteurs de l'éducation nationale - lesquels ont parfois l'impression que le processus cognitif est en train de se transformer en download, simple téléchargement de savoirs entreposés dans quelque lieu virtuel. Publicité Internet n'échappe pas à la règle commune aux réalités d'ici-bas: il est tout à la fois porteur d'avantages et d'inconvénients. Educatif, enfin, car, en classe, il passe du statut d'objet ludique à celui de fenêtre sur le monde et la connaissance.

Une nouvelle problématique se fait jour actuellement. Mathieu Grimpret. La vie en béta perpétuelle - Transnets - Blog LeMonde.fr. Deux grands courants de pensée abordent sérieusement la question de la formation spécifique aux TIC. L'un insiste sur les littératies en nouveaux médias et l'autre sur la littératie digitale . Reconnaissant les apports de chacun nous nous démarquons des deux pour la simple raison qu'ils tendent à rester centrés autour de conceptions relativement formelles de l'enseignement et de la connaissance conçus d'abord comme production et comme produit. Ce sont nos vies qui sont en questions et nous devons apprendre à les voir comme des processus continus d'acquisition de connaissances et de capacités comprises comme des flux plus que comme des livres que l'on peut prendre dans ses mains, lire, connaître et même jeter ou brûler.

Le web d'aujourd'hui sur lequel on trouve de plus en plus de programmes offerts au public en version béta pour une durée indéterminée nous offre une métaphore utile. Il en va ainsi de nos vies dans ce monde où les TIC occupent une place chaque jour plus importante.

Social Learning

Douze propositions pour l'école à l'ère numérique. Le rapport Fourgous, dense, riche et touffu, semble hésiter entre une école numérique fondée sur le collaboratif et la richesse de ressources partagées d'une part, et d'autre part une école numérique qui serait le marché tout trouvé d'une industrie du numérique en mal de clients. Il y aura deux manières de rater l'école numérique : ne pas réussir à intégrer le numérique dans les situations d'enseignement, réduire le système éducatif à n'être qu'un client pour des industries numériques. Nous devons craindre davantage ce second danger. - François Élie.

Douze propositions pour « réussir le numérique à l'école » : Liberté - Les logiciels et les ressources numériques acquises, développées ou produites avec participation de fonds publics doivent être placées sous licence libre et disponibles dans un format ouvert afin de permettre leur libre partage : les utiliser, étudier, modifier, redistribuer librement. Ces douze propositions au format PDF (72.98 Ko) Partenaires associés. Libérons lenseignement ! | Presse-Citron. (billet rédigé par Deeder) L’enseignement, c’est d’abord le partage des connaissances, la transmission de savoir de pair à pair, soit unilatéral dans le cas de cours magistraux, soit bilatéral dans de nombreux autres cas. Echanger un savoir et échanger des données, c’est, lorsque l’on y réfléchit, un peu la même chose. Essayez d’imposer un copyright (billet rédigé par Deeder ) L’enseignement, c’est d’abord le partage des connaissances , la transmission de savoir de pair à pair, soit unilatéral dans le cas de cours magistraux, soit bilatéral dans de nombreux autres cas.

Echanger un savoir et échanger des données, c’est, lorsque l’on y réfléchit, un peu la même chose. Essayez d’imposer un copyright sur vos idées, elles ne se répandront pas. Photo : Tableau de classe – François Jourde (avec son autorisation) Vous avez dit « libre » ? Un logiciel libre est caractérisé par 4 libertés fondamentales : Le déploiement du logiciel libre Au delà du logiciel… Conclusion. Libres extraits du rapport Fourgous sur la modernisation de l'éc. Le rapport Fourgous peut-il sauver l'école ? Rapport Fourgous - Notes de lecture de François Elie. Study Finds That Online Education Beats the Classroom - Bits Blo.

Education en crise

Serendipity. Best practices. L'État de l'Oregon adopte Google Apps Education pour ses écoles.