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Economie collaborative

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The power of community marketplaces - the case of p2p travel. Would you let a stranger sleep in your home? Surely most people’s answer to this question would be no. With the power of “reputation capital”, peer-to. peer (p2p) community marketplaces are revolutionising the way its members enjoy unique travel experiences and make new connections online and offline. Back in 2007, two friends and I were planning a short holiday in Pamplona (northern Spain) to attend the famous San Fermín festival. It was a last minute decision and after trying many hotels and hostels we were unable to make a reservation, as they were all fully booked for those dates. We were on the verge of cancelling our trip, but I then checked loquo (Spanish site similar to craigslist or olx) and luckily we found someone who had a spare room available for rent.

The lady was even happy to add a mattress on the floor so we could squeeze 3 people in the room, which was perfect – we found a place in the last-minute. Satisfying a need Providing added value. « Crise et Web ont généré une très large économie de la débrouille » | Rue89 Eco. “La Co-Révolution est en marche… et elle est globale” Anne-Sophie Novel et Stéphane Riot, auteurs de Vive la Co-Révolution !

Et membres de OuiShare sont en tournée sur les routes de France pour transmettre le virus du collaboratif. Nous les avons interrogé pour savoir si la « révolution collaborative » est effectivement en marche… Quel était l’objectif du livre ? Anne-Sophie Novel : Il s’agissait de faire le point entre de nombreuses observations effectuées depuis 2009 : en tant que blogueuse et ecolo-geek, je sens les interdépendances avec les écosystèmes vivants et numériques qui m’entourent.

Partout je vois les dynamiques collaboratives se mettent en oeuvre. Qu’est ce que le « co » ? Anne-Sophie : C’est tout cela à la fois ! Certains sont plus au fait de cette tendance, plus concernés, mais ceux qui le sont moins restent également prédisposés à ces nouvelles logiques. Pourquoi la Co-« Révolution » ? Anne-Sophie : Ce n’est pas tant un choix médiatique que celui d’un terme englobant.

Alors… let’s co ! Crédit illustration: xtof. La concurrence pure et parfaite appliquée sur eBay - Réflexions. Le modèle de société proné par les économistes néoclassiques est celui où une très forte concurrence règnerait. Ils considèrent en effet que les problèmes économiques proviennent tous de déséquilibres sur les marchés, et ces désiquilibres résulteraient tous d'obstacles à la concurrence. Si celle-ci était la seule force à l'oeuvre, elle suffirait en fait à attribuer à chaque agent économique la rémunération qu'il mérite, une rémunération insuffisante étant le signal qu'une marchandise est en excès, et donc qu'il faut produire sur un autre marché où les rémunérations sont importantes.

Le modèle optimal de société est celle où sont appliqués les cinq critères de la concurrence pure et parfaite. Ces critères sont presque indissociables de la théorie néoclassique des marchés à l'équilibre et sont donc très connus. D’autres moyens d’échanger. Texte écrit pour la newsletter de Zhi Rou Jia, l’école du développement de la douceur, club de Taï chi de Bourgogne animé par Laurence Cortadellas et Jean-Michel Chomet. La vraie richesse Une vision d’évolution du monde considérerait la richesse comme la bonne organisation des humains, des objets et des animaux. Quand toute chose est à sa place, alors le monde est en paix. Ainsi la richesse découle de la bonne combinaison des éléments entre eux : quand la plante reçoit de l’eau, quand l’élève prend un cours avec le professeur qualifié, quand le livre trouve un lecteur, quand Roméo trouve sa Juliette, alors chaque élément se combine avec l’autre, et de cet échange nait un enrichissement mutuel.

La plante sans eau meurt et la vie ne s’écoule plus en elle. Le professeur sans élève est malheureux et l’élève sans professeur ne peut progresser. Ainsi dans la plupart de ces cas, l’immobilisme et la stagnation sont synonymes de mort. L’argent était rare A quel jeu voulons nous jouer? L’économie du Partage face au modèle économique dominant. Il faut parfois savoir revenir aux fondamentaux. Particulièrement dans les périodes de crises structurelles comme celles que nous traversons aujourd’hui et qui remettent directement en cause les bases mêmes de nos économies.

Nous ne pourrons pas comprendre ce que signifie économie du partage si l’on ne se demande pas d’abord ce que le mot « économie » veut vraiment dire. Je m’en tiendrai à la définition de Wikipédia qui me paraît être assez juste et inspirante : L’économie est l’activité humaine qui consiste en la production, la distribution, l’échange et la consommation de biens et de services.

Si l’on s’intéresse aux modifications structurelles que l’on doit apporter à nos économies, il faut se poser des questions telles que : Comment produit-t-on ? Existe-t-il d’autres façons de produire ? Dans l’économie du Partage, il n’est pas toujours évident de distinguer clairement un acteur unique qui accompagne le produit de la conception à la vente. Naissance de l’abondance matérielle | Owni.fr. Dans le billet précédent j'évoquais comment apprendre à gérer l'abondance par rapport à la gestion de la rareté pour laquelle nous avons été plus aidés et entraînés ... Dans le billet précédent j’évoquais comment apprendre à gérer l’abondance par rapport à la gestion de la rareté pour laquelle nous avons été plus aidés et entraînés. Une de mes conclusions, était, pour les créateurs de se relier directement avec leurs publics, les canaux de copie, multiplication, distribution très peu coûteux, faisant sauter un bon nombre d’intermédiaires par rapport à l’économie physique.

Si à l’époque de l’industrialisation, le rapport de force était en faveur de celui qui a l’argent pour acheter la machine, puis en faveur de celui qui a le réseau et le matériel pour produire et distribuer les disques dans les 50 dernières années, aujourd’hui ce rapport de force vient de s’inverser en faveur des créateurs. Voici en gros la chaîne de développement d’une idée dans le monde physique. L'économie de la multitude. ParisTech Review – Dans L’Âge de la multitude (Armand Colin, mai 2012), vous affirmez que la révolution numérique a déjà eu lieu, mais que la numérisation du monde économique et social continue, avec la diffusion de nouveaux modèles économiques et industriels. Les plateformes, véritables infrastructures du monde de demain, sont parfois aussi puissantes que les Etats, mais elles sont elles-mêmes tributaires de leurs échanges avec la multitude, qui est au centre du jeu. Qu’appelez-vous « la multitude » ?

Henri Verdier – Nous avons repris ce concept à une tradition philosophique ouverte par Antonio Negri et Michael Hardt, reprise et développée en France par Yann Moulier-Boutang. Pour ces auteurs, la multitude succède au prolétariat. Nicolas Colin – Ce concept qui décrit parfaitement le nouveau monde social a un autre avantage : il nous permet de pallier les difficultés de traduction de ce que les Américains désignent par « People ». Est-ce du revenu libéré, ou de la destruction de valeur ? Comment les contenus générés par les utilisateurs menacent-ils le capitalisme.

La lecture de la semaine prolonge le texte d’il y a 15 jours, qui tentait de comprendre pourquoi Facebook était valorisé à 100 milliards de dollars. On se souvient que la réponse était que la valeur : c’est nous, les utilisateurs ! Le texte d’aujourd’hui est un entretien donné à Al-Jazeera par Michel Bauwens (Wikipédia, @mbauwens), le fondateur de la Peer-to-peer Fundation, qui cherche à analyser les effets à long terme de contenus générés par les utilisateurs sur le capitalisme. « Ce qui est important, explique Bauwens, c’est que Facebook n’est pas un phénomène isolé, mais participe à une tendance plus lourde de notre société : une croissance exponentielle de la valeur d’usage produite par le public.

Il est important de comprendre que c’est là un énorme problème pour un système capitaliste, mais aussi pour le travail tel que nous le concevons traditionnellement. Image : Typography Power par Charis Tsevis. D’où une série de questions qu’il pose : Xavier de la Porte. The $100bn Facebook question: Will capitalism survive 'value abundance'? Chiang Mai, Thailand - Does Facebook exploit its users? And where is the $100bn in the company's estimated value coming from? This is not a new debate. It resurfaces regularly in the blogosphere and academic circles, ever since Tiziana Terranova coined the term "Free Labour" to indicate a new form of capitalist exploitation of unpaid labour - firstly referring to the viewers of classic broadcast media, and now to the new generation of social media participants on sites such as Facebook.

The argument can be summarised very succinctly by the catch phrase: "If it's free, then you are the product being sold. " This term was recently relaunched in an article by University of Essex academics Christopher Land and Steffen Böhm, entitled "They are exploiting us! Why we all work for Facebook for free".

In this mini-essay, they make a very strong claim that "we can certainly position the users of Facebook as labourers. Engineering scarcity But this is no longer happening. Open-source manufacturing. De la rareté vers l’abondance | zoupic - le propre de l'Om. Pour libérer notre société de ses maux, de ses problèmes multiples, une de mes recommandations est de faire péter les uns après les autres les verrous de la rareté. Qu’est ce que ça veut dire? Comment s’y prendre? Pour remplacer par quoi? D’abord, il me semble important de définir la rareté (cf wiktionnaire) : Choses qui sont en petit nombre, en petite quantité ; il est opposé à Abondance.

La rareté peut être naturelle ou contrôlée. - Rareté naturelle : les rubis se trouvent en quantité limitée sur terre, les trèfles à quatre feuilles sont difficiles à trouver. - Rareté contrôlée : ressources, services ou produits peuvent être contrôlés et maintenus en quantité limitée, par exemple le nombre de Prix Nobel distribués ou les diamants. Pour vous expliquer une rareté contrôlée, @phyrezo vous présente en deux mots le contrôle des diamants : l’approvisionnement du marché est controlé par un oligopole de la production, un quasi monopole de la part de De Bears.

Bien. Explosion du barrage. The great stagnation? Or: why internet productivity gains have been demonetized. Most of the economic growth during the Internet era has been largely unmonetized, i.e. external to the measurable market. This is most obvious for completely free services like Craig’s List, Wikipedia, many blogs, open source software, and many other services based on content input by users.

But ad-funded Internet services also usually create a much greater value than is captured by the advertising revenues. These include search, social networking, many online games, broadcast messaging, and many other services. Only a small fraction of the Internet’s overall value has been monetized. In other words, the vast majority of the Internet’s value is what economists call an externality. Excerpted from Nick Szabo‘s take on the Crisis of Value hypothesis: “The costs of manufacturing goods whose costs primarily reflect manufacturing rather than raw materials has fallen substantially over the least twenty years, at about the same rate as in prior decades.

In this editorial he has written: Watching Open Source Destroy Capitalism | The Blog of J.D. Moyer. Theft, or post-capitalism? About twenty years ago one of my college housemates, Jerry, had an idea. “What if you could send music over the internet?” This was the age of 2400 baud modems that made crazy high pitched noised while they tried to connect to the internet. My 20 megabyte external hard drive for my MacPlus computer had set my parents back about five hundred bucks. High quality digital audio files were about the same size as they are now (about ten megabytes per minute of audio). In other words, I couldn’t even fit a single digital audio track on my expensive hard drive — I worked exclusively in MIDI. So I forgive myself for my lack of vision at the time. Jerry persisted. Jerry didn’t go on to invent Napster, but he was absolutely right. Jerry saw it coming early on, but I actually lived through it. Selling music digitally turned out to be more profitable, because production costs were so low.

Strangely, Loöq Records is more profitable than ever. Pretty much. Do you sell widgets? Un plaisir toujours coupable : le mashup « :: S.I.Lex :: Depuis le début de l’année plusieurs grands sites d’information américains comme MTV, le Wall Street Journal, le New York Post ou le Huffington Post ont mis à l’honneur la pratique du mashup musical, qui consiste à mélanger deux ou plusieurs morceaux de musique différents pour en faire une nouvelle œuvre hybride empruntant à chacun.

C’est la parution d’une compilation des 25 meilleurs mashups de l’année par le Bootie, un club de San Francisco spécialisé en la matière, qui a suscité cette reprise dans les médias mainstream. Le mashup commencerait-il à s'affirmer comme une pratique culturelle à part entière ? Peut-être bien, mais faute de pouvoir disposer d'une assise juridique solide, c'est tout un pan de la culture de ce début de siècle qui se construit sur du sable...

(Genre.mashup. Par daniel.d. CC-BY-SA. Seven years ago, everyone thought our little mashup hobby was just a silly underground fad. Le mashup, phénomène musical de la décennie ? Transformative use is fair use. Like this: Danah Boyd : “Voyez-vous ce que je vois ?” | Owni.fr. L'intervention d'aujourd'hui s'intéresse à la visibilité, au pouvoir de ce que vous pouvez voir, que vous regardiez ou non. Identifiez-vous sur votre compte Twitter. Identifiez-vous sur votre page Facebook. Ce que vous voyez est un monde que vous avez construit. Ces personnes sont VOS "amis", les personnes que vous avez choisies de suivre. Ou du moins, les personnes qui vous ont séduit, au point de les suivre. Ces personnes déterminent ce que vous vivez sur les réseaux sociaux en ligne ... [NDLR] Ce texte est la traduction de l’intervention de Danah Boyd aux conférences Supernova et Le Web.

[Ce texte est une version de travail non définitive de l'intervention - traduction de Claire Ulrich] [English version] Citation: boyd, danah. 2009. Voyez-vous ce que je vois ? L’intervention d’aujourd’hui s’intéresse à la visibilité, au pouvoir de ce que vous pouvez voir, que vous regardiez ou non. Identifiez-vous sur votre compte Twitter. J’ai une habitude étrange. 1. 2. 3. Merci beaucoup ! Comment Amazon et Apple transforment la chaîne de valeur en bouc. Au fond, les industries culturelles, le livre, le CD, et dans une certaine mesure le jeu de console ou le cinéma, se sont construites autour d'une chaîne de valeur assez simple, et linéaire, que l'on peut schématiquement présenter comme suit. - nonobstant la liberté de fixation des prix, c'est globalement un jeu à somme nulle. Chaque acteur négocie un % du prix de vente final qu'il prélève sur la valeur d'ensemble ; - cette valeur d'ensemble est essentiellement acquittée par l'utilisateur final ; - cette valeur peut être globalement exprimée en termes de droit d'auteur, même si la fabrication du livre n'est pas complètement sans importance ; - pour les industries culturelles anciennes et bien installée, un accord plus ou moins tacite sur les grandes masses de cette répartition s'est établi, et les négociations ne portent que sur des ajustements de cette marge ; Le modèle Amazon (ou Apple, Facebook, Google, etc.) - Le design des services et des objets prend une place prépondérante ;