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Crise bancaire

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Les règles, c’est capital. Quiconque commet des erreurs doit en subir les conséquences, y compris les banquiers. Depuis le début de la crise, il y a maintenant 5 ans, cette règle fondamentale de l’économie de marché est bafouée, déplore la Zeit. Entre les valeurs morales et la prospérité, les dirigeants politiques doivent pourtant choisir. Extraits. Ceux qui se donneront la peine de parcourir ces jours-ci les forums Internet consacrés à la crise économique feront une découverte intéressante : ce ne sont pas les sommes absolument faramineuses injectées dans le marché, ni les divers fonds de sauvetage mis en place qui indisposent – mais l’identité des destinataires de cet argent : les banquiers, qui se sont longtemps remplis les poches et sombrent aujourd’hui dans la faillite.

Les Etats, qui ont vécu au-dessus de leurs moyens et ne parviennent plus à se procurer d’argent frais. Les propriétaires, qui ont souscrit un trop grand nombre de crédits et ne sont plus en mesure d’assurer le service de leur dette. Fed Eyes Cash Europe Banks Have in U.S. Banks seeking relief from regulators as deposits swell. Regulators have asked banks to take the deposits anyway, three people said, with one lender accepting $100 billion. The regulators want lenders to take the deposits because it improves the stability of the financial system, according to one of the people, who said U.S. banks are viewed as places of strength. Some of the largest ones have talked with regulators about softening rules for ratios that measure capital and assets, according to the people, who asked not to be identified because talks are private.

At least one bank asked for a waiver on paying higher premiums to the Federal Deposit Insurance Corp., which is less likely to be granted, one of the people said. “If the helicopter comes raining money on your bank and it’s only temporarily there, it could be excessively costly and disruptive,” said Robert Litan, a vice president of research and policy at the Kansas City, Mo. — Bloomberg News. La Société Generale passe un contrat avec Rothschild pour limiter la baisse du cours de l'action. Conséquence de la volatilité extrême qui a secoué son titre ces dernières semaines, la Société Générale a confié à la banque Rothschild la mise en ouvre d'un contrat de liquidités sur son action. L'objectif de l'opération :limiter les fortes fluctuations de son cours de Bourse. La banque a ainsi affecté une enveloppe de 170 millions d'euros à cette opération. Selon la définition de l'Autorité des marchés financiers, un contrat de liquidité permet de "favoriser la liquidité des transactions et la régularité des cotations des titres de l'émetteur ou éviter des décalages de cours non justifiés par la tendance du marché".

Cette mesure est effective à partir du « 22 août 2011 et pour une durée d'un an renouvelable par tacite reconduction », indique la banque dans un communiqué sur son site Internet. Une mesure qui ne suffit pas à soutenir le titre en Bourse, qui cède 0,28%, alors que Crédit Agricole avance de 1,08% et BNP Paribas 1,45%. IFR-US banks in private deals to aid Europeans. Wed Sep 14, 2011 2:32pm BST (From www.ifre.com) By Gareth Gore LONDON, Sept 14 (IFR) - US banks have become the unlikely saviours of their ailing European counterparts, signing private agreements to lend them billions of dollars in recent weeks after an exodus of nervous money market funds left many without ready access to short-term funding. Agreements worth tens of billions of dollars have been signed in the last month alone, according to bankers directly involved, who added that senior management of firms on both sides of the transactions have been closely involved with hammering out deals.

French lenders are among those using such facilities, say bankers, although deals have also been struck with UK and other European firms. "We were able to use some of our assets to get long-term repos," said one board member at a French bank. Paris-based Societe Generale said that it had struck US dollar repo deals equivalent to ? Deposit Flight at European Banks Means Risk Piling Up at ECB. (Updates with ECB lending dollars to two banks in 15th paragraph.) Sept. 14 (Bloomberg) -- European banks are losing deposits as savers and money funds spooked by the region’s debt crisis search for havens, a trend that could worsen economic and financial conditions.

Retail and institutional deposits at Greek banks fell 19 percent in the past year and almost 40 percent at Irish lenders in 18 months. Meanwhile, European Union financial firms are lending less to one another and U.S. money-market funds have reduced their investments in German, French and Spanish banks. While the European Central Bank has picked up some of the slack, providing about 500 billion euros ($685 billion) of temporary financing, banks are cutting lending, which could slow growth in their home countries.

“All of this is symptomatic of a lot of fear in the European financial sector,” said Kash Mansori, senior economist at Experis Finance in Charlotte, North Carolina, which advises U.S. and European companies. Big bang des big banks. Le dernier bilan de la Fed montre qu’elle a racheté pour 1 647 milliards de dollars de titres du Trésor , dans le cadre de sa politique monétaire dite QE (ligne 1 du document 1) qui sont financés par 1 701 milliards de dépôts de banques (ligne 1 du document 2), Document 1 (actif) : Document 2 (passif) : Un article de David Enrich et Carrick Mollenkamp du Wall Street Journal nous apprend que ces 1 701 milliards de dépôts sont réalisés pour l’essentiel par des banques étrangères, c’est-à-dire qui ne sont pas sous la responsabilité des autorités des Etats-Unis, pour un montant de 900 milliards au 13 juillet dernier.

Le gros problème qui préoccupe les gens de la Fed est que ces banques étrangères peuvent avoir besoin de rapatrier brusquement ces liquidités de façon à ne pas être en défaut de paiement dans leur pays d’origine. Bien entendu, ces problèmes ne préoccupent pas (officiellement) les autorités de la zone euro et encore moins les heureux Euro-zonards inconscients… European banks’ slow run on… themselves. Les banques françaises sont déjà dégradées.

- Dollar et yuan. REUTERS/Nicky Loh - Les banques françaises n’ont plus la cote. Le 10 août, l'action Société Générale perdait en une séance plus de 22% sur de folles rumeurs entraînant dans son sillage, BNP Paribas et Crédit Agricole avec une dégringolade de leurs cours respectifs de 9,5% et de 11,8%. Jeudi 18 août, la Banque Centrale américaine (la Fed) soufflait sur les braises en évoquant le manque de solidité des banques européennes. Un nouveau coup de semonce pour les valeurs bancaires françaises qui chutaient lourdement. Publicité Pourtant, depuis la crise des subprimes, les établissements bancaires français s’en étaient plutôt bien sortis, sans heurts et même avec les honneurs. Les infortunes de la vertu En fait, les marchés doutent de la capacité de la France à conserver son triple A et s'inquiétent de la capacité des pays de l'Europe du sud à faire face à leurs obligations financières.

Ceci dit, 65% de la dette publique française est tout de même détenu par des non-résidents. Recapitaliser les banques européennes n’est ni dramatique ni facultatif. Le débat qu’a provoqué l’intervention à Jackson Hole de Christine Lagarde, Directeur Général du FMI, a donné lieu à une dramatisation excessive et pu donner l’impression que cette recapitalisation représentait une tache impossible.

Lors des stress tests des Etats-Unis en 2009, le gouvernement américain avait précisé exactement quels étaient les besoins de recapitalisation. Les banques se sont exécutées sans tambour ni trompette et les grandes banques américaines sont maintenant plus solides que leurs consoeurs européennes. Comme l’Europe n’a pas eu le courage de ses convictions et a accouché deux fois de suite de stress tests qui étaient des pétards mouillés, le vrai besoin de recapitalisation des banques a été occulté.

La réalité les rattrape. Pour celles dont les besoins de fonds propres sont importants, il est temps de se mettre à l’ouvrage. Est-ce pour autant dramatique ? L’obstacle ? En bref, il faut que les banques se débrouillent pour faire une cure d’amincissement. Il est encore temps d'éviter un nouveau Lehman Brothers. - La faillite de Lehman Brother annoncée à Times Square le 15 septembre 2008. REUTERS/Joshua Lott - Un Lehman Brothers mais pas deux: les gouvernements alignent les dispositions qui permettront d’éviter d’avoir à renflouer un jour les grandes banques dites «systémiques», celles dont la chute ferait tomber les autres.

Bâle III durci, obligation pour celles-ci de faire un «testament» pour faciliter d’avance leur démantèlement, introduction de ratios de liquidité et limitation des effets de levier… Au pire, quand bien même un sinistre arriverait, grâce à ces nouveaux pouvoirs juridiques et aux-dits testaments, les autorités seraient mieux armées pour trouver des solutions de reprise ou de découpage. publicité On nous permettra d’en douter fortement. On connaît le résultat du découpage de feu ABN AMRO, en fonction de ses trois grands métiers, selon un découpage a priori pertinent. Des «too big to fail» de plus en plus gros Faire jouer la solidarité entre Etats Diogène Devenez fan sur. Europe’s banks could be in big trouble « Euro Area Debt Crisis by Megan Greene. On August 28th the IMF’s new chief Christine Lagarde was bombarded with criticism after she insisted that Europe’s weakest banks need urgent recapitalization in order to curb contagion in the euro crisis.

Her main critics were ECB president Jean-Claude Trichet and European Commissioner for Economic and Monetary Affairs Olli Rehn, who countered that Europe’s banks do not need liquidity or fresh capital. However, developments over the past month overwhelmingly support Ms Lagarde’s assertion. In both the peripheral and the core countries, European banks could really be in big trouble. Mr Trichet and Mr Rehn’s main argument why European banks are reasonably healthy relies mainly on the stress tests that were conducted just over a month ago by the European Banking Authority (EBA).

According to these stress tests, only nine out of 91 banks would see their Core Tier I Capital ratio fall under 5% under the stressed scenario. The second significant risk for European banks is related to growth. Banques européennes : la cacophonie a assez duré. Il est temps d’arrêter la recréation. Ce qui vient de se passer depuis une semaine est un spectacle lamentable, une cacophonie assourdissante et surtout la démonstration d’une absence de sens des responsabilités. Il est exact que la source de la précarité des banques européennes est le risque qu’elles détiennent sur les pays européens difficiles.

Avec la dérive italienne cette semaine, le problème s’accroit et la Grèce, pour importante qu’elle soit, n’est plus le centre des préoccupations. On espère que les parlements nationaux approuveront la reforme du Fonds Européen de Stabilité Financière. Ce n’est cependant pas la seule. Face à ces deux risques, que constatons-nous ? Tout d’abord, que les fameux stress tests des banques européennes ont été exécutés de manière complaisante et que ce sont les banques elles-mêmes qui ont recouru au chantage pour éviter la transparence. C’est ce que les Etats Membres de l’Eurozone ont toujours refusé. European banks' asset sales face disastrous failure | People & Markets.

Saturday, 12 April 2014 European banks' asset sales face disastrous failure IFR 1911 26 November to 2 December 2011 | By Gareth Gore This content is not included in your subscription package Please contact us to renew or upgrade your subscription. Sign In Most popular © Thomson Reuters 2014. (Launches in a new window) Close. The collateral crunch gets monetary.