background preloader

Creative commons

Facebook Twitter

Innover et réussir avec les licences Creative Commons. Creative Commons International vient de publier The Power of Open, un eBook montrant des exemples de projets dans des domaines variés recourant aux CC. Fin juin, Creative Commons International a publié un eBook fascinant – The Power of Open [en] – racontant les histoires de plus d’une trentaine de créateurs, issus des quatre coins du monde, ayant trouvé le chemin de la réussite en plaçant leurs contenus sous licence Creative Commons et en les partageant dans le cadre de projets innovants.

The Power of Open. CC-BY. Cinéma, musique, édition, journalisme, éducation, design et plus encore : c’est un plaisir de constater la variété des champs d’application des licences libres et la manière dont cette infrastructure juridique ouverte permet d’explorer de nouvelles pistes pour créer, en utilisant le plein potentiel d’Internet. Nombre d’oeuvres placées sous licence Creative Commons depuis 2003. S’affranchir des coûts de transaction induits par le copyright Jouer la carte de la dissémination. Copyheart, un amour de licence libre. Le Copyheart créé par Nina Paley véhicule un message : copier est un acte d'amour. Derrière le côté peace & love, ce pourrait être un premier pas vers la sortie du cadre juridique de l'économie de la création. Magie de la sérendipité, je suis tombé plus ou moins par hasard sur la licence, ou plutôt sur la non-licence, libre la plus charmante qu’il m’ait été donné de rencontrer à ce jour : le ♡Copyheart.

Son inventeur s’appelle Nina Paley, une activiste éminente de la Culture libre, qui s’est distinguée comme artiste en créant le magnifique film d’animation Sita sings the blues, sous licence CC-BY-SA, et qui s’attache à penser la propriété intellectuelle autrement sur son site QuestionCopyright. Nina s’est lancée depuis quelques mois dans un nouveau projet, en créant un blog BD mettant en scène sous forme de strips en 3 cases deux petits personnages, Mimi and Eunice, que vous avez déjà peut-être vus dans cette vidéo en faveur du partage “Copying is not theft“ . ♡ Copying is an act of love. La face cachée des créatives commons….

On parle beaucoup des creatives commons (CC), des débats creatives commons/Sacem ou de la possibilité pour des artistes d’utiliser les creatives commons pour diffuser et partager leur travail. Mais on parle aussi beaucoup de l’utilisation que certains font des creatives commons pour s’approprier des contenus au détriment des auteurs. La plupart du temps, quand on parle des CC, il y a les premiers concernés (les « professionnels de la profession ») qui craignent pour leur pain quotidien, livré à des sauvages qui ne respectent rien et leur piquent leurs clients; de l’autre, les « fanatiques » du CC, qui veulent du tout gratuit. Je caricature – à peine. Le but de cet article n’est pas de repartir dans le débat. Il s’agit plutôt de vous montrer qu’il en existe des utilisations inappropriées qui peuvent vous porter préjudice et de vous informer des fausses interprétations que certains en font afin que vous puissiez vous défendre.

Le contrat Creative Commons vient en complément de la loi. Public Domain Mark : la pièce manquante du puzzle ? « :: S.I.Lex :: Dans la torpeur de l’été, la nouvelle est passée relativement inaperçue, mais Creative Commons a annoncé le lancement prochain d’un nouveau dispositif qui va venir compléter son jeu de licences pour permettre un « marquage » en ligne du domaine public. Cet outil, la Public Domain Mark, pourrait lever bien des difficultés actuelles et il revêt certainement un intérêt particulier pour les institutions culturelles – bibliothèques, archives, musées – qui mettent en ligne des fonds patrimoniaux.

Rappelons que le domaine public est constitué par l’ensemble des oeuvres de l’esprit pour lesquelles les droits d’auteur (ainsi que les droits voisins) ont expiré à l’issue d’une durée fixée par la loi. Cette dernière peut varier : vie de l’auteur plus 70 ans en principe en France et en Europe, mais on trouve des durée plus courtes (vie de l’auteur plus 50 ans au Canada) ou plus longues (vie de l’auteur plus… 95 ans au Mexique !). Un usage parfois forcé des licences Creative Commons WordPress: Francis Lalanne sortira un CD, un livre et un film sous licence. C'était l'annonce de la soirée, après bien sûr la sortie du livre La Bataille Hadopi au Fouquet's (retrouvez le podcast sur Oxyradio). Co-auteur du livre, et opposant notoire à l'Hadopi, Francis Lalanne a annoncé jeudi soir que son prochain disque sortirait au début de l'année prochaine sous licence libre, avec également un livre et un film.

Selon nos informations, le livre devrait être la très inspirante "Mise en demeure au Président de la République", dont Francis Lalanne a pu retrouver les droits après une rupture d'impression, tandis que le film sera produit par le spécialiste du cinéma d'art libre Kassandre. C'est InLibroVeritas, éditeur de La Baille Hadopi, qui éditera l'ouvrage.

Le disque, quant à lui, sera autoproduit par l'artiste. Toutes ces œuvres, diffusées sous une ou plusieurs licences libres, pourront être téléchargées gratuitement par les internautes, reproduites et distribuées librement. Yoko Ono Embraces Creative Commons? O Yes! When a rep for Yoko Ono pinged me last week about a new crowdsourced remix project the legendary artist was launching, my first question was, "Will the resulting fan-remixes be made available under a Creative Commons license? And if not, would you consider talking to the CC folks to learn more about why that's a good idea? " Well, I am very excited to share that after some good conversations between Ms. Ono's camp and the Creative Commons folks (specifically Creative Director Eric Steuer), the answer is YES. This is so awesome! Brava to Ms. Ono for introducing her work into the realm of "open culture," this is a brave and significant step.

Yoko Ono Plastic Ono Band - The Sun Is Down (remix) competition. Long live the remix. Ce sont les Creative Commons qui dérangent les Jeux Olympiques - Le Comité International Olympique n’est pas opposé à la publication de photos amateur sur Internet, mais il demande à ce qu’elles ne soient pas diffusées sous licence Creative Commons. Nous avons rapporté la semaine dernière la lettre qu’avait envoyé le Comité International Olympique (CIO) à un bloggeur australien, pour lui demander de retirer immédiatement les photos qu’il avait diffusées sur Flickr des épreuves et des stades des Jeux de Pékin. « Lorsque vous entrez dans n’importe quel stade Olympique, vous êtes sujets aux conditions contractuelles mentionnées au dos des billets, selon lesquelles les photographies prises des Jeux ne peuvent pas être utilisées à d’autres fins que l’usage privé, ce qui n’inclue pas le fait de proposer les photographies sous licence à des tiers« , prévenait la lettre.

Finalement, plutôt que de se plier à l’ordre, Richard Giles a demandé au CIO de préciser l’objet de sa demande. A Creative Commons License Is The Ultimate Music Promotion Tool. The Future Buzz is not just a place where I help marketers, bloggers and PR professionals spread buzz online. I also help artists, photographers and creative people do the same. In fact, if you read between the lines, much of the advice I write on spreading ideas can be applied to anything you’d like to successfully share.

I don’t mention often that when I’m not blogging or helping companies achieve their goals online, in my free time I write music. Previously I tried to sell my music on online mp3 shops and CDs – with mixed results (it’s difficult being an unknown artist). My goal with art shifted to purely enjoying the process, and I didn’t even worry about promoting it, I just uploaded it. Every so often someone stumbles-upon my art through a link or a friend, and it reaches more ears.

If I was a completely unknown artist and trying to make a living off my art today, I would do all of the following: It is totally realistic to do all of this. Bottom line? 21 Reasons You Should Make Art. Vidéo sur le droit d'auteur : Lawrence Lessig traduit en fr. Il y a plusieurs mois, nous avions relayé sur Numerama une vidéo du professeur Lawrence Lessig, l'inventeur des Creative Commons, censurée à la demande de Warner.

Le studio avait fait supprimer de YouTube la conférence donnée le 24 mars à San Diego, en Californie, dans laquelle il appelait justement à mettre fin "à la guerre du copyright" sur Internet. Pour plaider en faveur d'une plus grande souplesse dans l'application du droit d'auteur dans l'environnement numérique, où toute utilisation d'une œuvre implique une copie réputée illicite, Lawrence Lessig avait utilisé plusieurs extraits et remixs, dont certains exploitaient des extraits d'œuvres de Warner Music. Aujourd'hui, cette brillante conférence est disponible en français. M. Rahal, administrateur système et internaute passionné par l'informatique, a traduit pour nous l'ensemble des 45 minutes de la conférence.

"Globalement, la problématique du droit d'auteur m'intéresse depuis longtemps", nous explique le traducteur. Réutiliser des images en ligne : entre Copyright, Copyleft et … Un des grands plaisirs du blog, c’est la chasse aux images pour illustrer les billets. L’écriture web peut difficilement se passer de l’image, tant elle est nécessaire pour capter l’attention du lecteur et condenser le message. Force est de constater que lorsqu’on écrit sur Internet, on devient vite avide d’images … Depuis que j’ai commencé ce blog, il n’est quasiment pas un billet que je n’ai illustré par une ou plusieurs images.

Ce qui n’était au début qu’une pratique purement « décorative » est devenu au fil du temps un vrai besoin, à mesure que les images devenaient des moments à part entière de la démonstration. J’avoue que je ne m’attendais pas à avoir à ce point « besoin » des images pour écrire sur le droit, matière réputée austère qui se satisfait en général d’un traitement purement verbal (on voit fort peu d’illustrations dans les Précis Dalloz et autres Jurisclasseurs !).

Cette belle composition de silex à trous qui flirte avec le land art est "copyrightée". Remember! J'aime : Ecrire sous licence Creative Commons, au risque du vol… ou de l’ Passer ses textes sous licence Creative Commons, c’est bien. Je suis à peu près certains que les blogueurs sont très majoritairement favorables aux idées globales de diffusion et de liberté. Pourtant, une grande majorité des blogs ne sont surtout pas en Creative Commons. Référencement vous dites ? C’est par ces mots que commence un billet incisif, "Le cocktail favori de Google : Creative Commons et Duplicate Content" publié par Keeg sur le blog du même nom. L’auteur entend y démontrer qu’il existe en réalité fort peu d’intérêt à placer ses textes sous licence Creative Commons, car le risque est alors grand qu’ils soient copiés et postés sur un autre site plus visible, qui captera le trafic à vos dépends et vous privera du flux de lecteurs sur votre blog.

Vol ou envol ? La réutilisation des textes en ligne fait débat... Allez, soyons fous ! Ce qui est extraordinaire, c’est que je suis tombé sur ce billet par le biais… d’un Duplicate Content ! Like this: J'aime chargement… CC / Difficultés et validité juridique. Copyrightcode.eu.