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Yes, there is an alternative to capitalism: Mondragon shows the way | Richard Wolff. There is no alternative ("Tina") to capitalism? Really? We are to believe, with Margaret Thatcher, that an economic system with endlessly repeated cycles, costly bailouts for financiers and now austerity for most people is the best human beings can do? Capitalism's recurring tendencies toward extreme and deepening inequalities of income, wealth, and political and cultural power require resignation and acceptance – because there is no alternative?

I understand why such a system's leaders would like us to believe in Tina. But why would others? Of course, alternatives exist; they always do. Modern societies have mostly chosen a capitalist organization of production. Capitalism thus entails and reproduces a highly undemocratic organization of production inside enterprises. In May 2012, I had occasion to visit the city of Arrasate-Mondragon, in the Basque region of Spain. MC is composed of many co-operative enterprises grouped into four areas: industry, finance, retail and knowledge. Quand des métallos deviennent propriétaires de leur usine - Coopérative. Photos : Laurent Guizard Situés à deux pas de l’ancienne gare de Ploërmel, les bâtiments d’origine des aciéries locales (API), installées en 1885, abritent encore l’atelier fonderie. Sous le hangar, où pince le froid hivernal, les hommes vont et viennent, au milieu du bruit des machines et des odeurs de poussière de métal.

Allumé à 4 h 30 du matin, le four, installé en 1967, crache chaque jour jusqu’à 15 tonnes de métal. Quatre fondeurs se relaient à son chevet, jusqu’à 9 h. Pour le redémarrer à 11 h, quand les tarifs de l’électricité, que le four consomme goulûment, redescendent. « Faire de l’acier, c’est tout un art », sourit Rémi Garin, responsable sécurité des aciéries, entré dans la boîte il y a trente-cinq ans, à l’usinage. « Ce n’est pas une science exacte. Le comportement du métal change en fonction du taux d’humidité, de la température, et de nombreux autres facteurs qui font que pour maîtriser vraiment ce métier, il faut trois bonnes années de pratique.

Liberté et contraintes. Pourquoi l’oligarchie financière ne veut pas de l’économie sociale - Alternative ? En photo : Des salariés des aciéries de Ploërmel (Bretagne), une société coopérative et participative / © Laurent Guizard pour Basta ! Basta ! : D’où vient « l’économie sociale » ? Jean-Philippe Milesy [1] : Historiquement, l’économie sociale se constitue en réaction au libéralisme économique de la Révolution française et des régimes suivants.

La loi Le Chapelier (promulguée en juin 1791) interdit tout groupement de citoyens, d’ouvriers ou de paysans. Au départ, les formes d’économie sociale sont des démarches pragmatiques de citoyens, dans un quartier ou sur un territoire donné, pour mettre en commun le peu qu’ils ont : capacité de travail, outils, épargne, inventivité... Qui sont les initiateurs de ce mouvement ? Pourquoi les mouvements progressistes et révolutionnaires qui émergent au sein du mouvement ouvrier au XIXe siècle ne portent-ils pas pleinement cette économie sociale ? Et ensuite ? Quelles sont les conditions d’une reprise en coopérative ? Recueilli par Ivan du Roy. Quand la coopérative dessine le chemin d'une autre voie possible en entreprise. Si l’économie est, dans son acception commune, l’activité humaine qui consiste en la production, la distribution, l’échange et la consommation de biens et de services, alors le logiciel libre propose effectivement une organisation originale et alternative à l’économie informatique, le bien étant bien commun et le service véritablement au service de ses utilisateurs.

Il serait un peu rapide et hasardeux d’affirmer que la coopérative est à l’entreprise ce que le logiciel libre est au logiciel. Il n’en demeure pas moins vrai que les deux mouvements présentent certaines similitudes, à commencer par celle de vouloir se protéger d’un monde qui perd son humanité en se reliant aux autres pour donner sens à son action[1] Si vous voulez changer le monde, cela passe désormais bien moins par le politique que par l’économique. C’est pourquoi les tentatives pour faire sortie de l’ombre un autre possible en entreprise nous semblent si ce n’est à encourager tout du moins à diffuser et à débattre. Small is the new big. Big used to matter. Big meant economies of scale. (You never hear about “economies of tiny” do you?) People, usually guys, often ex-Marines, wanted to be CEO of a big company. The Fortune 500 is where people went to make… a fortune.

There was a good reason for this. Of course, it’s not just big organizations that added value. Get Big Fast was the motto for startups, because big companies can go public and get more access to capital and use that capital to get even bigger. And then small happened. Enron (big) got audited by Andersen (big) and failed (big.) Big computers are silly. I’m writing this on a laptop at a skateboard park… that added wifi for parents. Today, little companies often make more money than big companies. Today, Craigslist (18 employees) is the fourth most visited site according to some measures. Small means the founder makes a far greater percentage of the customer interactions. Small means you can tell the truth on your blog. Don’t wait. Les sociétés coopératives d’intérêt collectif (Scic) La particularité du statut Scic est de permettre l'association de divers acteurs autour d'un même projet de production économique et de production d'intérêt collectif.

Cette forme de société coopérative peut être particulièrement intéressante pour des projets répondant à des besoins collectifs d'un territoire donné ou d'une filière d'activité donnée. Elle favorise en effet la meilleure mobilisation possible des ressources économiques et des compétences sociales présentes sur tel territoire ou dans telle filière. Le statut Scic répond à une volonté de concilier et de mettre à égalité d'importance les deux volets du développement que sont l'économique et le social. Sur les 117 Scic agréées depuis 2002, 103 sont en activité au 30 juin 2007. Les principales caractéristiques d'une Scic Le multisociétariat Le partenariat avec les collectivités locales Les principes coopératifs Le pouvoir Les votes en assemblée générale respectent le principe "une personne = une voix".

L'agrément préfectoral. SORTIR DU FINANCIARISME : LA PARTICIPATION, par Olivier Berruyer. Ce texte est un « article presslib’ » (*) Billet invité. Vendredi dernier, dans ma vidéo, j’ai analysé la proposition d’une prime de 1000 € pour les salariés dans les entreprises attribuant des dividendes en hausse. Le bien que j’ai pu en dire se situe dans une autre perspective que celle de la participation gaullienne, le rappel par Olivier Berruyer de ce que celle-ci signifiait précisément est cependant bienvenu.

J’appelle financiarisme le dévoiement du système économique que nous constatons depuis plus d’une vingtaine d’années, et se caractérisant par un déséquilibre majeur des pouvoirs dans les grandes entreprises, au bénéfice unique des actionnaires (catégorie dans laquelle rentrent désormais les grands dirigeants). Comme l’a souligné Maurice Allais, « au nom d’un pseudo-libéralisme, et par la multiplication des déréglementations, s’est installée peu à peu une espèce de chienlit mondialiste laissez-fairiste » . « Je tiens à vous dire que j’ai été fort impressionné [par votre livre].