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Best practices

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About:blank. (De nos archives) A l’école Wilhem von Humboldt de Berlin, les enfants ne restent jamais assis bien longtemps dans leur salle de classe. Manque de discipline? Non, simplement ici on applique les méthodes de l’"Education nouvelle". Ce courant pédagogique, né il y a un siècle, défend le principe d'une participation active des individus à leur propre formation. A l'exact opposé de certaines écoles britannique qui envisagent de remplacer des professeurs par des militaires.

Dans cet établissement d’enseignement primaire, les cours magistraux sont donc définitivement bannis. L’enfant doit apprendre par lui-même. Nous appliquons la devise de Maria Montessori [pédagogue italienne, une des fondatrices de l’Education nouvelle, ndlr] : Aide-moi à le faire moi-même" explique Grabriela Anders-Neufang, la directrice de l’école. Les notes aussi ont été abolies et dans chaque classe, trois tranches d’âges sont mélangées. Nous avons également vingt enfants handicapés. "Augmenter l’égalité des chances"

Si rien ne bouge en France dans les cinq ans je demande ma mutat. Ce billet souhaite avant tout saluer l’action du SEM qui, dans le cadre des MITIC, favorise les SOLL au sein du DIP. Gageons cependant que si vous n’êtes pas familier avec le système éducatif genevois, cette introduction risque de vous apparaitre bien énigmatique ! Le DIP, c’est le Département de l’Instruction Publique du Canton de Génève et le SEM, le Service Écoles-Médias chargé de la mise en œuvre de la politique du Département dans le domaine des Médias, de l’Image et des Technologies de l’Information et de la Communication, autrement dit les MITIC. Mais l’acronyme le plus intéressant est sans conteste les SOLL puisqu’il s’agit rien moins que des Standards Ouverts et des Logiciels Libres. En mars dernier en effet le SEM a élaboré un plan de déploiement 2009-2013 sur cinq ans des postes de travail pédagogiques (autrement dit les ordinateurs des élèves[1] ) qui présente la particularité d’être peu ou prou… exactement ce qu’il nous faudrait à nous aussi en France !

Impressionnant non ! Le Danemark autorise l'accès à internet lors d'examens. C'est un fait, les natifs numériques (digital natives en anglais) sont en passe de révolutionner en profondeur le rapport de la société à la technologie. Ayant grandi dans un environnement fait d'ordinateur, d'Internet, de jeux vidéo ou encore de baladeurs MP3, cette "génération Y" bouscule de nombreux domaines, à commencer par l'industrie du divertissement, transformant peu à peu l'ordre établi à travers de nouvelles pratiques, de nouveaux comportements. Preuve en est avec cette information qui nous vient tout droit du Danemark.

Le gouvernement danois vient d'autoriser le principe de l'usage d'Internet lors d'examens, dont le A Level, l'équivalent local du baccalauréat. Cette mesure expérimentale concernera quatorze établissements scolaires dans un premier temps et si l'essai est concluant, le principe devrait être généralisé à l'ensemble des lycéens danois dans deux ans.

Car le corollaire de cette mesure est évidemment la triche. Et pour la valeur de l'épreuve alors ? Et si l’on autorisait les bacheliers à se connecter à l’internet. L’internet à l’école, c’est bien. Mais au bac, et lors des examens ? Le Danemark a décidé d’autoriser, à titre expérimental, les lycéens à accéder au Net pendant leurs examens. Une mesure qui, si les tests sont concluants, pourrait être généralisée en 2011. “Quand vous faites un devoir à la maison vous avez accès à Internet. Donc, pourquoi en priver les candidats au bac ? “, s’interroge Le Café Pédagogique. Le constat dressé par les autorités danoises est simple, souligne pour sa part le Guardian : la collecte des informations étant désormais, en grande partie, confiée aux ordinateurs, pourquoi demander aux élèves de mémoriser par coeur des données que l’on peut relativement facilement retrouver sur l’internet ? Le risque de plagiat ? Une question d’usages Pour François Jarraud, rédacteur en chef du Café Pédagogique, “l’initiative danoise a aussi l’intérêt d’accéder à un espace que l’Ecole a bien du mal à investir : celui des pratiques sociales des adolescents.

Nous pouvons tirer profit de l’expérience finlandaise ! 10 Ways Universities Share Information Using Social Media. Vadim Lavrusik is a new media student at the Columbia University Graduate School of Journalism. He is @lavrusik on Twitter and blogs at Lavrusik.com. Instead of focusing their attention on promoting information to mainstream media, some university public affairs offices are using the power of social media to engage the community directly. In many cases, social media tools like Facebook Pages have given universities an opportunity to speak to audiences on their own, reaching thousands of people interested in keeping up with news at the school and connecting with others on the social network.

Universities are constantly exploring new ways to use social media to fulfill their missions of engaging and sharing knowledge with their constituents. 1. Perhaps the most common way, and the way in which most of us use social media, is sharing information about ourselves or things we find interesting. 2. 3. 4. Emergencies and tragedies do happen. 5. 6. 7. 8. 9. 10. Relief » Comment les médias sociaux stimulent ma mémoire. ( Jean Guitton ) La mémoire, malheureusement, ne se commande pas. Il faut reconnaître notre faible empire sur cette contrée de l’intelligence. Au mieux réussit-on à cultiver aléatoirement certains souvenirs. On ne passe pas son temps, après tout, à déterminer ce que nous retenons, sauf peut-être l’école dans son déterminisme. La nature ne nous accorde pas ce pouvoir de décision.

Malgré quelques stratégies de mémorisation, la chimie neuronale demeure souveraine au regard des sujets. En amont de la pensée, le cerveau réagit principalement à des stimuli. Il aura fallu une requête de Gael Plantin , toujours pénétrant, pour susciter la réflexion sur ma méthode : D’emblée, je lui ai répondu : Poursuivant la réflexion, je constate que ces nombreuses itérations donnent lieu à une sorte de répétition espacée ([ 1 ], [ 2 ]) régulée mémétiquement par les médias sociaux.

À cet apport Twitter s’ajoutent mon épluchage des quotidiens et mon agrégation de flux RSS. Fondamentalement, je n’agis plus seul.