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Alimentation

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The root cause(s) of food price inflation. An August 2009 paper by Jayati Ghosh, professor at the Centre for Economic Studies and Planning at Jawaharlal Nehru University in New Delhi, compared food staples traded on futures markets with staples that were not. She found that the price of food staples not traded on futures markets, such as millet, cassava and potatoes, rose only a fraction as much as staples subject to speculation, such as wheat. Excerpted from Ellen Brown, who first explains the general mechanism: “The cause of the recent jump in global food prices remains a matter of debate. Some analysts blame the Federal Reserve’s “quantitative easing” program (increasing the money supply with credit created with accounting entries), which they warn is sparking hyperinflation.

Too much money chasing too few goods is the classic explanation for rising prices. The problem with that theory is that the global money supply has actually shrunk since 2006, when food prices began their dramatic rise. Organic Can Feed the World - Barry Estabrook - Life. Given that current production systems leave nearly one billion people undernourished, the onus should be on the agribusiness industry to prove its model, not the other way around "We all have things that drive us crazy," wrote Steve Kopperud in a blog post this fall for Brownfield, an organization that disseminates agricultural news online and through radio broadcasts. Kopperud, who is a lobbyist for agribusiness interests in Washington, D.C., then got downright personal: "Firmly ensconced at the top of my list are people who consider themselves experts on an issue when judging by what they say and do, they're sitting high in an ivory tower somewhere contemplating only the 'wouldn't-it-be-nice' aspects.

" At the top of that heap, Kopperud put Michael Pollan and Marion Nestle, a contributor to Atlantic Life and the author of Food Politics, the title of both her most well-known book and her daily blog. "There's a huge chunk of reality missing from Dr. Image: Marykit/Shutterstock. Est-ce que Wall Street affame le monde? Oui, Wall Street affame le monde, mais ce n’est pas à cause de la spéculation ou de la dérèglementation des marchés financiers, c’est bel et bien à cause d’un système monétaire étatique déficient et liberticide. Par Le Minarchiste, depuis Montréal, Québec Il y a une quantité incroyable d’articles de blogues ou même de médias « mainstream » qui affirment que les spéculateurs de Wall Street font monter les prix des denrées alimentaires, ce qui engendre des famines dans le monde. Est-ce vrai? Dans l’un de ces articles alarmistes (celui-ci), on référait à une vidéo très intéressante à cet égard. Selon Kaufman, le choc alimentaire de 2008 a affamé 250 millions de personnes sur la terre, portant le total à un milliard.

Il donne l’exemple du marché du blé sur le Minneapolis Exchange. Puis, en 1991, Goldman Sachs a lancé son « Commodity Index Fund ». Jusque là, Kaufman dresse un portrait plutôt fiable de la situation, ce qui est surprenant vu ses tendances gauchistes. —-Sur le web. La crise alimentaire frappe à nouveau. La menace d’une nouvelle crise alimentaire est déjà une réalité. Selon l’indice des prix des produits alimentaires de la FAO (février 2011) qui surveille l’évolution mensuelle des prix à l’échelle mondiale d’un panier de denrées alimentaires composé de céréales, d’oléagineux, de produits laitiers, de viande et de sucre, le prix des aliments n’a cessé de grimper au cours des huit derniers mois, atteignant des chiffres record.

C’est le plus haut niveau jamais atteint depuis que l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a commencé à mesurer les prix alimentaires en 1990. Cette hausse du coût des aliments, particulièrement des céréales de base, a de graves conséquences pour les pays du Sud à bas revenus et dépendants de l’importation d’aliments, et pour les millions de familles dans ces pays qui consacrent 50 à 60 % de leurs revenus à l’achat de nourriture, jusqu’à 80 % dans les pays les plus pauvres.

Révoltes populaires Une cause centrale. Les prix alimentaires. Désormais méfiants envers les obligations d’État, ne trouvant plus de produits d’investissements financiers sans risques et rémunérateurs, les fantastiques masses de capitaux s’investissent désormais sur l’économie réelle, amplifiant les fluctuations des prix des matières premières. Cela est particulièrement dramatique pour les produits alimentaires, dont le niveau des prix a fortement augmenté : NB. Le graphique précédent est corrigé de l’inflation : en théorie, la courbe aurait dû rester plus ou moins stable… Si on regarde l’évolution par année : Enfin, par type de produit alimentaire : Certains prix alimentaires ont ainsi pratiquement doublé en 5 ans (hors inflation).

Le pic de 2008 a été de nouveau atteint au début de 2011 – avant de voir une diminution des prix. Rappelons aussi que cette situation avait entraîné des émeutes de la faim au printemps 2008 : “Les prix des denrées alimentaires vont vraisemblablement rester élevés et volatils. Permaculture. La permaculture est, à l'origine, une conception de l'agriculture et de l'horticulture durable fondée sur l'observation minutieuse des écosystèmes et des cycles naturels et leur imitation. C'est un mot-valise anglais formé à partir de « permanent (agri)culture » ; en français : « agriculture durable » ou « culture permanente ». Cependant l'expression « agriculture durable » a aujourd'hui pris un sens plus large. Elle a été élaborée dans les années 1970 par le biologiste australien Bill Mollison et son élève David Holmgren.

En 1981, Mollison reçoit le Right Livelihood Award pour son travail. La notion de permaculture a progressivement été étendue à une conception systématique de l'environnement et à une éthique normative définissant des modes de vie et un fonctionnement de la société souhaitables. En Europe, la permaculture est pratiquée aussi bien dans des jardins privés que dans des fermes de taille moyenne. Définition[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code]

PAC (politique agricole commune)

L'agroécologie permettrait de doubler la production agricole en 10 ans, selon l'ONU. Array. Array. L'agroécologie permettrait de doubler la production agricole en 10 ans, selon l'ONU - LMOUS Comment "nourrir 9 milliards d'êtres humains en 2050" ? La réponse coule de source, pour le rapporteur spécial de l'ONU, Olivier De Schutter : en laissant tomber l'agriculture intensive au profit de l'agroécologie.

Une technique qui "cherche à améliorer la durabilité des écosystèmes en imitant la nature plutôt que l'industrie"... L'agroécologie est une pratique agronomique raisonnée associant un travail du sol respectueux, une fertilisation et des traitements phytosanitaires naturels, une sélection variétale réfléchie et des rotations de cultures régulières, une optimisation des ressources en eau par stockage naturel, la lutte contre l'érosion par l'instauration de haies et l'association des cultures et des forêts... L'agroécologie, technique la plus efficace Quelques exemples. Les Etats doivent s'y mettre "Les États et les donateurs ont ici un rôle clé à jouer. Des alternatives aux pesticides » Article » OWNI, Digital Journalism.

Documentaire fouillé, "Notre poison quotidien" aurait gagné à évoquer aussi l'évolution de l'histoire de l'agriculture et en particulier la chimie verte qui recourt aux pesticides non-toxiques. Après Le Monde selon Monsanto, Marie-Monique Robin revient en lanceuse d’alerte avec un documentaire efficace, très fouillé et bien ficelé à propos des produits chimiques que nous ingérons malgré nous. Notre poison quotidien est cette fois un réquisitoire contre les industriels de la chimie, mais la journaliste pointe aussi les dysfonctionnements au niveau du circuit d’évaluation des différents produits, avant leur autorisation d’utilisation.

Trois thèmes sont abordés dans le documentaire, partant des agriculteurs victimes de maladies et intoxications chroniques liées à l’utilisation des pesticides en passant par les additifs alimentaires pour finir par les perturbateurs endocriniens (dont le bisphénol A). D’autres alternatives qui sont purement biologiques aux pesticides existent aussi. MONDE • Que mange(ra)-t-on en 2050 ?

Neuf milliards de personnes à nourrir en 2050 et des changements climatiques : un véritable défi pour le futur. Un organisme international fait le point sur les choix que l’humanité devra faire d’ici là, relate Público. Dans les quarante prochaines années, la Terre va devoir alimenter 9 milliards de personnes. Pour Cary Fowler, directeur du Global Crop Diversity Trust [structure de partenariat entre la FAO et des organismes privés comme les fondations Rockefeller ou Bill Gates, qui a pour objectif le maintien de la diversité biologique des variétés agricoles], il va s’agir d’un grand défi.

L’urbanisation ou le manque de terres agricoles ne seront pas les sources du problème. Les complications viendront des changements climatiques, qui vont exiger l’essor de nouvelles variétés d’aliments capables de résister à la chaleur et à la sécheresse. John Beddington Pour mener une telle tâche, il faudrait que le monde entier fasse un effort, ce qui est loin d’être le cas. Nicolau Ferreira. Statistiques sur la production, les exportations, importations et prix des légumes en France de 2005 à 2010.

La sécurité alimentaire est assurée. La récente hausse des prix internationaux des produits agricoles a redonné une certaine audience aux analyses de Ricardo et de Malthus sur les relations entre la population humaine, l’activité agricole et la nature. En vertu du principe de population qu’ils postulaient – selon lequel les besoins alimentaires de toute population humaine tendent, du fait de la croissance démographique, à augmenter plus vite que les ressources alimentaires à sa disposition – et de la loi des rendements décroissants, Ricardo et Malthus s’accordaient en effet à prévoir, à long terme, une hausse des prix agricoles et, partant, une augmentation de la rente et du salaire, une baisse du profit, toutes tendances qui, inéluctablement, devraient aboutir à « l’état stationnaire ».

Ainsi conçue, l’activité agricole se heurterait aux limites d’une nature avaricieuse qui, par contrecoup, borne l’accumulation du capital, les activités humaines et la population. Terres cultivées et terres cultivables. Inflation alimentaire et banksters. Soutenez moi un peu (oups) [dons] Voila un appel à don, j’en fait régulièrement. Vu que je ne re-trouve pas de travail, que les promesses de contrat des uns sont du vent et ne parlons pas des arnaques sur projets.. Et oui voila.. Ce n’est pas lié à l’actualité judiciaire du moment avec la plainte pour injure publique par M.Le Pen, même si celle-ci peut éventuellement me créer un peu quelques soucis.

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Posted by Rva in Hollandie (more…) Food Freedom Day holds sad message on farming. In case you hadn't noticed, today is Food Freedom Day, the calendar date by which the average Canadian has earned enough to pay their entire year's grocery bill -- and that includes booze. In 2010, the average Canadian spent approximately 11.9 per cent of personal disposable income on food. And even though food prices are skyrocketing around the world, the situation in Canada is unlikely to change a whole lot in the foreseeable future. The country's largest farm group says that's something worth celebrating. "Canadian farmers are proud of their role in providing high-quality food produced to top-level food safety, environmental, and animal-welfare standards," Canadian Federation of Agriculture president Ron Bonnett says in a release. "Food Freedom Day demonstrates the value that Canadian farmers deliver to all Canadians -- not only through quality food, but by supporting one in eight jobs, which in turn translates into vital economic contributions for our rural communities.

Five Questions for…Nick Cullather | Global Food Security. Dr. Nick Cullather writes on the history of development and nation- building. His most recent book, The Hungry World: America’s Cold War Battle against Poverty in Asia, was just published by Harvard University Press. He is the author of two other books, Secret History, a study of the CIA’s overthrow of Guatemala’s government, and Illusions of Influence, on cliental politics in the Philippines. He is associate professor of history at Indiana University. [FPA Q1.] Many see the “green revolution” that occurred in Asia during the 1960s as proof that the science from the developed world could overcome near catastrophe in the developing world, particularly Asia. In your book, you offer a different explanation of the “green revolution.” [NC] After years of drought and scarcity, the spectacular harvest in 1968 turned the food situation around. What turned this situation around was a policy change.

[FPA Q2.] Nation-building is not always good for farmers. [FPA Q3.] [FPA Q4.] [FPA Q5.] Faculty and Research: Department of History: Indiana University. Where Hunger Goes: On the Green Revolution. The term “Green Revolution” is now so firmly entrenched in the history and practice of development that it is easy to forget its haphazard origin. It was coined more as what today we would call an exercise in branding than as part of a good faith effort to soberly describe the agricultural transformation that took place first in Mexico and then in Asia—above all in the Philippines and on the Indian subcontinent—between the late 1940s and the late ’60s. The term was the invention of the administrator of the US Agency for International Development (USAID), William Gaud, who first used it publicly in a speech he delivered to the Society for International Development on March 8, 1968, at the Shoreham Hotel in Washington.

The Green Revolution was not, he said, “a violent Red Revolution like that of the Soviets,” nor was it “a White Revolution like that of the Shah of Iran.” The Hungry WorldAmerica’s Cold War Battle Against Poverty in Asia. About the Author David Rieff Also by the Author. La grande crise alimentaire de 2011. En ce début d’année, le prix du blé a atteint un record historique au Royaume-Uni. Les émeutes de la faim se propagent à travers l’Algérie. La Russie importe des céréales pour nourrir son bétail dans l’attente des pâturages de printemps. L’Inde lutte contre une inflation alimentaire annuelle de 18%, qui suscite nombre de protestations. La Chine pourrait bientôt importer des quantités massives de blé et de maïs. Le gouvernement mexicain achète du maïs à terme pour éviter une hausse démesurée du prix de la tortilla. Le 5 janvier, l’Organisation Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture a annoncé qu’en décembre 2010, l’indice des prix des produits alimentaires avait atteint un record.

Ces dernières années, la hausse du prix des denrées alimentaires était liée aux conditions météorologiques. Publicité La transformation de certaines récoltes en carburant pour automobile est la troisième source principale de la croissance de la demande. Traduit par Jean-Clément Nau Devenez fan sur. News - Goldman Sachs makes $1 billion profit on food price speculation. Crise alimentaire - Comment Wall Street affame le monde - une vidéo Actu et Politique.

UK firms blamed for food price hike. Rising food prices debated in the European Parliament. Quand le FMI fabrique la misère. Comment Goldman Sachs a provoqué la crise alimentaire. Qui joue avec la nourriture. Is Bernanke To Blame For The Rising Global Revolutionary Wave? | zero hedge. Spéculation sur les matières premières : des conséquences limitées sur les prix agricoles. « La PAC permet un coût alimentaire modéré » Un monde à vendre. "La peur alimentaire, défi majeur du 21e siècle !" Blé, cacao, oignon, etc : la flambée des prix alimentaires dans la presse mondiale. How The Crisis In North Africa Could Make The Global Food Situation Even Worse. The 25 Countries Whose Governments Could Get Crushed By Food Price Inflation. Olivier de Schutter : «Vers une nouvelle crise alimentaire» - AGRICULTURE RELATIONS INTERNATIONALES. Désordres agricoles mondiaux. New World Order: Food Price Inflation; House Price Deflation.

World Risks Food Riots as Grains Climb, Economist Chalmin Says.