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Ailleurs en Europe

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Macédoine : l'État mauvais payeur met les entreprises en faillite. Dutch embrace radical left as European dream sours | World news | The Observer. Just over two months ago, the small Dutch community of Almelo woke up to a tragedy that turned out to have national repercussions. On a modest street in a rundown area, Aziz Kara, a 64-year-old Turk, became embroiled in a ferocious argument with his neighbours. When he was struck to the ground, the impact of the blow put him into a coma. Ten days later Kara died of a brain haemorrhage. In normal circumstances, the death would have preoccupied only the local media. But as the Netherlands prepares for its second national election in two years, Kara's case was different. When relatives and the local community organised a silent march through the streets of Almelo, politicians and mourners came from The Hague and across the country. To Wilders's acute discomfort, the man who allegedly beat Kara to the ground was called Henk.

After Kara's death that didn't sound so good. Wilders has since dropped all reference to Henk and Ingrid. On Europe, Roemer has still more to say. Could it happen? AA+, l'honneur perdu de l'Autriche. Dégradée, elle aussi, de AAA à AA+, l’Autriche préfère souligner la situation bien plus périlleuse que la sienne dans laquelle se trouverait la France… "Le président dégradé" (en référence à Nicolas Sarkozy, Ndlr) pour Der Standard, "La décennie perdue de la Grande Nation" pour Die Presse… Après s’être vue elle aussi retirer son AAA, l’Autriche a cherché à détourner rapidement les regards pour canarder la France qui partage avec elle le fait de ne plus faire partie des meilleurs élèves de la classe européenne… L’Allemagne est loin devant, la France est à terre" explique die Presse qui préfère jeter un voile pudique sur la dégradation autrichienne. Mais les Autrichiens ne sont pas dupes. Une administration archaïque C’est notamment le cas de la réforme des retraites.

Cela mobilise inutilement nombre de fonctionnaires et grève le budget de fonctionnement de l'Etat. Piège hongrois note Die Presse. Dégradée, mais sans chômage. Tour de vis sur le crédit à l’Est. Croatie : comme un air de révolution... Lundi, 25 Avril 2011 13:18 Dans un grand silence médiatique, ce petit pays de moins de 5 millions d’habitants est en train de se soulever contre son gouvernement actuel. Le mécontentement des Croates s’accroît de jour en jour, car la situation économique et sociale est particulièrement difficile.

Le taux de chômage atteint 20%, la pauvreté touche un tiers de la population, les dettes de l’État atteignent les 40 milliards de dollars, le PIB connaît une baisse régulière. Face à cette crise, les salariés moyens ne peuvent vivre chaque mois avec leurs seuls revenus : les prix augmentent chaque jour, leur peur pour l’emploi et pour l’avenir s’installe. C’est la révolte. La première manifestation voit le jour en février lorsqu’un millier de personnes se sont rassemblées en face du gouvernement, place Sveti Marko. L’Union démocratique croate (HDZ) est le parti politique le plus important et le plus puissant du pays. (Source : NPA)

Serbie

Suisse. Crise sociale: «l’été israélien» - Sur le boulevard Rothschild à Tel Aviv NIR ELIAS / Reuters - «Le peuple veut plus de justice sociale.» Depuis plusieurs semaines, la jeunesse israélienne n’a que ce slogan à la bouche. La contestation sociale grogne en Israël et la classe moyenne en a marre. Marre de suffoquer sous la cherté de la vie. Alors à l'instar de leurs compatriotes espagnols, les «indignés israéliens» ont planté leur tente dans les plus grands villes du pays. Tout a commencé au mois de juin avec la guerre du «cottage». Publicité Un ras-le-bol général Si les étudiants sont à l'origine de cette mobilisation, elle touche désormais l'ensemble de la classe moyenne: jeunes et anciens, laïcs et religieux (sauf les ultra-orthodoxes), droite, centre et gauche.

Mais les premiers dans la rue sont les médecins. En Israël: tout est plus cher Alors Israël serait-il en pleine révolution sociale? Pour la jeunesse israélienne, le prix à payer aujourd’hui est trop fort. Une économie paradoxalement en plein boom Un «été israélien»? Israeli protests: 430,000 take to streets to demand social justice | World news. Hundreds of thousands of Israelis took to the streets on Saturday night in Israel's biggest ever demonstration to demand social justice, a lower cost of living and a clear government response to the concerns of an increasingly squeezed middle class.

About 430,000 people took part in marches and rallies across the country, according to police. The biggest march was in Tel Aviv, where up to 300,000 took part. There was an unprecedented 50,000-strong protest in Jerusalem, and 40,000 marched in Haifa. There were smaller protests in dozens of other towns and cities. It had been billed as the "march of the million" but organisers said a turnout matching the 300,000-strong demonstrations four weeks ago would be a triumph. Israel's population is 7.7 million. Saturday's demonstrations followed 50 days of protests that have rattled political leaders and led commentators and analysts to ask whether a new social movement would transform Israeli domestic politics for the next generation.

L'économie israélienne va bien, pas la population. Des dizaines de milliers d'Israéliens se sont rassemblés dans la soirée samedi 13 août dans une douzaine de localités du pays pour dénoncer les prix élevés de l'immobilier. C'est la première fois depuis le début du mouvement de contestation sociale il y a un mois que des manifestations se tiennent hors de Tel Aviv et de Jérusalem. Les manifestations commencent à dévoiler un aspect méconnu de l’économie israélienne: des inégalités de plus en plus grandes.

Les louanges ne manquent pas sur une économie dynamique, calquée sur celle de la Californie, au point que la majorité des sociétés préfèrent être cotées au Nasdaq plutôt qu’à la Bourse de Tel-Aviv. publicité La politique économique mise en place par le ministre des finances du gouvernement Sharon en 2003, Benjamin Netanyahou, a donné naissance à une génération d’oligarques née sur le modèle russe. Une grande similitude existe entre la politique israélienne de réformes et la politique de privatisation de Boris Eltsine. Réformes brutales.

Crisis in Cyprus / Chypre

Europe de l'Est. Hongrie. Free at last in Belarus. Pologne. Même les Pays-Bas veulent mettre fin à l’Etat social. Le gouvernement néerlandais vient de prendre des mesures drastiques pour économiser 18 milliards d’euros en quatre ans. Une politique ultra-libérale, totalement assumée, qui met à mal l’État social. Les Pays-Bas ont beau ne pas être dans la situation de la Grèce, de l’Irlande ou du Portugal, le gouvernement a décidé de taper fort pour réduire le déficit budgétaire du pays: alors qu’il avoisine les 5 % du PIB, le premier Ministre, Mark Rutte, a souhaite le ramener à 3 % d’ici quatre ans, afin de remplir de nouveau les critères de Maastricht.

"On ne peut pas faire autrement. La dette du pays augmente chaque jour de 60 millions d’euros. Nous devons nous y attaquer", a-t-il expliqué, essayant de convaincre les 16,6 millions d’habitants qui vont devoir se serrer la ceinture. Les familles des handicapés mises à contribution La "révolution Rutte" s’attaque notamment aux prestations sociales. A lancé la ministre de la santé, Edith Schippers.

Autre secteur dans l'oeil du cyclone: la culture. Le mythe du plein emploi aux Pays-Bas. Avec seulement 5 % de sans-emploi, les Pays-Bas semblent vaccinés contre le chômage. Mais un examen attentif du marché du travail révèle des disparités hommes-femmes très profondes et l'utilisation de l’assurance-maladie pour réduire le nombre de chômeurs. Alors que le chômage atteint des nombres à deux chiffres chez ses voisins européens et qu’il fait des ravages terribles chez les jeunes, les Pays-Bas semblent s’obtiner à faire exception. Le taux de chômage est resté longtemps sous la barre des 5%, quant à celui des jeunes, il est parmi les plus bas d’Europe.

Des économistes érigent les Pays-Bas et le Danemark en modèle, soulignant le fait que le premier "dont le niveau de chômage était parmi les plus élevés en Europe au début des années 1980 (11% en 1983), est parvenu à le réduire radicalement (2,6%), tout en faisant évoluer son modèle social". En est-on si sûr ? Alors les Pays-Bas sont-ils le meilleur élève de la classe ou un tricheur impénitent ? Plus de malades que de chômeurs.

Les Pays-Bas rattrapés, à leur tour, par la crise. Mardi dernier, 13 décembre, le Bureau Central des Statistiques des Pays-Bas publiait un communiqué euphorique: les Pays-Bas, avec un produit intérieur brut par habitant supérieur de 33 % à la moyenne européenne, connaissent un des taux de bien être les plus élevés de l’UE. Seul le Luxembourg, avec ses 160 et quelques pourcent, fait mieux. Gezellig ! (formidable! NDLR). Un cocorico économique peu convaincant pour les Néerlandais. Car ces chiffres sont de ceux de 2010 et, depuis, la crise européenne est passée par là et le moral batave est au plus bas. Avec quelques raisons. Le gouvernement - composé de libéraux du VVD et de chrétiens du CDA, soutenus au parlement par les populistes du PVV - avait annoncé, juste après sa formation en octobre 2010, 18 milliards d’euros d'économies.

Mais voici que Jan Kees de Jager, ministre chrétien des finances, annonce que de nouvelles mesures “sont inévitables. Ces mesures consisteraient en 5 nouveaux milliards d’économies budgétaires. "A vendre" UPDATE 1-Dutch FinMin boosts crisis-fighting steps. The Dutch Ask Their Central Bank: "Where Is Our Gold?" Think Ron Paul is the only person asking questions about the actual gold supposedly backing the currency in circulation. Think again: the "ask your central banker where his gold is" tour just went global after the Dutch the Dutch Socialists Party (SP)’s spokesman for financial affairs, Mr.

Ewout Irrgang, asked the Dutch Secretary of the Treasury 10 detailed questions about the gold supposedly held by the Dutch Central Bank. Questions vary from: where is the gold? Why are gold and gold receivables one line item? How much gold is loaned out? The Questions: 1 Did the Dutch Central Bank (DNB) loan part of their gold? 2 Why are gold and gold loans stated as one line item in the annual report 2010 instead of mentioned as 2 separate items? 3 Can you give an overview of the yearly yields of the gold loans during the past years? 4 Where IS the physical gold of DNB? 5 What was the most important reason for DNB to sell the gold in the past? H/t Paul. Russian Central Bank To Offer Gold-Backed Loans (Or Why The Spam-Standard Is Coming To An End) The spam standard is ending.

In news that is likely about to throw the mouth-foaming Keynesians in for a perpetual loop, the Russian Central Bank has quietly announced the sneakiest gold confiscation ploy in history. Reuters reports: "Russia's central bank will offer gold-backed loans for up to 90 days at an interest rate of 7 percent, it said in a statement on Friday, expanding its lending facilities for dealing with any future liquidity crunch in the banking system. " So let's get this straight: Russia, which has been dumping US bonds with unseen vigor, and which has been buying gold at a record pace, has just offered its citizen the once in a lifetime opportunity to trade in their hard assets for paper in an imploding fiat system, but with promises to make 7% worthless percent.

More: The gold-backed lending was approved by the board of directors at a meeting on Friday. Between Greek default and dodgy Russians.

Denmark

Allemagne. Elections finlandaises 2011.