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Smart City - Toulouse Métropole. Toulouse Métropole a défini en 2015 un schéma directeur Smart City avec l’objectif de construire avec les citoyens la ville intelligente de demain : plus fluide, conviviale, innovante, dynamique, attractive, responsable, durable. La démarche fédère les partenaires publics et privés dans une dynamique collaborative et participative associant les entreprises (grands groupes, PME, start-up), les laboratoires de recherches et les citoyens pour co-construire et expérimenter les services de demain. Toulouse l'Open Métropole, c'est faire de Toulouse une ville moderne plus facile à vivre, plus collaborative. Une ville qui prend le parti des technologies les plus performantes pour faciliter la vie des citoyens et rendre l'action publique plus efficace.

Le schéma directeur Smart City prévoit 500 millions d'euros d'investissement public d'ici 2020 pour faire de Toulouse une "Open Métropole". Les chantiers Les démonstrateurs Le Laboratoire des usages Les expérimentations startups. 20minutes. L’ancien navigateur Yves Parlier a monté Beyond The Sea, une entreprise qui propose de tirer les bateaux avec des kites. I Clean My Sea, une entreprise de Bidart, veut créer une flotte de petits catamarans spécialisés dans le ramassage et le tri du plastique en mer. Ekosea est, elle, la seule plateforme de financement participatif uniquement consacrée à la thématique de l’océan. Depuis l'hôtel du Palais où ils logeront, les grands de ce monde auront une vue imprenable sur l’océan, lors du G7 qui se tient à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques) à partir de ce samedi et jusqu’à lundi.

Associations, entrepreneurs, acteurs locaux, vont tout faire pour que cela ne reste pas qu’un vague souvenir. Surfrider Foundation Europe a ainsi tenu en amont du G7 un « Pavillon Océan », pour formuler des propositions et interpeller les grandes puissances sur l’urgence de la préservation de l’océan. L’utilisation d’un kite peut faire économiser jusqu’à 20 % de gas-oil sur un bateau. Publication Carbone 4 Bertin Secteur maritime. Climat : «Prendre le train doit devenir un acte citoyen»

Tous les jours, retrouvez le fil vert, le rendez-vous environnement de Libération. Aujourd’hui, c’est la règle de trois : trois questions à un acteur de la transition écologique pour décrypter les enjeux environnementaux. Le groupe SNCF a annoncé, le 25 juin, se fixer un objectif d’atteindre zéro émission de gaz à effet de serre et zéro déchet d’ici à 2035. Une première pour une entreprise de transport de cette taille (33,3 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2018).

Sophie Chambon, directrice du développement durable de la SNCF, détaille à Libération leurs actions concrètes prévues pour mener à bien cette ambition. Pourquoi se fixer un objectif de zéro émission pour dans seize ans ? Il se passe actuellement des phénomènes qui nous dépassent, avec l’accélération du dérèglement climatique et les conséquences sanitaires qui en découlent. A lire aussiLes cyclistes commettent moins d’infractions que les automobilistes Quelles émissions de gaz à effet de serre peuvent être éliminées ?

Drawdown. Paul Hawken : «Le réchauffement climatique est une chance. En tout cas, ce n’est pas une malédiction» Illustration animée Simon Bailly Proclamer que le changement c’est maintenant, viser l’inversion de la courbe… Certains s’y sont cassé les dents. Pourtant, c’est bien l’ambition de Paul Hawken. A ceci près que la courbe que cet environnementaliste américain espère infléchir est celle de la concentration de gaz à effet de serre (GES) dans l’atmosphère, qui n’a jamais été aussi élevée. Pour lui, si le changement est possible dès aujourd’hui, c’est parce qu’il y a urgence à agir, mais surtout parce que les solutions sont là.

C’est en tout cas ce que veut montrer Drawdown, comment inverser le cours du réchauffement planétaire (Actes Sud), sorti mercredi. Comptant sur la rationalité des chiffres pour convaincre ses lecteurs qu’une action efficace est possible, Paul Hawken fait défiler les gigatonnes de carbone et les milliards de dollars économisés, en fonction de scénarios plus ou moins ambitieux. Le projet Drawdown (1) n’est ni optimiste ni pessimiste, mais réaliste. Pourquoi ?