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Violences conjugales

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Violences conjugales : « souvent on préfère les subir que de quitter l'homme qu'on aime» Alors que les féminicides se multiplient dans le pays, et que la gendarmerie est gravement mise en cause dans une affaire, le documentaire "Sauve qui peut...l'amour!

Violences conjugales : « souvent on préfère les subir que de quitter l'homme qu'on aime»

" enquête sur le difficile combat des femmes pour s'échapper de la violence et retrouver leur liberté. En moyenne en France une femme meurt tous les deux jours sous les coups de son partenaire ou ex-partenaire Violences physiques mais aussi et surtout psychologiques sont le quotidien de ces femmes. Victime de violences conjugales, mon enfer a commencé quand j'avais 16 ans. Je m’appelle Marie Gervais, j’ai 42 ans et j’ai vécu 8 années de violences conjugales, de 16 à 24 ans.

Victime de violences conjugales, mon enfer a commencé quand j'avais 16 ans

Aujourd'hui, je témoigne pour auféminin et sors un livre : "Il me tue, cet amour". 8 années d’emprise totale et de violences psychologiques, physiques et sexuelles avec "mon premier amour", un garçon de ma classe de Première qui avait mon âge. Thomas venait, comme moi, d’une famille moyenne classique. Hommage aux trois gendarmes tués, début de polémique sur les violences conjugales Libération. Les violences conjugales ne s'arrêtent pas avec l'âge.

Temps de lecture: 6 min Le Grenelle contre les violences conjugales s'est déroulé de septembre à novembre 2019, sous l'impulsion du gouvernement.

Les violences conjugales ne s'arrêtent pas avec l'âge

Cette période a aussi donné lieu à de nombreuses analyses sur le sujet, afin de comprendre les mécanismes de ces violences. Violences conjugales : huit hébergements créés à Pontivy - Pontivy. « Vu d’où l’on part, c’est une très bonne nouvelle ».

Violences conjugales : huit hébergements créés à Pontivy - Pontivy

Patrick Vautier, sous-préfet de Pontivy, sait l’immense bond en avant effectué en cette fin d’année dans le cadre de la lutte contre les violences faites aux femmes sur le territoire pontivyen. En effet, jusqu’à ce mois de décembre, « il n’y avait qu’une seule place d’hébergement d’urgence sur Pontivy », argue le représentant de l’État, qui se réjouit donc de voir ces nouvelles créations issues du Grenelle de la lutte contre les violences faites aux femmes. Précisément, huit places dans la cité napoléonienne et quatre à Ploërmel. Violences faites aux femmes : lutter contre les idées reçues.

Lecture : 3 minutes À l’occasion de la Journée internationale contre les violences faites aux femmes, ce mercredi 25 novembre, l’Espace femmes de Steredenn veut lutter contre les idées reçues, tout au long de la semaine, chiffres à l’appui.

Violences faites aux femmes : lutter contre les idées reçues

Les violences faites aux femmes augmentent pendant le confinement VRAI. "Ma vie a été volée" : les enfants, victimes oubliées des violences conjugales. En cette journée internationale de lutte contre les violences faite aux femmes, mercredi 25 novembre, la prise en charge des enfants de féminicides reste prioritaire, selon les associations.

"Ma vie a été volée" : les enfants, victimes oubliées des violences conjugales

Ces violences font chaque année des dizaines d'orphelins. Selon les chiffres de la Fédération nationale solidarité femme (FNSF), 111 enfants ont perdu leur mère l'an passé, 76 déjà en 2020, et près de 700 en quatre ans, mais la plupart ne font l'objet d'aucun suivi. En Seine-Saint-Denis, un protocole unique en France prend en charge ces victimes. Direction le service pédiatrie de l'hôpital Robert-Ballanger à Aulnay-sous-Bois. Violences envers les femmes : le jour en trop. La forme extrême de ces violences, le féminicide est commis tous les deux jours et demi en moyenne en France (chiffres 2019).

Violences envers les femmes : le jour en trop

Le site d’information Les Jours publie une enquête sur l’Unité d’accompagnement spécialisée du psychotraumatisme (Usap) à l’hôpital Robert-Ballanger d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). L’Usap a vocation à traiter tous types de traumatismes, mais dans les faits, le service accueille essentiellement des femmes victimes de violences conjugales. Le football professionnel lance une tribune contre la violence faites aux femmes. « La tribune contre la violence ».

Le football professionnel lance une tribune contre la violence faites aux femmes

En ce 25 novembre, date de la journée internationale de la lutte contre les violences faites aux femmes, la Ligue de football professionnel (LFP) et l'association Solidarité Femmes se mobilisent à travers une tribune réalisée sous la forme d'un clip audio, encourageant à appeler le 3919, numéro d'urgence consacré. L'instance mère du football professionnel en France a permis de réunir une trentaine de femmes pour enregistrer ce clip. On retrouve notamment les joueuses pros de l'OL, comme Amandine Henry, Wendie Renard, Sarah Bouhaddi ou Amel Majri, ainsi que des joueuses de l'AJ Auxerre ou du RC Strasbourg. Les diffuseurs de la Ligue 1 et de la Ligue 2 ont également contribué avec les voix des journalistes Vanessa Le Moigne (BeIN Sports), Marina Lorenzo (Téléfoot) et Marie Portolano (Canal +). « En 2019, 142 310 personnes ont été victimes de violences conjugales, selon les chiffres du ministère de l'Intérieur, un chiffre en hausse de 16 % sur un an.

« Avec les vivantes », combats de femmes pour stopper les violences - Le Monde. MATHIEU PALAIN INTERROGE LE LIEN ENTRE VIRILITÉ ET VIOLENCE CONJUGALE DANS UN PODCAST SAISISSANT. © Ed Alcock / M.Y.O.P.

MATHIEU PALAIN INTERROGE LE LIEN ENTRE VIRILITÉ ET VIOLENCE CONJUGALE DANS UN PODCAST SAISISSANT

Des hommes violents est un podcast en six épisodes du journaliste Mathieu Palain, réalisé par Cécile Laffon pour France Culture. Il apporte un éclairage rare sur les violences conjugales en tendant son micro à des agresseurs plus ou moins repentis. Mathieu Palain est bien connu du petit monde du journalisme, beaucoup moins de celui du féminisme. Et pour cause, il dit lui-même n’avoir jamais vraiment pris ce sujet au sérieux avant de se lancer sur ce podcast. Violences conjugales : 142310 victimes en 2019, en hausse de 16% sur un an. Pour nous soutenir, acceptez les cookies Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes : Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal, Mettre en correspondance et combiner des sources de données hors ligne, Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit, Relier différents terminaux, Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal.

Violences conjugales : 142310 victimes en 2019, en hausse de 16% sur un an