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Cyberharcèlement : Twitch va utiliser l'IA pour détecter la haine en ligne. La plateforme continue de multiplier les outils pour venir à bout des haters, et notamment des raids haineux qui se font de plus en plus fréquents.

Cyberharcèlement : Twitch va utiliser l'IA pour détecter la haine en ligne

Mardi, la plateforme Twitch a annoncé la mise en place d’un nouvel outil autonome destiné à combattre la prolifération de messages malveillants. Particulièrement sujet aux hate raids depuis quelques mois — notamment pour ses streameurs et streameuses issus de minorités — l’entreprise appartenant à Amazon veut désormais faire appel au machine learning et à l’intelligence artificielle pour venir à bout des trolls. Dans un message posté sur Twitter, la firme explique ainsi, sans le détailler, le fonctionnement de son nouveau système de détection antitrolls : grâce au machine learning, Twitch sera désormais en mesure de savoir quand un utilisateur crée un nouveau compte anonyme pour retourner commenter les chaînes qui les ont bannis.

La plateforme espère ainsi être en mesure d’interdire le retour des haters avant même qu’ils n’agissent. Twitter veut en finir avec les photos non consenties. Le réseau social veut désormais interdire le partage de photos d'utilisateurs sans leur consentement.

Twitter veut en finir avec les photos non consenties

Sur Twitter, les règles en matière de droit à la vie privée sont déjà relativement solides : officiellement, il est interdit de partager des informations personnelles (adresse, nom, numéro de téléphone ou autre), en particulier lorsque ces dernières concernent un tiers. Depuis 2015, l’entreprise a également pris des mesures fortes pour interdire le revenge porn. Désormais, l’ensemble des précautions prises par la plateforme — qui appartient à Parag Agrawal depuis le départ de Jack Dorsey — s’étend à l’ensemble des contenus publiés.

Twitch ajoute un outil pour lutter contre le harcèlement en ligne. Toujours confrontée au problème du harcèlement en ligne, et accusée parfois d’inaction face à la violence de certains utilisateurs, la plate-forme de jeux vidéo Twitch a annoncé, mardi 30 novembre, l’introduction d’un système pour détecter les internautes malveillants qui créent de nouveaux comptes anonymes afin de revenir sur des chaînes qui les ont bannis.

Twitch ajoute un outil pour lutter contre le harcèlement en ligne

Le leader de la diffusion de parties de jeux vidéo en direct peine depuis des mois à endiguer une vague de harcèlement raciste et homophobe, qui consiste en des hate raids – « raids haineux » – contre certains créateurs, notamment des personnes non blanches ou LGBTQ. Lire aussi La plate-forme Twitch victime d’un piratage. Twitter interdit de poster des images d'individus sans leur consentement. YouTube décide de masquer les « Je n’aime pas » sous les vidéos. Après avoir annoncé, à la fin de mars, que certains ne verraient plus le nombre de « Je n’aime pas » sous les vidéos qu’ils regardent, YouTube a annoncé, mercredi 10 novembre, la généralisation d’un dispositif destiné à protéger les créateurs du harcèlement et des attaques ciblées.

YouTube décide de masquer les « Je n’aime pas » sous les vidéos

Le nombre de « Je n’aime pas » sous les vidéos diffusées sur sa plate-forme sera désormais masqué. Les utilisateurs auront toujours la possibilité de cliquer sur le bouton « Je n’aime pas ce contenu », mais ils ne verront plus s’afficher le décompte d’avis négatifs. Tweets antisémites contre Miss Provence : sept prévenus condamnés à des amendes de 300 à 800 euros. Sur Facebook, la visibilité des discours de haine a baissé de 50% Les publications haineuses ne représentent désormais que 0,05% du contenu visible, promet Facebook.

Sur Facebook, la visibilité des discours de haine a baissé de 50%

Face aux récentes révélations des Facebook Files, le réseau social de Mark Zuckerberg fait de son mieux pour se racheter une image, et endiguer les discours de haine sur ses plateformes. Pour contrer les accusations de Frances Haugen, ancienne salariée qui accuse l’entreprise de capitaliser sur sa mauvaise influence sur les plus jeunes, Facebook vient de publier un nouveau billet de blog explicitement intitulé : “La prévalence des discours de haine a chuté de près de 50 % sur Facebook”. TikTok veut bannir les haters de ses lives. La plateforme chinoise veut protéger ses utilisateurs, en leur offrant la possibilité de censurer n’importe quel fauteur de trouble depuis leur live.

TikTok veut bannir les haters de ses lives

Après Instagram et Facebook, TikTok aussi a cédé à l’appel des livestreams. Fatalement, la plateforme doit aussi composer avec les trolls. Facebook renforce la lutte contre le harcèlement sur ses plateformes. TikTok essaie de mieux encadrer les adolescents. Avec Limits, Instagram tente encore de lutter contre le harcèlement. Véritable fléau des réseaux sociaux, le cyber-harcèlement est devenu depuis déjà quelques années la bête noire des plateformes communautaires, qui rivalisent d’imagination pour lutter contre les violences entre internautes.

Avec Limits, Instagram tente encore de lutter contre le harcèlement

Après avoir permis à ses utilisateurs et utilisatrices de lutter contre les cyber-violence grâce à l’utilisation de filtres à mots-clés, Instagram veut désormais permettre aux internautes de faire une pause lorsqu’ils se sentent agressés. Baptisée Limits, la nouvelle fonctionnalité déployée par le réseau social permet ainsi de verrouiller un compte afin de limiter ses interactions avec l’extérieur.

Bien décidé à éradiquer les discours de haine sur sa plateforme, Instagram espère ainsi offrir à ses utilisateurs un peu plus de contrôle sur leur vie numérique. Facebook: nouveau logiciel d'intelligence artificielle pour contrôler les contenus douteux. Instagram lance une nouvelle fonctionnalité pour lutter contre le cyber-harcèlement. Accueil » apps » Instagram lance une nouvelle fonctionnalité pour lutter contre le cyber-harcèlement Le réseau social veut permettre à ses utilisateurs de profiter d’un espace plus safe, notamment grâce à son nouvel outil Mots Masqués.

Instagram lance une nouvelle fonctionnalité pour lutter contre le cyber-harcèlement

Instagram a annoncé aujourd’hui l’arrivée d’une nouvelle fonctionnalité destinée à poursuivre les efforts de l’entreprise dans la lutte contre le cyberharcèlement. Baptisé Mots Masqués, cet outil inédit permettra bientôt de filtrer automatiquement les demandes de messages directs jugés abusifs. Si jusqu’à présent, les DM échappaient au contrôle automatique d’Instagram pour des raisons de confidentialité, la plateforme va prochainement déployer la possibilité pour les utilisateurs de définir une liste noire de mots, phrases ou emojis, qui seront directement filtrés et placés dans un dossier masqué à part, qu’il sera tout de même possible de consulter si besoin. TikTok déploie deux nouveaux outils pour modérer les commentaires. Accueil » apps » TikTok déploie deux nouvelles fonctionnalités pour modérer les commentaires La plateforme vient d’annoncer que deux nouvelles fonctionnalités dédiées aux commentaires, et visant à “favoriser le respect et la bienveillance” ont d’ores et déjà été déployées.

TikTok déploie deux nouveaux outils pour modérer les commentaires

TikTok continue sa croisade pour promouvoir un Internet plus sûr. Le réseau social préféré des jeunes a présenté hier deux nouvelles fonctionnalités destinées à favoriser les échanges bienveillants entre les utilisateurs. Instagram va sanctionner plus sévèrement les discours haineux. Instagram ne laissera aucun répit aux utilisateurs qui partagent des messages haineux sur sa plateforme.

Instagram va sanctionner plus sévèrement les discours haineux

La filiale de Facebook vient d’annoncer qu’elle renforçait ses mesures pour empêcher ce genre de contenus d’être diffusé. Un jour seulement après le Safer Internet Day, une journée consacrée à un Internet plus sûr pour tous, Instagram dévoilait sa nouvelle politique de lutte contre les abus sur sa plateforme. TikTok met à jour sa politique contre le harcèlement en ligne.

La plateforme chinoise, qui a pour vocation de devenir un véritable « safe space » pour ses utilisateurs, a annoncé avoir mis à jour son règlement communautaire dans le but de réprimer plus durement le harcèlement et l’intimidation sur son réseau. Devenu en quelques mois le réseau social préféré des jeunes, TikTok n’échappe évidemment pas aux problèmes de harcèlement et de comportements toxiques en ligne. Pour remédier à cet épineux problème, la plateforme chinoise a donc décidé de prendre les devants. Après avoir mis en place un directoire composé d’experts externes, l’entreprise a finalement présenté une version mise à jour et augmentée de sa politique communautaire. Des nouvelles règles qui viennent compléter, mais surtout renforcer le règlement existant, rapporte un porte-parole de TikTok au site Enagdget. Twitch durcit sa politique contre le harcèlement. Dans la poursuite du durcissement de sa politique de modération, la plate-forme de vidéo en direct Twitch a annoncé, mercredi 16 décembre, qu’elle n’autoriserait plus l’utilisation de certains mots dans son écosystème.

Les termes comme « puceau », « simp » (nom donné à un homme supposément désespéré d’attirer l’attention d’une femme sur Twitch) ou « incel » (un nom donné à des hommes reprochant violemment aux femmes leur célibat) ne pourront ainsi plus être utilisés par les vidéastes ou par les spectateurs dans les commentaires en direct accompagnant les diffusions. Ces trois mots ne seront pas interdits dans toutes les situations, a précisé Sara Clemens, la présidente directrice générale de Twitch, dans une vidéo diffusée sur la plate-forme. « Nous prendrons des mesures contre l’utilisation de ces termes, en particulier lorsqu’ils sont utilisés pour désigner négativement les pratiques sexuelles d’une autre personne. «Quatre milliards de messages de haine postés chaque jour» sur Facebook. Jean-Marc Royer, fondateur de Netino by Webhelp, leader de la modération en France, revient sur l’augmentation de la haine en ligne, antisémitisme inclus.

Y a-t-il une augmentation de la haine en ligne ? Oui. Chaque mois, nous éditons le panorama de la haine en ligne. Les faux avis de recherche sur le Net, nouvelle technique pour localiser ou « stalker » des inconnus ? De nombreux messages publiés par des internautes alertent sur une nouvelle technique mise en place par des gens malintentionnés pour localiser ou « stalker » des personnes. « Je suis tombée sur un avis de recherche avec une photo de moi (…) Un homme se faisant passer pour mon père expliquait que j’avais fugué », raconte Cindy*, étudiante en licence. « Il faut arrêter de retweeter des avis de recherche ne provenant pas des forces de l’ordre », explique l’association Enfants disparus.

Pour la plateforme cybermalveillance.gouv.fr, ces pratiques relèvent du cyberharcèlement. Elle incite les victimes de ces actes malveillants à effectuer un signalement sur Pharos et à aller porter plainte. Cette « technique » consiste à poster un message avec la photo de la personne ciblée sur les réseaux sociaux en déclarant être un proche en quête d’informations à la suite d’une soi-disant disparition et en faisant appel à la solidarité des internautes. Handicap : TikTok admet avoir masqué des vidéos pour "éviter le cyberharcèlement" C’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Après avoir reconnu avoir suspendu "par erreur humaine" la vidéo de l’adolescente américaine Feroza Aziz dans laquelle elle dénonçait le sort réservé au peuple Ouïgour par les autorités chinoises dans la région du Xinjiang, TikTok est accusé d’avoir mis en place une politique de modération, plutôt douteuse, "pour éviter le cyberharcèlement".

Selon le média allemand Netzpolitik, qui s’était procuré des documents officiels, l’application star des ados aurait limiter la portée des vidéos publiées par des utilisateur.trice.s en situation de handicap. Pour "limiter les commentaires discriminatoires et le harcèlement en ligne", elle a longtemps déployé une politique de modération limitant la visibilité des contenus postés par des personnes en situation de handicap, alors catégorisées comme "susceptibles d’être harcelées ou cyberharcelées en raison de leur état physique ou mental".

“Les cyberharceleurs, ce sont les copains du collège” - France 3 Normandie. «Affaire Mila: prétend-on créer un délit de blasphème dans le droit français?» Cyber-harcèlement : les bons réflexes à adopter. Affaire Mila : trois adolescents mis en examen. YouTube introduit une fonctionnalité pour limiter les commentaires toxiques.