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HADOPI : attention chérie, ça va spammer… ou pas. A la dure vie d’Hadopi. [qcm] Q 1. Hadopi, c’est quoi ? P1 Un marsupial qui a donné son nom à la loi contre le téléchargement illégal P2 La Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet | Oui, mais le «Heu…» était aussi valable. P3 «Heu…» (Frédéric Mitterrand au Grand Journal de Canal +) | Oui, aussi. Q 2. P1 Ils sont partis le 21 juin, comme Frédéric Mitterrand l’avait dit P2 C’est pour le 1er septembre P3 On ne sait pas Q 3. P1 L’Assemblée nationale l’a rejetée en avril 2009 | Les deux autres propositions sont aussi exactes P2 Pierre Arditi l’a soutenue en mai 2009 | Les deux autres propositions sont aussi exactes P3 Le Conseil constitutionnel l’a censurée en juin 2009 | Les deux autres propositions sont aussi exactes Q 4. P1 Il est blanc sur fond blanc et on ne voit rien P2 Le «o» rouge au milieu ressemble à s’y méprendre à un nez de clown | La réponse 3 est aussi valable Q 5.

Q 6. P1 ...ne fonctionne que sur Mac. P2 …coûte 1 500 euros. P3 …n’existe pas. Q 7. P1 Michel Blanc Q 8. Le scandale des sites gouvernementaux qui se négligent. Vous m’avez, moi comme d’autres, souvent entendu pester sur le stupide délit de négligence caractérisée et l’obligation légale faite à l’internaute de sécuriser une belle abstraction légale : « la connexion Internet». Comme sur Internet plus qu’ailleurs, niveau sécurité, les conseilleurs sont rarement les payeurs, nous avons décidé, avec Paul Da Silva et Paul Rascagneres (RootBSD), d’aller jeter un oeil sur le pas de la porte des conseilleurs… comme on s’en doutait : c’est moche. Nous pourrions vous dire que nous avons été surpris… mais soyons sérieux, nous ne l’avons pas été le moins du monde. Dans le titre, comme vous le constatez, j’emploie le terme un peu fort de scandale. Je vous dois une explication là dessus.

Ce que le texte d’HADOPI appelle pudiquement le manque de diligence à sécuriser son accès doit il être appliqué aux internautes ? Rentrons dans le vif du sujet A l’attaque ! Le XSS ? Le LFI ? La liste ! Ce qui est montrable car corrigé : LFI Service Public. Hadopi : selon Éric Walter, le sujet de son salaire est secondaire. Éric Walter avait estimé « un peu hypocrite » le débat sur les moyens de sécurisation (voir cependant notre liste). Interrogé par les Échos, le même secrétaire général de la Hadopi, ex-monsieur Tic de Nicolas Sarkozy, estime maintenant que la question de ses revenus au sein de la Hadopi n’est pas le sujet de première importance. « Le montant dont on a parlé [180.000 euros brut annuel, NDLR] n'est pas mon salaire, mais le plafond maximal au-delà duquel je ne peux être rémunéré. Je ne suis pas certain que mon salaire soit un sujet de première importance. » Une question d’angle.

On se souvient que la présidente de la Hadopi s’était curieusement mise en colère lorsqu’un journaliste lui avait demandé le montant de cette rémunération. Le web 2.0 est mort, fini l’adolescence | Guillaume-Nicolas MEYER. C’est dans les bacs, les spécialistes le savent… le web 2.0 est mort ou en passe de l’être… Pour autant, a t-il jamais existé ?

On nous rabâche les oreilles depuis 2005 de ce web 2.0 et il y a toujours autant de gens qui disent n’importe quoi. « Oui, le web 2.0 c’est les nouvelles technologies ! » Faux ! Les technologies n’ont pas évoluées, c’est juste leur usage qui a changé. Ce qui fait que bien vite des experts se sont posés la question suivante : Phénomène réel reposant sur un changement technologique et une rupture d’échelle liée la croissance du nombre d’utilisateurs ou récupération marketing de technologies anciennes rafraichies par un nouvel engouement public ? Hors les premiers à nous en parler, comme Fred Cavazza conclut aujourdh’ui : Oui il y a bien eu des grands tournants mais les fondamentaux de l’internet de 2010 étaient déjà présents en 2000. Hors donc, le web à évoluer, oui, et il va continuer à le faire.

Pour le web, c’est pareil. Prenons le cas de Facebook ou de Twitter. « Ce gouvernement est vraiment devenu orwellien  Les Français hostiles aux contenus web payants. La faute au myth. Selon les conclusions d'une étude menée par GfK Custom Research, les internautes français ne sont toujours pas disposés à consommer des contenus web payants. Une situation d'autant plus paradoxale que l'Internet a désormais pris une place très importante. Pas moins de 75 % des sondés ont affirmé se connecter tous les jours, tandis que 54 % considèrent que le réseau des réseaux a un impact positif pour la société. Et une écrasante majorité (89 %) souhaite que les contenus et les informations restent gratuits sur la toile. Pourquoi une telle opposition aux contenus payants ? "Là où d'autres pays, USA et Europe du Nord en tête, ont su expliquer à leurs opinions publiques que Internet était un nouvel accès à l'information et aux contenus, mais pas un nouvel écosystème, la France n'a pas su faire passer le message à ses internautes.

Paradoxal l'internaute français ? Une situation qui n'est pas pour autant insoluble. Hadopi accélère le piratage en France - Freenews : L'actualité d. Une étude menée par l’université de Rennes démontre que les internautes, loin d’avoir peur de la sanction, piratent plus d’œuvres protégées depuis l’adoption de la loi dite Hadopi. Cette dernière serait même carrément contre-productive, puisque les pirates en tout genre apprendraient à contourner les mesures de surveillance mises en place, en évitant les réseaux P2P, et en privilégiant le streaming et le direct download... afin de télécharger illégalement en toute impunité.

L’étude, menée auprès d’un échantillon représentatif de 2000 personnes dans la région Bretagne, met en évidence une augmentation globale du nombre du pirates (+3% depuis l’adoption de la Hadopi, en septembre dernier). Ces vilains téléchargeurs seraient d’ailleurs, comme l’ont déjà démontré d’autres études, les plus gros consommateurs de biens culturels légaux, par ailleurs. Près de 47% des utilisateurs de P2P déclarent consommer du contenu acheté en ligne, contre seulement 17% chez les non-pirates. Hadopi – La France doit avoir peur. Ce week end, j'avais commencé un petit article "résumé" sur Hadopi puis je suis tombé sur celui de 01net qui reprend bien tous les points et qui je pense devrait vous intéresser. Pour résumer le résumé, voici ce qu'on sait aujourd'hui : Les mails devraient partir en septembre (après avoir été annoncés pour fin juin)Seul le p2p sera concerné. Le direct download et les newsgroups, c'est pas encore pour tout de suiteTMG compte balancer 50 000 cas de téléchargement illégal par jour (woooh)Seedfuck qui consiste à injecter des fausses ip dans les réseaux p2p sera inutile car TMG (la boite qui collecte les IPs) devra initier une connexion et commencer à télécharger des bouts de fichiers chez les partageurs du dimanche.

Ces bouts de fichiers seront conservés comme preuve.10 000 oeuvres (audio) et une centaine de vidéos seront surveillées sur les réseaux p2p. 5000 daubes récentes et 5000 trucs plus classiques (goldman, sardou, lorie et j'en passe...). Bon, ça c'est pour Hadopi... [Photo] Hadopi prête à frapper... mais pas si fort que ça. Ca y est, "l'Hadopi devient opérationnelle, le travail préparatoire se termine" a déclaré Marie-Françoise Marais en préambule d'une conférence de presse lundi 28 juin. La présidente de la Haute Autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur internet a fait le point sur l'état d'avancement des travaux, et indiqué que l'Hadopi serait prête à lancer son action dès que le décret relatif à la procédure applicable devant la Commission de protection des droits (CPD), qui fixe les règles applicables à l'instruction des dossiers, serait publié au Journal Officiel.

Ce qui serait imminent. Mais lorsqu'il s'agit d'expliquer concrètement comment elle gèrera les milliers de saisines quotidiennes des ayants-droit, elle marche sur des oeufs, reconnaissant elle-même la complexité du dispositif. Décrets débloqués Deux décisions importantes pour la mise en route de l'Hadopi ont été rendues ce mois ci. Une infraction "extrêmement complexe et subtile" "Tout sauf un radar automatique" Frédéric Mitterrand : « ça marche très bien Hadopi ! » Frédéric Mitterrand était l’invité samedi de l’émission Mediabolique sur France Inter. Le ministre de la Culture a évidemment été interrogé sur l’avancement des lois Hadopi 1 et 2.

On peut écouter ce passage via ce fichier après la 36e minute. Au journaliste qui lui signale qu’Hadopi a « l’apparence d’une usine à gaz », le ministre rétorque : « pas du tout, pas du tout, ça marche très bien Hadopi ! » Un comble alors que les frais s'envolent, et que le ministère de la Culture et celui de la Justice n’ont toujours pas publié le décret d’application sur la procédure devant la Commission des droits, nécessaires au lancement de cette fabrique à messages d’avertissement. « C’est extraordinaire : beaucoup de gens étaient contre Hadopi -on peut très bien comprendre leurs interrogations – alors maintenant tout le monde dit alors quand est-ce que vous allez envoyer les mails ?»

« À partir de septembre, ne vous inquiétez pas, vous en recevrez [des messages] » plaisante le ministre. Olivennes avait négocié la création de l'Hadopi "pour son pays" Il y a trois ans, lorsqu'il était encore le patron de la FNAC, Denis Olivennes avait été désigné par Nicolas Sarkozy pour mettre fin au jeunisme, et élaborer les accords de l'Elysée sur la lutte contre le piratage. Il ne faisait aucun doute dès sa désignation que le Président de la République lui demandait de raviver la riposte graduée, qu'il avait lui-même imaginée lors de la loi DADVSI en opposition à la licence globale, mais qui fut censurée par le Conseil constitutionnel. Christine Albanel avait déclaré plusieurs mois avant les travaux de Denis Olivennes que "la solution de la riposte graduée est aujourd'hui celle du bon sens".

Dans la lettre qui lui était adressée pour encadrer la "mission Olivennes", Nicolas Sarkozy demandait à la ministre de "conclure un accord interprofessionnel permettant de dissuader efficacement et de réprimer la contrefaçon de masse". Trois ans plus tard, la loi Hadopi a été adoptée, plusieurs décrets ont été publiés, mais rien n'a encore été concrétisé. L'Hadopi dévoile son fonctionnement... sans explications.

Cette journée devait être celle des explications et des motivations de la loi Hadopi. Entre les flous juridiques et les délits punissables, il y avait pourtant beaucoup à dire. C'est donc devant un parterre de journalistes déçus que la haute autorité a dévoilé son fonctionnement. Explications. Juridiquement l'Hadopi ne fonctionnera que sur le délit de défaut de sécurisation de sa connexion Internet (un délit pénal). La présidente de l'Hadopi, Marie-Françoise Marais rappelle : « le titulaire d'un droit d'accès à Internet a la responsabilité de veiller à ce que son accès ne fasse pas l'objet d'une utilisation qui porte atteinte à un droit de propriété littéraire ou artistique ». Cette utilisation « interdite » s'avère donc être le P2P. Chaque internaute va donc devoir veiller à bien sécuriser ses accès.

Par extension, puisqu'aucune mesure concrète de sécurisation n'existe encore, on peut donc penser qu'une simple clé Wep pourrait donc faire office de verrou « approuvé ». Hadopi : l'arrêt du pillage d'abord, le développement de l'offre légale ensuite - Numerama. La pédagogie made in HADOPI. « La liberté d’utiliser Internet ne constitue pas un droit absolu » (SNEP) at The Internets. La loi Hadopi et le piratage au bureau, ce qu’il faut savoir! Vous pouvez casser des DRM si ça n’est pas pour violer le droit d’auteur, selon un juge fédéral US at The Internets.

The Internets flux & contenux [->] Vous pouvez casser des DRM si ça n’est pas pour violer le droit d’auteur, selon un juge fédéral US Laissez un commentaire A lire sur : Federal judge says you can break DRM if you’re not doing so to infringe copyright (Boing Boing) Et sur : Court Backs Dismissal of Digital Copyright Claim (Courthouse News) Par Astrid Girardeau 26 juillet 2010 à 9:15 Dans [->] Tag : DMCA , DRM , Droit d'auteur , Etats-Unis , Justice , propriété intellectuelle « [->] The War Logs [Actu] NKM repose la question de la durée de prescription pour diffamation sur Internet » The Internets sur Twitter Owni [->] La Loppsi à l’Assemblée nationale en deuxième lecture en novembre (maj) [->] Bruce Schneier on Cyberwar [Etc.]

[ExPress] ACTA : Un « presque » accord [Dixit] « Orange milite pour une industrie du bug Français ? [ExPress] Homage or fromage ? [->] Une application BitTorrent sur l’App Store [ExPress] Hadopi vs Crypto [ExPress] Neutralité du net, réseau NGN, DPI, etc. [Etc.] Catégories [Actu] (51) I'll be blog » Blog Archive » Avatar bouleversé par Hadopi. Home Contact I'll be blog Pour quelques images de plus Oula. Faute de frappe, ou article inconnu ! Recherche I’ll be blog ? IBB n'est pas (ou est, c'est selon) un énième blog ciné. Merci pour votre visite, n'hésitez pas à vous exprimer sur le contenu, et bonne lecture ! Tags 3D box office chiffre de la semaine cinéma français Coup de coeur Disney Etude insolite oscars 2010 Paramount Promo Top Twitter VOD Web social Les plus commentés Top 10 des réalisateurs américains en exercice (33 comments) How I Met Your Blogger (29 comments) La 3D : technologie éternellement émergente ?

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Avril 2005 : la SCPP, la SDRM et la SACEM(*) déposent une double demande d'autorisation à la CNIL visant l'envoi de messages d'avertissements pédagogiques et la collecte d'adresses IP en vue de la répression. 2. Octobre 2005 : La CNIL rejette en bloc cette double demande, elle juge notamment le volet répressif disproportionné. 3. Mai 2007: le Conseil d'État, juge administratif, confirme le rejet du volet pédagogique, mais désavoue la CNIL sur le volet répressif : à contrefaçon de masse, réaction de masse. 4. Novembre 2007 : nouvelles demandes de la SCPP, Sacem, et la SPPF sur le volet répressif. Seul le P2P est surveillé 25 000 constats pour la musique, 25 000 pour le cinéma, chaque jour Pour la musique, il y aura « 25 000 constats par jour ». Hadopi, les pirates, ce n'est pas son problème | slate.

Au départ, ce devait être une réunion privée, une petite conférence de presse entre initiés lundi 3 mai pour présenter l'organisation de la toute nouvelle Hadopi. Mais la rencontre «intime» réservée à quatre médias triés sur le volet (dont Slate) a fuité sur Twitter et devant le tollé soulevé par ces invitations très privées, la Haute Autorité a fini par accepter tous les journalistes demandeurs.

Encore fallait-il savoir que la conf' était finalement ouverte et pas réservée à «un quotidien national, un quotidien régional, un hebdo et un webzine» comme prévu. Seuls les journalistes technophiles présents sur Twitter étaient au courant... du coup la Hadopi a dû affronter un aréopage de journalistes farouchement anti-Hadopi. «FAIL», comme on dit sur Internet. Comment affronter cette assemblée hostile? Publicité 50 à 70 agents Les membres de la Hadopi n'ont pas annoncé clairement quand seraient envoyés les premiers mails d'avertissement aux internautes.

On en revient à la mamie du Gers. Hadopi comme modèle pour lutter contre l'absentéisme scolaire ? - Numerama. Succès d'Hadopi ? Hausse possible de la taxe pour copie privée - L’Hadopi demeure dans le flou. Hadopi (presque) en ordre de marche. Livre Numérique et HADOPI : Christine Albanel multiplie les bugs. Hadopi : greffé à un PDF ou automatisé, Seedfuck accélère ses mu.

UE : la directive e-commerce révisée, un tremplin vers ACTA. Rapidshare et Megaupload, les McDo du téléchargement. L'Hadopi prolonge sa consultation publique mais choisit son public - Numerama. Hadopi est efficace (pour les formateurs et les éditeurs) Hadopi est "une chance pour la liberté sur Internet" - Numerama.