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Divers à classer

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IDéNum : le gouvernement lance un label pour s'identifier en lig. Nathalie Kosciusko-Morizet a donné ce matin le coup d'envoi au label IdéNum (Identité Numérique), resté jusque là secrètement préparé par les services de la secrétaire d'Etat à l'économie numérique. Il s'agit d'offrir aux internautes le moyen de s'identifier en ligne sur différents services obéissant au même standard d'identification, grâce à un code PIN unique associé à un certificat matérialisé sur différents supports possibles (clé USB, carte à puce, téléphone mobile).

L'idée est de garantir aux prestataires l'identité de celui qui cherche à se connecter à un service, qu'il soit privé (consultation de factures, comptes en banque, journaux payants, e-mail, réseaux sociaux...), ou public (impôts, CAF, sécurité sociale, ...). Plutôt que de délivrer un certificat de manière centralisée, l'Etat va déléguer la délivrance des certificats à différents prestataires, qui devront avoir reçu une homologation selon des critères définis par décret.

Rien ne sera obligatoire. Julian Assange, fondateur de WikiLeaks, vit à moitié caché | Rue. Gêné par la mise en ligne de documents confidentiels sur WikiLeaks, le Pentagone veut entendre Assange, qui reste sur ses gardes. Il avait déjà le nom et la tête d’angelot d’un héros de roman d’espionnage, il en goûte désormais le mode de vie. L’Australien Julian Assange, ex-hacker, fondateur du site d’information WikiLeaks qui encourage les fuites de documents confidentiels, vit dans l’ombre depuis plusieurs semaines.

Assange affirme qu’il n’a pas peur, mais il passe sa vie sur ses gardes. Car les services américains aimeraient bien l’entendre sur les informations qu’il a obtenues. Particulièrement cette vidéo montrant un hélicoptère américain, en 2008 à Badgad, en train de tuer des civils et deux journalistes de Reuters, ainsi qu’une autre, qui n’a pas encore été diffusée, et qui serait pire encore. Assange a décidé de disparaître du paysage lorsqu’un jeune soldat des services de renseignements militaires américains a été mis aux arrêts en Irak. « Je veux juste que ces trucs sortent »

L'affaire Bettencourt, un nouveau vivier pour les déclarations a. L’affaire Bettencourt, qui englue Éric Woerth, Nicolas Sarkozy et même tout le groupe UMP, est une nouvelle occasion pour jeter le discrédit sur « Internet ». La technique a la saveur du réchauffé : plutôt que faire face aux responsabilités, on stigmatise l’outil (Internet, via Mediapart), en se drapant derrière l’effroi, tout en espérant diviser l’opinion vers d’autres questionnements loin du sujet principal.

Du bruit parasite. Pointant nos confrères de Mediapart, Nadine Morano, fidèle au poste, dénonce ainsi les « méthodes fascistes de sites internet », une « espèce de collusion médiatico-politico-trotskyste qui essaie de jeter l'honneur d'Éric Woerth » (le Post). Pour l’ex-motard Christan Estrosi, Mediapart est « ce fameux site qui me rappelle une certaine presse des années 30 » (Le Point).

Un long inventaire de déclarations anti-net Nous avions dressé un inventaire des déclarations anti-net lors de l’affaire Hortefeux (le dérapage du ministre de l’Intérieur sur les Auvergnats). Google également accusé de trop protéger les internautes - Numer. Depuis quelques semaines, Google a mis en place le chiffrement des recherches web, afin de renforcer davantage la confidentialité et la sécurité des internautes. Pour cela, la firme de Mountain View fait transiter les requêtes via un serveur SSL, privant ainsi des tiers d'un certain nombre d'informations.

Le chiffrement SSL n'est certes pas parfait. D'une part parce que Google aura toujours accès aux données de connexion et à l'historique de recherche, empêchant l'internaute d'avoir accès à un anonymat complet, et d'autre part parce que certaines attaques informatiques élaborées permettent de contourner cette protection. Ceci étant, cette solution a tendance à être un bon compromis. Preuve en est, la firme utilise déjà cette technologie sur certains de ses services, comme la messagerie web. Or selon Slashdot, la politique de Google ne fait pas l'unanimité. De plus en plus d'institutions s'opposeraient au chiffrement SSL mis en place par la firme de Mountain View. Less Than 1 Year Until The Internet Runs Out of Addresses. The Internet will run out of Internet addresses in about 1 year's time, we were told today by John Curran, President and CEO of the American Registry for Internet Numbers (ARIN). The same thing was also stated recently by Vint Cerf, Google's Chief Internet Evangelist.

The main reason for the concern? There's an explosion of data about to happen to the Web - thanks largely to sensor data, smart grids, RFID and other Internet of Things data. Other reasons include the increase in mobile devices connecting to the Internet and the annual growth in user-generated content on the Web. IPv4 countdown on Twitter - less than a year to go before IPv4 addresses run out... Why a New Internet Protocol is Needed Currently the Web largely uses IPv4, Internet Protocol version 4. This is largely an issue that ISP (Internet Service Providers) and telecoms carriers need to deal with. This transition is happening "slowly," says Curran.

Google, Facebook & Others Making Good Progress Another Y2K? La députée UMP Marland-Militello veut réguler la liberté de la p. Ceux qui ont suivi les débats sur la loi Hadopi se souviennent que de sa voix haut perchée, la députée UMP a parfois égayé les soirées tristes où l'on voyait jour après jour un Parlement aux ordres voter une loi inadmissible qui allait être jugée inconstitutionnelle, car attentatoire à la présomption d'innocence et à la liberté d'expression. Dans la torpeur des débats, l'élue des Alpes-Maritimes nous a souvent permis de rire, tant sa défense de la loi Hadopi était caricaturale et d'une mauvaise foi patente.

"Le terrorisme cybernétique ne gagnera pas", avait-elle un jour déclaré alors que le site de propagande Jaimelesartistes.fr venait de subir une attaque DDOS. "Ce qui compte en démocratie ce ne sont pas les internautes, ce sont les concitoyens", avait-elle ajouté lorsque son blog a été submergé de visites et de commentaires, et qu'elle a cru être elle-même victime d'attaques de vilains hackers.

Mais la Justice, elle, a déjà tranché en ce qui concerne Mediapart.