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Diaspora

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Diaspora commence à s'ouvrir aux internautes, sur invitation. Diaspora truffé de failles de sécurité. Oui, et alors ? Il y a pire. Une partie de la presse se fait l'écho en ce début de semaine des nombreuses failles de sécurité découvertes dans le code source de Diaspora, l'alternative libre, open-source, gratuite et décentralisée de Facebook. Certains hackers ont en effet révélé l'existence d'importantes malfaçons dans la conception du code, qui permettent en particulier l'exploitation de failles XSS. Grâce à l'injection de codes par les formulaires, il serait ainsi possible de détourner des comptes utilisateurs, de supprimer des photos, d'ajouter des amis sans leur consentement, etc. Très bien. Et alors ? L'équipe fondatrice du projet a publié une première version du code, uniquement destinée aux développeurs, justement pour qu'ils puissent repérer ces failles et améliorer notamment la sécurité des données, avant la mise en ligne d'une première publique destinée aux utilisateurs.

On ne peut pas critiquer Diaspora sans prendre en compte la spécificité de son développement et sa génèse. Diaspora publie le code source de son Facebook libre. Chose promise, chose faite. Né comme une simple idée au mois de mai et rapidement financé par un afflux sans précédent de dons de ses futurs utilisateurs, le projet Diaspora est désormais réalité. Mercredi soir, l'équipe de Diaspora a publié la toute première version publique du code source du réseau social à la Facebook, basé sur des logiciels libres et qui laisse surtout à l'utilisateur le contrôle de ses propres données.

"A partir de maintenant, nous allons travailler étroitement avec la communauté pour améliorer et solidifier Diaspora", indiquent les promoteurs. Comme Facebook, Diaspora permet aux utilisateurs de créer un profil, de communiquer par des "murs" de messages, ou de poster des photos et d'en partager entre amis. Mais contrairement au site de Mark Zuckerberg, Diaspora n'est pas un service en ligne centralisé où toutes les données sont hébergées à distance dans des batteries de serveurs. Pour le moment, le graphisme et les fonctionnalités sont bien sûr limités.

Facebook-alternative Diaspora set to launch in three weeks. Diaspora, the open-sourced Facebook alternative initiated by four New York University students, will be launching in three weeks, its creators announced in a blog post today. The project garnered a large amount of press back in May when it raised over $200,000 on the social pledging site Kickstarter based solely on the idea of building a “personally controlled, do-it-all, distributed open source social network.” In other words: the anti-Facebook social network. At a time when Facebook’s privacy concerns were the topic of the moment, many rallied behind Diaspora’s untainted ambition and pledged a donation, including Facebook’s own Mark Zuckerberg, who compared the idea to Facebook’s early peer-to-peer sister project, Wirehog.

“I think it’s a cool idea,” Zuckerberg said in a Wired interview. While Diaspora may be on its way to making a viable alternative in terms of the product, it still has hurdles to cross when it comes to user adoption. Decentralize the web with Diaspora. We're fully funded! Check out some of the other great projects on Kickstarter Diaspora - the privacy aware, personally controlled, do-it-all distributed open source social network We are four talented young programmers from NYU’s Courant Institute trying to raise money so we can spend the summer building Diaspora; an open source personal web server that will put individuals in control of their data.

What is it? Enter your Diaspora “seed,” a personal web server that stores all of your information and shares it with your friends. For a little more detailed explanation, checkout this blog post. What is the project about? We believe that privacy and connectedness do not have to be mutually exclusive. Why are we building it? This February, Eben Moglen, Columbia law professor and author of the latest GPL, gave a talk on Internet privacy. But why is centralization so much more convenient, even in an age where relatively powerful computers are ubiquitous? Why do we need money? Our Promise. Diaspora et Movim, des alternatives à Facebook? Depuis quelques jours, ils commencent à susciter des adeptes sur la Toile.

Simple buzz ou alternatives solides à Facebook, qui n’en finit pas d’être décrié pour sa gestion assez particulière des données perso des internautes et ses problèmes de sécurité. Diaspora, un projet d’étudiants new-yorkais Le projet Diaspora, monté par quatre étudiants de l’Université de New York, vise à proposer un réseau alternatif à Facebook, comme le dévoile le New York Times. Présenté par ses initiateurs comme un réseau décentralisé au code ouvert, Diaspora permettrait à tout internaute de créer son propre serveur, dont il maîtriserait les données. Contrairement à Facebook, qui fonctionne avec des milliers de serveurs centralisés. Ici, la confidentialité des informations échangées serait garantie par cryptage, et Diaspora promet aux futurs utilisateurs «un contrôle total» sur leurs informations personnelles, comme ils le précisent dans leur vidéo de présentation . Appel à souscriptions Movim, le projet français.

Join diaspora. Is There Life After Facebook? - Bits Blog. David Goldman for The New York Times A group of New York University students are working on a project called Diaspora*, which they hope could provide an alternative for people who want to delete their Facebook accounts. Deanna Zandt has spent the last three years explaining to people why they should join Facebook and the last week wrestling with the urge to delete her own account. “It’s getting harder and harder for me to say, yes it’s worth it, you giving up your privacy to get these services, and I have to put my money where my mouth is,” said Ms.

Zandt, a social media consultant and author of the book “Share This! How You Will Change the World With Social Networking,” which is being published by Berrett-Koehler next month. Ms. Zandt is not the only person looking at the door. Others have written about their plans to leave Facebook, or called for others to do so. Facebook has always had its detractors. That doesn’t mean they think the change will be frictionless. Le nouveau réseau social Diaspora va-t-il tuer Facebook? - LePos. Web 18/05/2010 à 16h42 - mis à jour le 18/05/2010 à 16h52 | vues | réactions A ma gauche, Facebook, grand méchant loup, leader incontesté des réseaux sociaux qui concentre toutes vos données personnelles, soulevant la grogne des internautes. A ma droite, Diaspora, gentil petit agneau qui va tenter de se faire un nom dans le monde sans pitié des réseaux sociaux, et qui se promet ouvert et décentralisé. 1. Un anti Facebook ?

Diaspora en est encore à l'état de projet, donc difficile de dire à quoi le site va ressembler exactement. "Vous ne serez plus sous l'emprise de ces énormes réseaux qui affirment que partage d'informations et vie privée sont incompatibles", assure l'un des co-fondateurs dans la vidéo ci-dessous (à 2'04). Comment assurer partage et protection des données ? Concrètement, Diaspora sera géré par les usagers, grâce à un logiciel libre au nom barbare de aGPL.

Un projet plein de bonnes intentions mais... 2. Décentraliser le réseau, c'est bien. 3. Une première version de Diaspora, le Facebook libre et ouvert, a.