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Travail fin d'année - monde

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0111112ec008. Les chantiers de l’écosocialisme révolutionnaire. Écosocialisme Le concept d’écosocialisme est basé sur un double constat paradoxal : la solution de la « crise écologique » due au mode de production capitaliste nécessite une réponse de type socialiste, d’une part, et le bilan environnemental du « socialisme réellement existant » est catastrophique, d’autre part. Je vais développer brièvement ces deux éléments et présenter ensuite quelques chantiers de l’aggiornamento écosocialiste tel qu’il est conçu au sein du « Réseau écosocialiste international ».

J’espère ainsi montrer que l’écosocialisme est autre chose qu’une nouvelle étiquette sur une vieille bouteille : une alternative nécessaire adaptée aux défis de notre temps.(*) Pour les écosocialistes, ce qu’on appelle « crise écologique » n’est pas une crise de l’écologie. Capitalisme = productivisme Le capitalisme ne produit pas des valeurs d’usage pour la satisfaction des besoins humains mais des valeurs d’échange pour la maximisation du profit.

Staline n’explique pas tout Notes. Les chantiers de l’écosocialisme révolutionnaire - Presse-toi à gauche ! « Écosocialisme » : L’alternative radicale à la catastrophe écologique capitaliste Réseau écosocialiste - « Écosocialisme » : L’alternative radicale à la catastrophe écologique capitaliste. Michael Löwy a publié il y a peu un petit livre bien informé intitulé « L’Ecosocialisme » (Editions Fayard, Collection Les Petits Libres) dont nous reproduisons ci-dessous l’introduction. Né au Brésil et vivant à Paris depuis 1969, Michael Löwy est actif dans le Réseau Écosocialiste International et directeur de recherche émérite au CNRS. Parmi ses ouvrages : « La Guerre des dieux, religion et politique en Amérique latine » (Éditions du Félin, 2000) et « Walter Benjamin. Avertissement d’incendie » (PUF, 2001). Il a coécrit « Che Guevara, une braise qui brûle encore » avec Olivier Besancenot (Mille et une nuits, 2007).

Qu’est-ce que l’écosocialisme ? L’écosocialisme est un courant politique fondé sur une constatation essentielle : la sauvegarde des équilibres écologiques de la planète, la préservation d’un environnement favorable aux espèces vivantes – y compris la nôtre – est incompatible avec la logique expansive et destructrice du système capitaliste. Notes. Économie de proximité, capitalisme et crise écologique : l'urgence en la demeure - Kaléidoscope.

Par Louis Favreau Sociologue et professeur émérite à l’Université du Québec en Outaouais, Louis Favreau est titulaire de la Chaire de recherche en développement des communautés et auteur de l'ouvrage La transition écologique de l’économie. Il s'empare de notre Haut-Parleur et nous amène à questionner l'impact de l'économie de proximité au-delà de ses transformations locales. Dans un contexte où les communautés locales, citoyens et élus, sont de plus en plus inquiets des transformations de l’économie – notamment des pertes de souveraineté qu’elles entraînent sur leur territoire et leurs ressources et de la menace qu’elles font peser sur l’emploi régional – l’idée d’un renforcement d’une « économie de proximité », ancrée dans les territoires, axée sur les besoins plutôt que sur l’offre et disposant de règles prudentielles est perçu par plusieurs comme un espoir réinventé.

Les territoires ne sont cependant pas des isolats. Des enjeux mondialisés Une réponse locale : l’économie de proximité. Développement des communautés et crise écologique : des mobilisations inédites - [Carnet de Louis Favreau Chaire de recherche en développement des collectivités (CRDC)] Capitalisme et crise écologique : y a-t-il urgence en la demeure ? Le capitalisme est secoué par des crises successives, de « petites crises ». Mais il y a de grandes crises comme celle des années 1930. La crise que nous traversons depuis 2008 n’est pas une « petite crise » cyclique mais une « grande crise » comparable à celle des années 1930, par son ampleur et sa profondeur même si elle est différente sous certains aspects, notamment dans sa dimension écologique. La crise est globale, tout à la fois économique, sociale et écologique. En poussant plus loin, on voit que le changement climatique, la crise alimentaire et la crise énergétique se télescopent et se combinent à la crise financière que peu de monde avait vu venir.

Le Groupe intergouvernemental d’études sur l’évolution du climat (GIEC) n’a pas fait de projection au-delà de 2 ou 3 degrés, tant à ce niveau, les choses apparaissaient déjà redoutables. Comment au Québec des communautés peuvent-elles agir sur cette question ? Thomas Coutrot : "Inégalités sociales et crise écologique, le cercle vicieux" Le dernier rapport du GIEC, le groupe intergouvernemental d’études sur le climat, est sans complaisance : le climat de la planète est en train d’exploser.

Entre 2000 et 2010, les émissions de gaz à effet de serre ont augmenté de 2,2 % par an, contre 0,4 % au cours des trois décennies précédentes. Une augmentation de 2 °C, désormais inévitable dès 2030, aura des conséquences désastreuses : hausse du niveau des mers, événements climatiques extrêmes, insécurité alimentaire, pénurie d’eau, conflits et guerres pour les ressources. Mais les mécanismes de rétroaction « positive » (fonte des glaces, vapeur d’eau, fonte du permafrost…) risquent fort d’accélérer le réchauffement mondial vers 6 °C ou plus à la fin du siècle, avec des conséquences encore inconnues mais effrayantes.

Ce n’est aucunement un hasard : la concentration des richesses est, elle aussi, sur une tendance explosive. Sur la crise écologique et sociale actuelle | Bulletin d'histoire politique. Christian Adam Chercheur en philosophie Yves Paccalet, Sortie de secours (les solutions pour sauver l’humanité), éditions «J’ai Lu», 2007. Hervé Kempf, Comment les riches détruisent la planète, éditions du Seuil, 2007. Il suffit de promener un regard désabusé sur le paysage planétaire d’aujourd’hui pour se rendre compte que nous vivons à l’ère de la gravité durable. Les points de rupture achèvent d’être consommés sur tous les plans, et les seuils critiques semblent avoir été atteints dans la plupart des domaines ou sont sur le point de l’être (par exemple le pic de Hubbert pour le pétrole).

C’est le mérite de deux pamphlets récents (4) de montrer que les deux crises en question, sociale et écologique, sont au contraire interreliées, que l’on ne peut penser l’une sans renvoyer à l’autre, et que c’est en pointant l’ampleur des désastres qu’elles impliquent qu’il y aura espoir qu’un virage politique en faveur de l’écologique et du social s’amorce de manière authentique. Histoire. Le mouvement vert Le mouvement vert moderne fit son apparition au Canada et dans le monde au cours des années 1960 alors que la contre-culture des années 1960 entraînait un rejet en masse de la société de consommation. Quatre décennies plus tard, les idées de paix, d’amour et de compréhension des années 1960 donnèrent naissance aux valeurs-clés du Parti Vert, soit la non-violence, la justice sociale et la pensée écologique.

La fin des années 1960 vit le déclin de plusieurs mouvements locaux, mais leurs valeurs positives ne disparurent pas. Dans les années 1970, le mouvement vert commença à réapparaître timidement sous la forme de boutiques d’aliments naturels, de groupes de défense des droits des femmes, de groupes environnementalistes, de programmes d’énergie renouvelable et de fermes bio. Le mouvement vert, même fragmenté, s’est doté d’une structure et d’une fondation économique. Les parti verts dans le monde Le Parti Vert du Canada L’essor autour de la jeune formation ne se dément pas. Historique du parti - Parti vert du Québec. Brève ligne du temps 2001 - Nouveau départ du Parti vert du Québec. 2003 - Élaboration du programme électoral. 2003 (avril) - Première version du site web. Des échanges sont ainsi facilités entre le public, les membres et les principales instances au parti. 2006 (mai) - Le Parti vert du Québec élit un nouveau chef Scott McKay, et rejette (par motion) tout rapprochement avec tout autre parti, réaffirmant ainsi son indépendance et son désir de devenir une alternative crédible sur la scène politique québécoise. 2007 – La seconde version du programme électoral est publié. 2007 (mars) - Élections générales au Québec. 2008 (mars) - Guy Rainville est élu le nouveau chef. 2008 (décembre) - Élections générales. 2010 (novembre) - Claude Sabourin remporte la chefferie. 2012 (juillet) – La troisième version du programme électoral est publié. 2012 (septembre) - Élections générales. 2013 (février) - Claude Sabourin démissionne au cours du congrès du parti. 2013 (septembre) - Alex Tyrrell est élu chef du PVQ.

Chronologie de l'écologisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La chronologie de l'écologisme (ou environnementalisme) reprend les événements ayant marqué le public et influencé les préoccupations environnementales ; cette chronologie comprend les dates de publication de livres importants pour la genèse des différents courants de l'écologisme et l'apparition de concepts clefs. Elle reprend également les fondations d'organismes conservationnistes, environnementalistes, de partis écologistes ainsi que quelques dates de résolutions ou conventions internationales au niveau des instances officielles.

Inclut également une partie proprement historique bien avant la naissance de mouvements. XVIIIe siècle[modifier | modifier le code] XIXe siècle[modifier | modifier le code] XXe siècle[modifier | modifier le code] Les années 1960[modifier | modifier le code] Les années 1970[modifier | modifier le code] Les années 1980[modifier | modifier le code] Les années 1990[modifier | modifier le code] Etude sur la nature des mouvements écologistes et leurs véritables objectifs : les racines malthusiennes des mouvements écologistes. Pour retracer l'histoire du mouvement écologiste international, il faut tout d'abord en finir avec une série de lieux communs : le mouvement serait une réaction spontanée aux excès du développement industriel des dernières décennies serait né d'une prise de conscience croissante des dangers intrinsèques aux centrales nucléaires, aux grands complexes chimiques ou aux industries lourdes en général ; il serait issu d'une réponse émotive de l'opinion publique, naturelle et spontanée, consécutive à des incidents tels que celui de Tchernobyl en 1986, de Seveso en 1976 ou de Three Mile Island en 1979 .

Comme nous allons le démontrer dans les pages qui suivent, il faut rechercher les racines idéologiques de ce mouvement bien avant son émergence récente et même avant la naissance de leurs dirigeants actuels. . « L'homme ne sait pas comment être un être vraiment moderne. Les autres espèces ne connaissent pas ce genre de faillite. Les tigres savent se comporter en tigres. Histoire du mouvement écologiste | Midi-Pyrénées. Historique d’Europe Ecologie les VertsDE L’ASSOCIATIF AU MOUVEMENT, DU MOUVEMENT AU PARTI 1974-1983 : les débuts de l’écologie politique.

Les années 1970 voient l’apparition de l’écologie sur la scène politique : après la candidature de René Dumont à la présidentielle, des candidats écologistes réalisent les premières percées. Mais celle-ci restent localisées. De fait, les luttes de terrain constituent l’essentiel de l’action : contre le nucléaire civil (Plogoff) et militaire (Larzac) ; contre les pollutions maritimes (Amoco Cadiz) ; contre les équipements inutiles et (projet de canal Rhin-Rhône). 1984-1988 : naissance et consolidation des Verts.

Dans la foulée du congrès fondateur à Clichy , les Verts obtiennent 3,4 % des voix aux européennes de 1984. Le tournant des années 1980-1990 : le succès et la crise. Les élections municipales et européennes de 1989 voient une forte poussée des Verts. Depuis 1995, une dynamique nouvelle fondée sur un positionnement original. Quelques événements Mars. MOUVEMENT ÉCOLOGISTE. De la situation marginale qu'ils connaissaient dans les années 1970 à la présence médiatique et politique, y compris au sein de plusieurs gouvernements, qui est la leur au début du xxie siècle, les militants de l'écologie politique ont effectué une percée laborieuse mais inégale sur tous les continents.

Cette phase d'émergence correspond à une transition décisive de l'organisation des relations internationales. Les pays, quel que soit leur niveau de développement, ont subi de profondes mutations. On a assisté à la disparition de l'affrontement idéologique entre capitalisme et communisme et à l'universalisation du modèle productiviste libéral. La mondialisation des échanges commerciaux a entraîné une nouvelle régulation des rapports commerciaux, mais aussi une interpénétration croissante des modes de management de l'action publique et privée.

ENVIRONNEMENT - Environnement et économie, Des préoccupations environnementales au développement durable. • Une crise environnementale perceptible depuis les années 1970 À partir des années 1970, on a commencé à s'interroger sur la capacité de la biosphère à fournir les ressources nécessaires à la poursuite de la croissance économique. The Limits to Growth, le rapport du Club de Rome en 1972, dit rapport Meadows, a fait date.

Les populations des pays industrialisés ont été de plus en plus préoccupées par le fait que la dégradation environnementale puisse l'emporter sur les bénéfices liés aux progrès économiques et technologiques et que, par ailleurs, ces dommages soient peut-être imposés de manière irréversible aux générations futures. L'accroissement des exploitations agricoles, halieutiques et forestières ainsi que des activités de production minières et industrielles, couplé à une augmentation de la population humaine, fait subir des impacts de plus en plus nombreux aux systèmes écologiques dans le monde entier. CHANGEONS LE SYSTÈME, PAS LE CLIMAT! Réseau écosocialiste - CHANGEONS LE SYSTÈME, PAS LE CLIMAT!

Il n’y pas de solution capitaliste à la crise climatique pour la simple raison que le capitalisme est la cause première du problème. Le fondement de ce système est la course sans fin au profit et à l’accumulation de la richesse. Cette compétition mondiale génère l’impérialisme, la guerre et le néocolonialisme. Il n’est pas surprenant que les grands sommets mondiaux ne soient pas parvenus à un accord contraignant et aux objectifs suffisants pour éviter l’augmentation globale des émissions de GES et une accélération catastrophique des changements climatiques. Les mouvement écologistes peuvent bloquer certains projets et ralentir cette machine infernale. En Amérique du Nord, la priorité immédiate est de stopper l’expansion des sables bitumineux et du pétrole de schiste, des sources de pétrole particulièrement nocives pour les communautés locales et pour la planète.

Au Québec la question des hydrocarbures constitue un aspect de la question nationale Le comité exécutif du Réseau écosocialiste. L’écosocialisme comme projet politique Réseau écosocialiste - L’écosocialisme comme projet politique. Par Jonathan Durand Folco Le projet écosocialiste part de l’idée que la présente crise écologique, sans précédent dans l’histoire de l’humanité, ne pourra être résorbée sans la remise en question du système économique, politique et social qui lui a donné naissance et qui nous y renferme toujours davantage : le capitalisme. Le mot d’ordre « system change, not climate change » résume dans sa plus simple expression l’impératif de notre temps, soit le dépassement du mode de production qui conduit à l’épuisement des « deux sources d’où jaillissent toute richesse : la terre et le travailleur ».

Par ailleurs, la solution à la catastrophe écologique ne peut se limiter à un mode de vie basé sur la simplicité volontaire, la critique culturelle de la société de consommation ou la constatation que la croissance infinie est impossible dans un monde fini. Mais une fois que nous avons dénoncé les dérives autoritaires de l’étatisme et le mythe du progrès dont il était porteur, que reste-t-il ? Crise écologique et logique capitaliste. Empreinte écologique : les 20 pays les plus gaspilleurs. Sommes-nous trop nombreux sur terre ?