background preloader

Saint Nicolas

Facebook Twitter

L’école de Moscou, Russie XV°-XVII° siècle. Art works. Icons often combined a central depiction of a saint surrounded by scenes from his or her life, as in this excellent example from the first half of the 16th century showing St Nicholas.

Art works

As more descriptions of the lives of the saints appeared over the centuries, so the variety of such icons increased. St Nicholas is dressed in bishop's robes, his hands spread wide: with his right hand he makes a blessing, whilst in his left he holds an open Gospels and a cloth. To left and right of his gold halo are small circles with half-length images of Christ and the Virgin. Icon: St Nicholas with Scenes from his Life - Drawings, Prints and Painting from Hermitage Museum. St Nicholas with Scenes from His Life. Second half of the 14th century. Icon: St Nicholas with Scenes from his Life. Persée. Art et Histoire des Icônes en Russie du Xe siècle à nos jours. Les écoles iconographiques principales portent le noms des villes dont elles sont issues.

Art et Histoire des Icônes en Russie du Xe siècle à nos jours.

Les peintres étaient des moines vivant dans des monastères qui pouvaient souvent se trouver hors des villes. Nous ne pouvons étudier ici tous les peintres ni toutes les écoles de l'évolution russe de l'iconographie. Le choix fut délicat et ... "Choisir, c'est renoncer" quoiqu'il en coûte! Au gré du déplacement des populations du aux guerres intestines ou aux invasions barbares, les religieux partaient et évoluaient ou bien résistaient pour survivre en gardant une tradition qui, sans influences extérieures, finissait par exhalter des caractéristiques populaires locales.

Les écoles ne sont pas strictement limitées à leurs villes; elles influencent un territoire plus ou moins large autour d'elles. Hagiographie de Saint-Nicolas (PNJ) Hagiographie de Saint-Nicolas L'enfance et l'adolescence Nicolas Dury-Damour est né en mars de l'année 955 à Achouffe, en Ardenne, diocèse de Liège.

Hagiographie de Saint-Nicolas (PNJ)

Les Dury-Damour sont de petite noblesse non fieffée. Nicolas est élevé dans un bon milieu. Il apprend à lire et à écrire. C'est dans cette ville qu'il fait la connaissance de Geneviève. La souffrance En chemin vers Achouffe avec sa jeune épouse, Nicolas apprend le décès de son père. En septembre 987, Geneviève retourne à Liège pour voir sa famille. L'accident La Légende de Saint-Nicolas, relatée par François de Villeret, nous apprend qu'au début du XIe, Nicolas vivait comme boulanger à Rochefort. Un jour, voulant protéger un enfant qui avait volé le boucher pour se nourrir, Nicolas reçoit un coup de couteau. L’Apostolat Pendant plusieurs mois, Nicolas va parcourir la région. La précocité de l’écriture hagiographique et l’identité normande : les vies de saints composées par Wace - Publications numériques du CÉRÉdI. [1] Dans un article déjà ancien, Mary-Dominica Legge a attiré l’attention de la critique sur la richesse et la précocité de la littérature anglo-normande du XIIe siècle dont les vies de saints, selon elle, sont « une des gloires [2] ».

La précocité de l’écriture hagiographique et l’identité normande : les vies de saints composées par Wace - Publications numériques du CÉRÉdI

L’efflorescence du genre hagiographique est remarquable en effet, et le phénomène n’a pas manqué de soulever des questions trop nombreuses pour être toutes abordées ici. Aussi m’en tiendrai-je à ce qui fait l’objet de ce colloque : le rôle joué par la Normandie dans la « fabrique » de ces vies de saints. Car, à y regarder de près, il est probable que ce soit aux auteurs normands que revienne le privilège de leur précocité [3].

En l’isle de Gersui fui nez, a Chaem fui petiz portez, iloques fui a letres mis, pois fui longues en France apris, quant jo de France repairai a Chaem longues conversai [6]… (Roman de Rou, v. 5305-5310) Des exercices de piété Les textes de Wace ont joui d’une certaine faveur si l’on en juge d’après la tradition manuscrite. Alexandre Musin: Le second avènement de saint Nicolas - les origines du culte d’un saint et sa transformation en Europe de l’Est aux XI e -XV e siècles. En fait, on observe que le culte de saint Nicolas aux XIe-XIIe siècles était réservé avant tout aux couches aristocratiques de la société russe médiévale.

Alexandre Musin: Le second avènement de saint Nicolas - les origines du culte d’un saint et sa transformation en Europe de l’Est aux XI e -XV e siècles

En plus, le prénom de Nicolas, utilisé très rarement à l’époque dans l’ensemble de la population, se trouve fréquemment chez les représentants du clergé grec et des moines. On ne connaît qu’un seul prince de la famille de Riourikides et quelques nobles qui portaient ce prénom. Au tournant du XIe-XIIe siècle, en Russie il n’y avait que deux églises dédiées à saint Nicolas, à Kiev et à Novgorod. L’iconographie de ce saint se limitait à un nombre très réduit d’exemples dont la vénération était liée particulièrement à la famille princière.

Ce culte s’est répandu dans la société grâce aux liens culturels avec les Riourikides. En même temps, on met en évidence que la tradition qui accorde le statut chrétien sous le prénom de Nicolas à un des premiers princes de Kiev, Askold, mort en 882, n’est qu’un mythe historiographique. Persée.