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Antiquité

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Le citoyen à Athènes au Vème siècle avant J.C. Les citoyes sont égaux devant et par ma mpo (isonomie). Les partisants de l'oligarchie n'ont pas désarmé et font tout pour remettre leur régime en place. Ils réussissent dans les moments de faiblesse de la cité, comme par exemple pendant la guerre. L'égalité des droits ne conserne que les citoyens (hommes libres de père et mère athéniens et ne sont pas citoyens les femmes, les enfants et les méthèques). Dans la démocratie Athénienne, tout les citoyens peuvente participer à la gestion de la cité.

Périclès institu le mysthos (indemnités versées au citoyens tirés au sort pour les magistratures les plus binales, ce qui représente la moitié d'un salaire d'ouvrier. Cette démocratie directe se caractérise par 4 éléments principaux: - L'Assemblée ( ou Ecclesia) se réunit sur la colline de la Pnyx.

. - La Boulée est un conseil composé de 500 membres qui sont recrutés chaques années par tirage au sort, âgés de plus de 30 ans (50 membres par tribu). II. Devoirs d'un citoyen: - défendre sa patrie III. Mœurs de la Grèce Antique. Sommaire Avant-propos Eric - Infologisme.com 1. Mœurs de la Grèce AntiqueDans une Grèce qui ignore le péché originel, Eros, compagnon ou fils d’Aphrodite, est un dieu jeune et beau, dont les flèches font naître un désir indifféremment hétérosexuel ou homosexuel, mais toujours innocent.

Pour les Grecs, l’Amour est « la gloire des dieux et des hommes, le guide le plus beau et le meilleur, que tout homme doit suivre » (Platon). L’exemple de cette « sexualité indivisible » vient de haut, il vient du ciel. Comment Homère porterait-il la contradiction au dieu des dieux et au plus illustre de ses fils ? Mais la guerre de Troie est aussi une affaire d’hommes. Dans ses poèmes, Solon (v.640-apr.564), grand réformateur d’Athènes et un des Sept Sages de la Grèce, tient pour une vraie richesse la possibilité de jouir « des charmes juvéniles d’un garçon ». Du côté des philosophes, nombre de disciples passent pour avoir été, dans leur jeunesse, les mignons de leurs maîtres.

Mœurs de la Grèce Antique. La mort en partage ? 1Selon Thucydide (VI, 1-5), la Sicile des temps anciens faisait déjà figure de carrefour de civilisations et de mosaïque de populations, puisque s’y seraient côtoyés depuis des siècles les peuples élymes, sicules et sicanes, ainsi que des Puniques et des Hellènes plus tard venus. Les apoikiai fondées par ces derniers à partir du viiie siècle av. n.è. avaient pour métropoles différentes régions de Grèce propre. Ceci ajoute à la complexité – à la richesse également – des relations entre communautés et des phénomènes d’identification ou de distinction auxquelles ces relations ont donné lieu. 2Les usages liés à la mort imbriquent des références collectives et des formes d’expression individuelle ; leurs traces matérielles n’en sont que plus délicates à interpréter en termes ethniques et identitaires.

Néanmoins, l’étude des supports physiques des pratiques funéraires permet d’aborder divers enjeux sociaux et culturels de l’histoire des communautés du monde hellénique. Définition et origines. La Revue Antique.