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Hubble capture un massacre cosmique. Des images collectées par le télescope spatial Hubble représentent ce qui pourrait être une boucherie cosmique (un clic pour agrandir l’image). L’équipe responsable de la libération des images décrit le massacre de la galaxie désignée ESO 137-001, mis en pièce par un processus connu sous le nom de balayage par pression dynamique et c’est assez violent. Comme la galaxie spirale ESO 137-001 se déplace à travers l’amas de galaxies Abell 3627 (ou amas de la Règle), elle est littéralement déchirée en lambeaux, alors qu’elle subit le balayage par la pression dynamique. Ce processus comprend la force de trainée subit par les objets se déplaçant à travers un fluide, dans ce cas, des gaz surchauffés. Ceux-ci exercent des forces colossales qui tirent la poussière de l’attraction gravitationnelle de la galaxie. Le "balayage" arrache des morceaux de l’intérieur même de la galaxie, les lambeaux marron que vous pouvez voir dans l’image d’entête près de la spirale.

La planète qui était trop éloignée de son étoile pour exister… Une équipe internationale d’astronomes a annoncé la découverte d’une planète géante extrasolaire en orbite autour de son étoile à plus de 20 fois la distance moyenne Neptune – Soleil. Elle est appelée HD 106906b et fait 11 fois la masse de Jupiter. Elle tourne autour d’une étoile blanche de la séquence principale, HD 106906A, située dans la constellation de la Croix du Sud à environ 300 années-lumière de la Terre.

Elle est bien différente de tout ce qui se trouve dans notre système solaire et bouleverse les théories sur la formation des planètes. Âgée de seulement 13 millions d’années, la planète brille encore de la chaleur résiduelle de sa formation. À 1500 degrés Celsius, elle est beaucoup plus froide que son étoile hôte, elle émet la grande partie de son énergie dans l’infrarouge plutôt que dans la lumière visible.

En comparaison, la Terre, qui s’est formée il y a 4,5 milliards d’années, est donc environ 350 fois plus vieille que HD 106906b. Selon les explications de Vanessa Bailey : De nouvelles images de l’immense vortex polaire de Saturne. Un ouragan fait rage au pôle nord de Saturne, créant une "zone de succion". La sonde spatiale Cassini a récemment obtenu un tas d’images du courant/ jet à six faces entourant la tempête, que les responsables de la mission ont ensuite rassemblées dans une animation, composée de 8 images, présentant le déplacement des courants des vents (en image d’entête et ci-dessous et un clic sur l’image pour être redirigé vers le grand format proposé par la NASA).

En dépit de sa magnificence, la NASA y porte intérêt spécial car il n’y a rien d’autre de la sorte dans notre système solaire. Bon… la terre a un vortex polaire, mais il est loin d’être aussi grand. L’immense tempête sur Saturne s’étend sur 30 000 km de travers avec des vents soufflant dans son jet à 322 km à l’heure. Alors qu’un ouragan sur Terre dure généralement une semaine, celui-ci subsiste depuis des décennies et qui sait, peut-être des siècles. Précédemment : Gros plan sur le pôle nord tourbillonnant de Saturne.

Selon la NASA : Une réalité mathématique dessinée en fractales par un homme atteint par le syndrome du savant. Jason Padgett est un américain qui a acquis, sans le vouloir, des capacités étonnantes en mathématiques après une agression en 2002. Il a été durement touché à la tête et il vit maintenant la réalité sous forme de fractales mathématiques descriptibles par des équations. Il est atteint du syndrome du savant qui lui permet désormais de pratiquer une forme de synesthésie. Image d’entête : “une main quantique à travers mes yeux” (J.Padgett) Avant l’incident, Jason ne possédait aucune capacité particulière en math, il était même plutôt mauvais. Ci-dessous : “trou noir de Planck”. “Dualité onde-particule” “Une dérive dans l’espace-temps” Selon la bio de Jason Padgett : La beauté des numéros et leur connexion à la géométrie pure de l’espace-temps et de l’univers sont présentées dans ses schémas de fractales… Il étudie actuellement la façon dont toutes les fractales posent des limites et comment la formule E = MC2 est elle-même une fractale.

“Cosinus sinusoïdale et ondes tangente” “Fusion hW=MC^2” Estimation : deux milliards de planètes tournant dans la zone habitable de leur étoile dans notre Voie lactée. Les scientifiques spécialisés dans la chasse aux planètes ont annoncé cette semaine que 22% des étoiles de type solaire, dans la Voie Lactée, sont accompagnées de monde qui les orbitent de la taille de la Terre et potentiellement habitables. Ce remarquable résultat indique qu’il peut y avoir jusqu’à deux milliards de planètes dans notre galaxie, adaptées pour la vie et que la plus proche serait peut-être à “seulement” 12 années-lumière.

La nouvelle étude, publiée cette semaine (lien plus bas), suggère que les planètes comme la Terre, qui sont capables de soutenir la vie, sont beaucoup plus fréquentes qu’on ne le pensait précédemment. Pour atteindre ce chiffre, une équipe de chercheurs dirigée par Erik Petigura de l’Université de Californie, Berkeley, a utilisé le télescope spatial Kepler, de la NASA, pour numériser 42 000 Sur les 603 planètes trouvées, 10 étaient de la taille de la Terre, disposaient de surfaces rocheuses et étaient situées à l’intérieur de la zone habitable. Physicists Euphoric but Confused about Black Hole Paradox. “The most exciting phrase to hear in science, the one that heralds new discoveries, is not ‘eureka!’

But ‘that's funny,’” Isaac Asimov once said. Well, something seriously funny is going on in theoretical physics these days. A recent conundrum about black holes is threatening to overturn some of the most basic tenets of physics, and many scientists are nothing but thrilled. “To me it’s the best thing that’s happened in awhile,” says University of California, Berkeley, physicist Raphael Bousso of the so-called “black hole firewall paradox,” which concerns what happens at the boundary of a black hole. Polchinski and his colleagues conclude that not only is space not smooth at a black hole horizon—at that point the laws of physics completely break down. The first argument for firewalls, put forward by Polchinski and his U.C. The new paper is far from the last word on the subject, though.

How to move forward now is less than clear, however. Découverte d’un système solaire beaucoup trop incliné. Les astronomes ont découvert le premier exemple connu d’un système solaire "incliné", c’est-à-dire, d’une étoile dont l’équateur penche de manière abrupte loin du plan dans lequel ses planètes orbitent. C’est une découverte sans précédent, qui pourrait aider à expliquer comment certaines planètes se retrouvent placées dans des orbites très étranges. Image d’entête : représentation artistique du système Kepler-56 (NASA) La Terre, comme la plupart des planètes que nous connaissons à ce jour, orbite plus ou moins dans le même plan équatorial de son étoile parente (7,2 degrés hors du plan, pour être exact). Mais dans cette recherche publiée récemment (lien plus bas), une équipe de chercheurs, dirigée par l’astronome Daniel Huber de la NASA, a identifié deux planètes qui orbitent à 45 degrés par rapport à l’équateur de leur étoile parente, la géante rouge Kepler-56.

Image d’entête : représentation du système Kepler-56. Les débris d’une ancienne petite planète contenant de l’eau. GD61 est une étoile naine blanche. En tant que telle, elle est incroyablement dense tout en étant similaire en diamètre à la Terre, mais avec une masse correspondant à celle du Soleil. Ainsi une cuillère à café de cet astre est estimée peser 5,5 tonnes environ. Ce n’est pas un lieu stellaire particulièrement prometteur pour trouver des preuves de vie, mais une nouvelle analyse des débris entourant l’étoile indique que, il y a très longtemps, GD61 pourrait avoir fourni un environnement beaucoup plus accueillant. Image d’entête : représentation artistique de la petite planète ou astéroïde rocheux riche en glace, qui a été déchiquetée par sa lointaine étoile naine blanche, il y a 200 millions d’années. (image Mark A. Garlick, Université de Warwick et l’Université de Cambridge) Pour Boris Gänsicke de l’Université de Warwick au Royaume-Uni, l’un des auteurs de l’étude (lien plus bas), dans un communiqué de presse : Comparaison de Cérès avec le système Terre-Lune (Wikimédia).

Découverte d'une étrange planète flottant seule dans l'espace. Jeudi 10 octobre 2013 4 10 /10 /Oct /2013 08:00 Découverte d'une étrange planète flottant seule dans l'espace Une planète hors du système solaire flottant seule dans l'espace, sans être en orbite autour d'une étoile, a été découverte par une équipe internationale d'astronomes, selon leurs travaux parus mercredi aux Etats-Unis. Cette exoplanète gazeuse, baptisée PSO J318.5-22, se situe à seulement 80 années lumière de la Terre (une année lumière équivaut à 9.460 milliards de kilomètres) et a une masse de six fois celle de Jupiter, précisent ces astronomes dont la découverte est publiée dans la revue américaine Astrophysical Journal Letters. Elle s'est formée il y a à peine 12 millions d'années, ce qui pour une planète est la toute première enfance. Ces astronomes l'ont détectée à l'aide du télescope Pan-STARRS 1 situé au sommet du mont Haleakala à Maui (Hawaii).

Partager l'article ! InShare Par wikistrike.com - Publié dans : Astronomie - Espace 0. La première carte de la couverture nuageuse d’une planète géante au-delà de notre système solaire. Des astronomes, en utilisant les données de deux télescopes spatiaux, ont créé la première carte des nuages ​​d’une chaude géante gazeuse appelée Kepler-7b. Découverte en 2009, Kepler-7b fait environ la moitié de la masse de Jupiter, mais près de 1,5 fois sa taille. Dans la constellation du Lyre, elle orbite autour de son étoile hôte, Kepler-7, tous les 5 jours, à une distance d’environ 0,06 UA. Kepler-7b est marquée, comme vous pouvez le constater dans sa représentation artistique en image d’entête (comparé à la taille de Jupiter), par de hauts nuages ​​dans son ciel à l’Ouest tandis que l’Est en est dépourvu. De précédentes études ont permis de constituer des cartes des températures de planètes en orbite autour d’autres étoiles, mais c’est le premier coup d’œil sur des structures nuageuses dans un monde lointain.

Selon le Dr Brice-Olivier Demory du Massachusetts Institute of Technology (MIT), principal auteur de la nouvelle recherche (lien plus bas) : Le principal composé du plastique trouvé sur une des lunes de Saturne (Vidéo) La sonde Cassini de la NASA vient de détecter du propène sur la lune de Saturne, Titan. Ce composé chimique, une fois relié en de longues chaines, forme un plastique appelé polypropylène qui est utilisé pour fabriquer des boites hermétiques pour stocker les aliments (Tupperw…), les pare-chocs de voiture et beaucoup d’autres produits de consommation.

C’est la première fois qu’est détecté, de façon définitive, du plastique sur une lune ou planète, autre que la Terre. Une petite quantité de propène a été identifiée dans la basse atmosphère de Titan par le spectromètre infrarouge composite (CIRS) de Cassini. Cet instrument mesure la lumière infrarouge ou le rayonnement thermique émis par Saturne et ses lunes, de la même manière que nos mains sentent la chaleur d’un feu. Le propène est la première molécule à avoir été découvert sur Titan en utilisant cet instrument. La première image d’une liaison hydrogène. En utilisant une technique appelée microscopie à force atomique à haute résolution (AFM), des chercheurs, en Chine, ont visualisé la structure moléculaire d’une liaison hydrogène. Image d’entête : images AFM de la 8-hydroxyquinoléine sur une surface de cuivre illustrant les interactions de liaison hydrogène à basse température , C = gris, H = blanc , O = rouge , N = bleu , Cu = orange.

La liaison hydrogène est incroyablement utile et on les trouve partout dans la nature. Elle est notamment célèbre pour son rôle dans le maintien des deux brins de la double hélice de l’ADN. Elle donne aussi à l’eau ses propriétés uniques. Les chimistes ont l’habitude de côtoyer sa représentation, mais jusqu’ici ce n’était qu’à un niveau théorique. Ci-dessous représentation de la microscopie à force atomique : la pointe d’un unique atome, du microscope à force atomique sans contact, “sent“ les changements dans les forces électroniques alors qu’elle se déplace sur toute la surface à une hauteur constante. Electro-L : l’image animée de la terre avec son Soleil au zénith.

Voici une nouvelle vue fantastique de notre planète obtenue par le satellite météorologique russe, l’Electro-L. Ce Big Brother de la Terre peut prendre de gigantesques photos de la planète entière toutes les 30 minutes et il ne peut avoir une vue entièrement éclairée, comme celle-ci, que deux fois par an, aux équinoxes de printemps et d’automne (le Soleil est exactement au zénith sur l’équateur terrestre). L’Elektro-L est actuellement en orbite géostationnaire, à 36 000 km au-dessus de l’équateur de la Terre. On avait déjà pu profiter de ses prouesses dans la vidéo d’une orbite géosynchrone de la Terre en haute définition.

Cette image (clic pour agrandir) et l’animation d’entête ont été obtenues au cours de l’équinoxe d’automne, le 22 septembre 2013. Le Soleil était exactement derrière le satellite durant l’équinoxe. L’Electro-L a été lancé en 2011 et il est le premier satellite météorologique géostationnaire de la Russie. La “cacahuète” au cœur de notre galaxie révélée par la plus précise des cartes 3D de la Voie Lactée. Grâce à une nouvelle analyse des images obtenues par un télescope au Chili, des astronomes ont enrichi leur compréhension sur la façon dont la Voie Lactée s’est formée et comment elle a évolué au fil du temps. Ils ont utilisé le télescope VISTA (Visible and Infrared Survey Telescope for Astronomy) de l’Observatoire européen austral pour obtenir des photos dans le proche infrarouge afin d’apercevoir, à travers la dense poussière, les radiations infrarouges du renflement de la Voie Lactée.

Tout cela au cours de l’enquête Vista Variables in the Via Lactea, un projet astronomique visant à cartographier la Voie Lactée. En utilisant les données publiques, les scientifiques de l’Institut Max Planck (pour la physique extraterrestre) ont créé une carte en trois dimensions des régions intérieures de la Voie Lactée. Selon l’équipe scientifique, c’est la première fois qu’une telle carte 3-D, aussi précise de l’intérieur de notre galaxie, aura été réalisée. Découverte sur terre du 2e plus grand volcan du système solaire. Des scientifiques ont confirmé l’existence d’un immense volcan sous-marin qui pourrait être le deuxième plus grand dans le système solaire, le premier restant l’Olympus Mons sur Mars. Image d’entête (clic pour agrandir) : une carte 3D du massif du Tamu. Les scientifiques connaissent le phénomène géologique connue sous le nom d’élévation Shatsky (Shatsky Rise) depuis deux décennies, mais ils ne savaient pas si c’était un seul volcan ou une partie d’une série de volcans.

Comme sa dernière étude, menée par William Sager et ses collègues de l’Université de Houston, l’indique (lien plus bas), nous savons maintenant que l’immense structure, en forme de dôme à pente douce, est en effet une masse de basalte qui a été formée par une unique source volcanique près de son centre. Les géologues ont pu le confirmer par l’analyse de carottes (carottage) et des données extraites à partir d’explorations sous-marines. Quant à son nom, le massif du Tamu, il n’est pas encore tout à fait officiel. Oceanic Black Holes Found in Southern Atlantic. Le régime alimentaire d’une galaxie révélé par la lumière d’un quasar. Le coup d’œil froid du soleil (Vidéo) 60 milliards de planètes potentiellement habitables autour de leur naine rouge dans notre Voie lactée. La sonde Voyager 1 dans un «no man's land» spatial. Et si notre univers était le résultat d’une précédente collision avec un autre. Confirmation de 6 planètes, dont 3 potentiellement habitables, dans un système à 3 étoiles.

Interaction galactique : Le pingouin de l’espace déformé par son œuf (Vidéo) La NASA publie une reconstitution du sol de Vénus. La poussiéreuse régurgitation de l’immense trou noir au centre de la galaxie NGC 3738. La dernière magnifique protubérance du Soleil. Pourquoi les voyageurs de l’espace ne profitent pas encore d’une gravité artificielle ? Face à l’excentricité de notre système solaire, la recherche d’une vie extraterrestre nécessite de sortir des sentiers battus.

Ses anneaux font tomber l’eau sur Saturne. Un nanofil de silicium défie les lois de la physique quantique › Physique. Neutrinos : l'équipe OPERA relance les mesures › Physique. Neutrinos : ils vont bel et bien plus vite que la lumière › Physique. Dario Autiero est interviewé par le Journal de la Science sur ses travaux concernant la vitesse des neutrinos › Physique.